Discussion:2001, l'Odyssée de l'espace

Dernier commentaire : il y a 1 an par 2A02:8420:6EF2:8500:218F:EA32:A979:2F79 dans le sujet Mais qui se cache derrière la voix française de HAL 9000 ?
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Il m'a semblé qu'il vaudrait mieux remplacer le texte existant par la traduction de l'article anglais.

Voici le texte d'origine :

Ca c'est un film trop space fait par Kubrick qui est assez louche aussi... Toute l'histoire tourne autour d'un monolythe... Qu'est ce que represente ce monolythe ? Et on voit l'evolution des 'humanoides' par ce monolythe.

La scene de la fin est trop forte. On m'a raconte qu'il avait passe trois semaines avec sa femme dans son garage pour la faire en balancant de la peinture sur les murs...

Quand on voit le rendu qu'il a obtenu avec les moyens qu'il a employe, on se dit que c'est fort...

Etonnant, non ?
Buzz.


Le titre de l'article devrait être : "2001, l'odyssée de l'espace"

En français, les titres de films ne portent pas de majuscule à chaque mot comme en anglais, mais uniquement sur le premier mot du titre :
"2001: A Space Odyssey" est "2001, l'odyssée de l'espace"
(ici le début du titre est un nombre, il n'y a donc aucune majuscule)


je cite :

À la base de l'histoire - ce que seul le film montre - une ancienne race extra-terrestre utilise de grands monolithes pour explorer tous les systèmes planétaires de la galaxie. Le but de ces monolithes est de rechercher, sur chaque planète, les éventuelles traces de vie, et de favoriser le développement des formes de vie intelligentes.

C'est marrant j'aurai dit l'inverse ce que seul le livre montre. quel est votre avis ?
Laurent 16 jun 2003 ・20:45 (CEST)

l'aspect a la fois totalement abstrait, comtemplatif et parabolique de ce titre monolithiquement ainsi que spatialement " BEAU" me donne l'impression presque sensationnelle voir sensitive de créer une reflexion incréable ou alors purement extrapolisante sur la nature encore inconnue de l'irréel naissance originelle de l'homme. néanmoins à la vue de ce spectacle néo classico- spatial une écharde cybero-punk me reste en travers de la gorge: que suis-je, d'où viens-je mon pere serait-il se monolythe tel le dark vador pour luke?? je me vois a travers l'écran comme a travers un mirroir guidant mes pas et me poussant à me jeter du 7eme étage. Je doit vous quitter vous et votre monde pour rejoindre mon pere le monolythe et voguer a tout jamais dans un espace de frustration maternelle.............envers notre terre

Lors du voyage vers Jupiter, le héros passe dans un trou noir, où s'inversent les notions d'espace et de temps, il peut ainsi voir sa mort, revivre sa naissance, dans un espace continu. C'est magique.

Opinion modifier

Je déplace ici le contenu suivant inséré dans l'article :

« 2010 présente tout de même un double avantage : En premier il apporte une explication rationnelle au comportement meurtrier de HAL dans 2001. Ce comportement résultait de l'application stricte d'une directive ambiguë donnée par un politicien, et donc la faute était humaine (thème que l'on retrouve dans Alien). D'ailleurs le sacrifice final de HAL pour sauver ses compagnons humains est tout simplement magnifique.

Accessoirement, 2010 conclut l'odyssée, notamment au niveau du rôle des monolithes, d'une manière beaucoup plus claire et abordable que ce que 2001 parvient à traduire. Il est vrai que dans le livre 2001 (notamment la fin), c'est parfois sur un seul mot que repose la bonne compréhension de l'histoire, et que la traduction cinématographique était un véritable défi.

[Patrick Brunet pour 2 §] »

Quelques remarques :

  • ces passages ne sont pas encyclopédiques, ils sont l'expression de votre point de vue sur le film et n'ont donc pas à figurer dans le corps de l'article. Ils ont par contre tout à fait leur place sur cette page de discussion (souvenez vous néanmoins que Wikipedia n'est pas un forum) ;
  • 2001 (le film) n'est pas adapté de 2001 (le livre) mais d'une nouvelle d'Arthur C. Clarke La Sentinelle que Stanley Kubrick et ACC ont considérablement étoffée. 2001 (le livre) est l'adaptation romanesque du scénario de 2001 (le film) ;
Ca, c'est inexact : le livre et le scénario ont été développé de manière totalement concomittante, le livre étant une sorte de mode d'emploi du film tel que le voit Clarke (il est clair qu'à certains points de vue, la vision de Clarke et Kubrick diverge) Bradipus 27 jun 2005 à 13:29 (CEST)
  • si vous êtes encouragé à signer vos contributions en page de discussion, l'article est par contre un travail collectif et ne doit pas être signé (ou alors dans le cadre de résumé de votre modification mais pas dans le corps de l'article).

J'espère que ces quelques commentaires ne vous dissuaderont pas de contribuer à nouveau mais au contraire vous aideront à mieux comprendre le fonctinnement de Wikipedia. Emmanuel 29 avr 2005 à 11:24 (CEST)

Musique originelle ? modifier

Bonjour. La musique finale n'est pas celle qui avait été commandée. Celle-ci a finalement été jugée moins bonne que la musique classique. Est-il possible de la télécharger ? de l'acheter ? Cette musique est-elle devenue libre ? Merci guffman 5 décembre 2005 à 20:04 (CET)Répondre

Typo du titre modifier

Bonjour, la typo ne serait elle pas 2001, l'Odyssée de l'espace après des , et des : me semble-il on replace toujours une majuscule. Me trompe-je ? bayo 18 juin 2006 à 01:35 (CEST)Répondre

La course des Discovery 1 modifier

Avez vous réaliser que le Discovery de Kubrick était plus rapide que celui de Clarke. Remarquez bien que dans le film, lorsque nous arivons a la mission jupiter, cette scene se produit 18 mois apres la scene du crater de Tyco, sur la lune. Avant l'interview avec l'équipage, le narrateur de la BBC annonce que le Discovery a quiter la terre il y a 3 semaines. La scene suivant la lobotomie de HAL, un enregistrement sencé apparetre a l'arrivée a jupiter fait son apparition sur l'écran annonsant la véritable mission et précise la découverte du monolite 18 mois plus tôt. Ce qui veux dire que le vaisseau a fait le trajet en 3 semaines et quelque jours. Pour ce qui est du Discovery de Clarke. il a fait le trajet en cinq mois. bien sure, il ne s'est pas arreter a jupiter, car dans le livre, sa destination finale est saturne...

En passant pour répondre a la question de la musique originelle. vous pouvez la trouver chez la compagnie VARECE SARABANDE et le compositeur est Alex North...

nouveau lien modifier

Ajouté un lien du site palantir qui donne un excellent aperçu visuel et sonore du film.Edmondteste 1 août 2006 à 15:40 (CEST)Répondre

Peut-être aussi ajouter un lien externe vers cet article : http://www.leblogducinema.com/2011/07/11/dossier-2001-lodyssee-de-lespace/ Dites-moi ce que vous en pensez... Je pense que pour un film de cette profondeur, on a intérêt à MULTIPLIER LES LIENS EXTERNES !

--194.98.114.65 (d) 27 juillet 2011 à 15:32 (CEST)Un grand fan de StanleyRépondre

Je dirais plutôt; pour un film de cette profondeur, on a intérêt à avoir un article le plus complet et le plus pertinent possible. Donc minimiser le nombre de liens externes, afin de maximiser les informations placées dans l'article, en provenance éventuellement de ces liens externes, et pour ne garder que les liens les plus pertinents, pointant sur les analyses les plus reconnues. Un lien externe est souvent un aveu d'échec : cela veut dire qu'il y a certaines informations pertinentes que on n'a pas été capable de synthétiser dans l'article, et on se résout donc à donner un lien vers ces informations en annexe.
En ce qui concerne le LE en question, cette analyse, pas mauvaise au demeurant (mais mon opinion à ce sujet, ou celle de n'importe quel autre ici, n'a aucune valeur), a été écrite par un individu lambda et est donc un travail inédit. L'article ne peut ni contenir, ni lier vers, un travail inédit. Il existe des centaines d'autres liens du même acabit : les mettre tous serait impossible car il y aurait 90% de déchets et la section LE deviendrait une vaste poubelle, et personne ici ne peut se permettre de faire un tri et une évaluation (sur quelles bases ?, avec quelle autorité ?) de ce genre d'analyses. --Jean-Christophe BENOIST (d) 27 juillet 2011 à 17:22 (CEST)Répondre

Ok d'accord, je comprends tout à fait ce que tu dis. Je ne suis pas d'accord sur le fait qu'un lien externe soit un aveu d'échec. C'est pour moi le signe d'une modestie :"Nous avons produit le meilleur article possible, néanmoins d'autres versions existent...". Je comprends aussi qu'un article Wikipédia se doit d'être objectif donc neutre par ailleurs lorsqu'on lit un article "cinéma" on a parfois envie de subjectivité. Tout ça pour dire rien du tout. Je suis d'accord avec toi ! :)

Problème modifier

Ce type d'article me pose problème...

Il mélange de manière subtile éléments objectifs, narratifs, et points de vue nécessairement personnel.

Ce problème me semble inévitable mais lourd de conséquence. Certes une encyclopédie ne visent pas fondamentalement à l'objectivité absolue qui est inatteignable. Mais, sur des oeuvres d'arts, l'interprétation étant la règle, que faut-il dire ? Le premier qui réalise un article impose une position, parfois dommageable pour la communauté de lecteur... Et pour combien de temps, alors que le projet peut fort bien connaître, en somme, une durée de vie extrêment longue, contrairement à l'encyclopédisme papier... ?

Et dans un projet aussi collaboratif, qui décidera qu'un changement radical est admissible, quand, et sur quel fondement ? <-- message de Adamh du 9 octobre 2006 à 22:39, déplacé par Bradipus Bla 9 octobre 2006 à 22:53 (CEST)Répondre

Si tu pouvais être plus spécifique, ça nous aiderait. Il y a effectivement des choses un peu trop analytiques dans cet article qui ressemblent à une analyse personnelle. Bradipus Bla 9 octobre 2006 à 22:53 (CEST)Répondre

Humm... comme je le disais tu as été trop rapide pour que je finisse mon intervention !! (Je ne suis pas un utilisateur chevroné).

Je relisais justement l'article pour préciser ma pensée : Le résumé tout d'abord est en réalité contenu dans l'intertitre 'précision'. L'intertitre 'résumé' est une vague approche assez étrange du film par sa seule seconde partie.

Qu'est-ce alors que le 'commentaire' par rapport à certains éléments des deux premiers intertitres ? Enfin le dernier sur le son et la musique n'est qu'un long commentaire, également, assez limité, et limitant.

Je vous donne pour exemple de subjectivité ma compréhension du film  :

L'oeuvre de Kubrick, est une étude de la nature humaine dans une perspective anthropologique de la violence, ou plus précisement une violence anthropo-logique. Je ne replacerais pas trop longuement le cadre culturel de l'oeuvre, mais disons que la psychanalyse et la linguistique, sont parmis les grandes agitations intellectuelles du XXème siècle.

Dans 2001, au début est la paix, le silence. Les cris animaux (dont ceux des humains 'à devenir') ne sont que mouvements, mais pas encore temporels. Le monolythe (il y a un souvenir Lovecraftien dans cette dénomination, ne l'oublions pas) apporte le temps en apportant la conscience. Et c'est la violence qui exprime la première lueur de cette conscience. La première notion créatrice d'être, d'existence, est celle de violence, de libération du choc de la limite du corps et de la naissance de la volonté (Shopenhauer/Heidegger/Sartre...). Nietzsche est invoqué par l'utilisation de l'oeuvre musicale de Richard Strauss homonyme du livre du philosophe. Et ce parcequ'il synthétise quelques uns de ces ressorts métaphysiques : volonté de puissance, parcours de l'animal à l'ubermench. Mais pour autant on aurait tord d'y voir une oeuvre entièrement Nietzschéenne...

La rencontre entre Clarke et Kubrick, tout deux sujets britanniques, très proches culturellement, donne une articulation complexe par leur capacité à se comprendre pour se compléter.

La violence fonde la conscience, et donc le langage, ainsi que la station debout, elle élève le corps. La violence est cri, comme la naissance, donc naissance à la conscience par le son, par la voix, qui est abondamment utilisée par Ligeti, elle construit le temps par construction de mouvement continuel, d'une continuité lentement rythmée. Pour les auteurs, on peut considérer qu'il ne s'est rien passé d'autre en 4 millions d'année que la lente préparation à une autre étape de la conscience, qui promet un au-delà du langage, et donc du temps, par une nouvelle élévation du corps... de l'étendue cartésienne, de l'espace ! Et rien ne nait de nouveau sans violence, mort, déconstruction du/retour sur le langage (mort de Hal), et ce dans le silence de la nature qui n'a elle ni temps, ni conscience...

Allez, on relit et on atteri ! :)

A plus Adamh du 9 octobre 2006 à 23:50

Mais qui se cache derrière la voix française de HAL 9000 ? modifier

Bonjour,

dans le casting du film, il est indiqué la voix française de HAL est incarnée par François Chaumette. Il me semblait que c'était en fait Jean-Louis Trintignant. Une recherche rapide sur google montre que les deux acteurs sont associés à la voix de HAL (avec une lègère préférence pour JL Trintignant : 639 contre 125).

Qui a raison ?

Florent.

Ceux qui disent et qui écrivent (dans des livres) que c'est François Chaumette. Signé -- louis-garden 12 janvier 2007 à 14:27 (CET)Répondre
il s'agit incontestablement de François Chaumette; Jean-Louis Trintignant a bien été choisi par Kubrick mais c'était pour le doublage de Jack Nicholson dans Shinning. Par contre , il y a un gros doute concernant Denis Manuel pour Keir Dullea car il me semble avoir lu quelque part que Kubrick avait choisi Jacques Spiesser. A creuser donc... 2A02:8420:6EF2:8500:218F:EA32:A979:2F79 (discuter) 17 décembre 2022 à 14:37 (CET)Répondre

Il semble être certain que c'est François Chaumette. Dans le Nom de la Rose il double Bernardo Guy. En fermant les yeux, nous avons des intonations de Hal 9000... (J-Marc Deschamps. Décembre 2012).

Bon article modifier

Bonjour, je suis un grand fan de Stanley Kubrick et de 2001 et je voudrais essayer de faire passer cet article au grade de bon article. Mais pour cela il faut le développer ! Je suis membre du projet cinéma et j' ai déjà écris une partie de cet article (la dualité des héros et la symbolique des formes), alors je voudrais passer un appel pour que vous m aidiez à améliorer cet article et qu' ainsi dans 1 mois je puisse le proposer au grade de BA. Alors, fans de Kubrick, de 2001, de cinéma ou simplement volontaires, à vos plumes ! Merci

Benjamin.L Benjamin.L 28 mai 2007 à 21:57 (CET)Répondre

Grand fan de Kubrick et de 2001 aussi, j'ai pour l'instant contribué de manière discrete sur l'article en remaniant essentiellement la forme et en reprécisant certaines choses. Je suis d'accord pour commencer à le retravailler en profondeur. Par ailleurs, merci pour tes contributions. Je pense entamer ça dans 3 semaines environ. J'ai réalisé un dossier sur le film dans lequel je pourrai sûrement piocher quelques idées. De même, je pense qu'il faudra encore reviser la forme de l'article. Les interprétations sont intéressantes mais très précises. Une partie où la signification générale serait dégrossie serait une bonne chose je pense. Aussi, sujet à part : j'ai vu qu'une grosse contribution avait été effacée, elle n'était pas si mal, je verrai ce que je peux faire pour en reprendre les idées. Poke2001 28 mai 2007 à 23:53 (CEST)Répondre

Merci à toi Poke2001. C'est bon de ne pas se sentir seul! Je viens de terminer un nouveau paragraphe que j' ai intitulé "le fondu-enchaîné". Benjamin.L 29 mai 2007 à 22:57 (CET)Répondre

C'est bien joli, mais cette partie est un contresens. Si tu vas lire Fondu enchaîné, tu verras que cette scène n'est pas du tout un fondu enchainé. Pourrais tu éventuellement transférer cette section ailleurs?
J'ai supprimé ta précédante contribution, factuellement inexacte, sur l'os qui se transforme en bombe.
De manière générale, cet article est une horreur absolue point de vue source. Chacun y va de sa petite réflexion philosophique non sourcée. Un de ces jours je vais flinguer tout ça. Bradipus Bla 31 mai 2007 à 23:21 (CEST)Répondre

D' accord pour changer la partie sur le fondu-enchaîné mais, comme j'étais persuadé qu'il s 'agissait de cette technique, peut tu me dire quel est son nom pour que je puisse le remplacer dans l' article stp. Par contre concernant ma contribution précédente j'émet de serieux doutes sur le fait que le "vaisseau" ne soit pas une bombe. Je possède le livre de Michel Chion sur Kubrick et il me semble pourtant qu'il explique que l'os est sensé se transformer en bombe. Je peux me tromper mais j'aimerai savoir pourquoi tu considère que cela est "factuellement inexacte". En esperant que tu pourra m'éclairer.Merci. Benjamin.L 01 juin 2007 à 22:17 (CET)Répondre

En fait, il ne s'agit pas d'une technique cinématographique en tant que telle, mais plutôt simplement d'une technique de narration qui est l'ellipse. L'ellipse c'est chaque fois que le réalisateur décide de ne pas montrer au montage un événement important de l'action, le spectateur étant supposé deviner ce qui s'est passé. Exemple, deux cow-boys face à face dans un duel, on voit l'un qui dégaine et...hop, on passe sur une scène où l'ami d'un des deux s'approche d'un corps couché à terre, retourne le corps et reconnait...: l'ellipse sur le duel même, coeur de l'action, a permis d'augmenter la tension de la scène qui aurait été autrement un duel banal où la question de savoir qui meurt est réglé en une fraction de seconde, alors que l'ellipse peut à la fois solliciter l'imagination du spectateur, l'amener à s'interroger, introduire un élément de suspense ou d'attente, etc...
Dans le cas de la scène de 2001, l'ellipse est particulière pour deux raisons: elle porte sur quelques millions d'années et elle est particulièrement élégante par le lien esthétique et matériel qu'elle introduit entre l'os et le vaisseau. Mais note donc que l'ellipse ne git pas dans le fait que l'os se transforme en vaiseau, mais dans le trou de x millions d'années entre les deux scènes.
Alors, pour ce qui concerne la question vaiseau-bombe, c'est très simple: la transformation de l'os en vaiseau est un élément purement visuel que Kubrick a utilisé pour souligner son ellipse, cet élément est donc purement et simplement absent du livre. Il est exact que les dernières lignes du livre montrent que le foetus astral est apparemment attaqué par des missiles en s'approchant de la Terre, mais il n'y a aucune raison pour faire un lien avec la scène qui se situe, elle, au début du film ou en tirer une conclusion bizarre sur la scène du film qui montre clairement un vaisseau. Ceci dit, si c'est sourcé (je veux dire, si tu peux confirmer qu'un auteur a écrit cela), ça mérite alors plutôt une mention en passant, genre parenthèse, pas toute une section. Bradipus Bla 2 juin 2007 à 12:10 (CEST)Répondre

Merci pour ton aide Bradipus. Je vais changer le nom dans l'article et vais relire le livre de Michel Chion pour être sur de ce que j'ai avancé. Benjamin.L 02 juin 2007 à 17:52 (CET)Répondre

On doit pouvoir intégrer assez facilement le second au premier. Chris93 31 mai 2007 à 20:40 (CEST)Répondre

Et pourquoi fusionner? On ne peut pas mettre la liste en annexe? ça permettrait de surcroît de réutiliser cette page ailleurs (sur Kubrick par exemple, avec un lien).--EL - 31 mai 2007 à 22:42 (CEST)Répondre
Vu la liste présente dans la version anglaise (en:List of cultural references to 2001: A Space Odyssey) je suis moi aussi d'avis de laisser comme tel... Seб 662 Hoooooowdy-ho!!!!! 3 juin 2007 à 21:16 (CEST)Répondre
Abandon. Ajout d'un lien "Article connexe" vers Liste des références culturelles à 2001 : l'odyssée de l'espace. Jerome66 | causer 6 juin 2007 à 10:59 (CEST)Répondre

Ellipse modifier

J'étais parti pour modifier quelques petits points sur la partie "Ellipse" et puis je n'ai pas pu m'empêcher de la réécrire totalement, une fois lancé.

Ce n'est pas très bien écrit mais je pense qu'il y a des éléments intéressants à retenir. Et vu la très bonne mise en forme de cette partie de l'article, je n'ai pas voulu l'écraser avec la mienne de moindre qualité je pense.

Néanmoins, il est important de rectifier à mon sens, que Kubrick réalise juste une succession de trois plans et que l'os ne se transforme pas en vaisseau (même si il y a des guillemets). Aussi, je pense qu'il faut insister sur le fait que cette scène ne provoque pas (ou peu) de rupture entre les deux âges. La visée du film n'étant pas de classer chronologiquement les Hommes mais de les diviser selon des périodes évolutives marquées par le monolithe. Ainsi, il doit y avoir une cohérence entre deux apparitions du monolithe, bien que les Hommes aient, en apparence, changés.

Voici donc :

Une très courte scène du film a particulièrement marqué la conscience collective et engendra de nombreuses parodies : celle où le singe-premier Homme lance en l'air le premier outil de l'humanité, un os. La particularité de cette scène tient essentiellement en sa forme (le montage). Elle est constituée d'une succession de trois plans très courts : deux premiers cadrant l'os en mouvement dans les airs et un dernier cadrant un vaisseau spatial en apesanteur. Cet enchaînement extrêmement simple, puisqu'il n'y a nulle utilisation de transitions (ex : fondu, etc.), est alors à la fois brutal et cohérent. Brutal parce qu'il oppose deux situations très différentes et surtout deux âges très éloignés. Cohérent parce que les formes de ces deux objets sont à l'écran, très semblables et que le mouvement n'est pas rompu. Traditionnellement, un fondu au noir aurait été utilisé pour signifier le changement de contexte. Kubrick permet ainsi d'éviter de créer une certaine forme de rupture avec ces Hommes-singes qui sont, finalement, les mêmes que le film nous expose ensuite. Par ailleurs, il n'y a donc pas réellement "d'aube de l'humanité", la véritable rupture n'étant signifiée que par le monolithe et seulement lui. Cet objet qui lui, sert véritablement de "fondu", n'est qu'un écran noir ponctuant l'évolution des Hommes. Le dernier plan du film le montre bien.

Poke2001 15 juin 2007 à 19:33 (CEST)Répondre

Bonjour Poke2001

Je suis d'accord avec toi sur le fait que ma partie Ellipse n'est pas parfaite et je suis d'accord avec la plupart des changements que tu apporte. Il me semble cependant important de faire attention à deux points:

  • Tout d'abord le fait qu'il y ait 2 plans pour l'os n'est dû qu'au fait qu' il était trop difficile de filmer l'os en train de monter puis, dans la continuité, de redescendre. Il n'est donc pas nécessaire de parler de 3 plans au total (mais plutôt de 2) et de deux plans de l'os (mais plutôt d'un seul).
  • Mais surtout, il est important d'insister sur le poids de l'ellipse de plusieurs millions d'années. Même si Kubrick ne classe pas les hommes comme tu le fait remarquer, il est indéniable que la force de cette scène ultra-connue réside essentiellement dans le fait que tous ce que le spectateur connait de l'histoire de l'humanité ne compte presque pour rien dans l'évolution de cette humanité. Comme le fait remarquer Michel Chion, le monolithe est un instrument de rupture qui délimite les étapes d'évolution de l'humanité. Ta réflexion sur le fait que cette scène soit une rupture brutale et cohérente est donc juste mais il me semble que ma contribution Ceci a pour effet d'effectuer un certain rapprochement entre les deux objets, en l'occurrence l'os et le vaisseau. La force de cette scène se trouve précisément dans l'ellipse que le réalisateur choisit d'opérer. Ainsi pour Kubrick les millions d'années d'évolution de l'homme ne représentent qu'une fraction de seconde. Toute cette évolution n'est qu'une transition qui a permis à l'homme de passer des premières inventions à la marche sur la lune, étape jugée comme révélatrice de maturité puisque c'est ici que l'on découvre le monolithe. L'homme n'évolue donc, dans 2001, que par paliers successifs. est justifiée et que ,du même coup, elle mérite d'être gardée.

Je vais travailler sur une refonte de cette partie et je te proposerait bientôt (mardi ou mercredi je pense) une nouvelle proposition. PS:Il y a une chose que je n'ai pas compris, pourquoi écrit tu que "Par ailleurs, il n'y a donc pas réellement "d'aube de l'humanité", la véritable rupture n'étant signifiée que par le monolithe et seulement lui". En effet je suis d'accord avec la deuxieme partie de la phrase mais c'est bien le monolithe qui crée cette aube de l'humanité en influençant les singes!

En tout cas merci à toi Poke2001 car c'est de la discussion que sort la vérité. Continue à apporter des contributions sur cet article car nous sommes peu à y travailler !

Benjamin.L 15 juin 2007 à 21:52 (CET)Répondre

Entièrement d'accord avec ce que tu évoque aussi. Il faudrait synthétiser tout cela. J'ai fait une erreur en disant qu'il n'y a pas réellement d'aube de l'humanité, je voulais dire que cette première partie où l'on voit des primates n'est pas dissociable de la partie qui suit. J'attribuais l'aube de l'humanité seulement à cette première partie, mais le second titre vient bien plus tard, même après l'ellipse. Merci à toi aussi, je n'ai pas encore pu tout lire de ce que tu as nouvellement écrit mais je te ferai part de mes impressions pour développer encore l'article.

Poke2001 15 juin 2007 à 22:19 (CEST)Répondre

Voila, je pense que la nouvelle Ébauche que je viens de créer synthétise assez bien l'ancienne version avec les nouveaux éléments que tu y a apporté.J' ai gardé ton passage sur l'enchaînement "brutal et cohérent" qui me semblait pertinent ainsi que le passage sur le fait que cet enchaînement soit particulier dans le sens où un fondu au noir aurait été la solution a priori évidente.
  • Si "2001, l'odyssée de l'espace" se résumait à une scène, du moins dans la conscience collective et au vu des nombreuses parodies qu'elle engendra, ce serait sans doute celle où le singe-premier homme lance en l'air le premier outil de l'humanité (un os) et que celui-ci s'élève en l'air puis retombe et se "transforme" soudain en un vaisseau spatial flottant dans l'espace et qui semble même "tomber" dans la continuité de l'os. La particularité de cette scène tient essentiellement en sa forme (le montage). Cet enchaînement extrêmement simple, puisqu'il n'y a nulle utilisation de transitions (ex : fondu, etc.), peut être qualifié à la fois de brutal et de cohérent. Brutal parce qu'il oppose deux situations très différentes et surtout deux âges très éloignés. Cohérent parce que les formes de ces deux objets sont à l'écran, très semblables et que le mouvement n'est pas rompu. Ce montage est une spécificité de l'oeuvre de Kubrick puisque traditionnellement, un fondu au noir aurait été utilisé pour signifier le changement de contexte.

Ceci a pour effet d'effectuer un certain rapprochement entre les deux objets, en l'occurrence l'os et le vaisseau. La force de cette scène se trouve précisément dans l'ellipse que le réalisateur choisit d'opérer. Ainsi pour Kubrick les millions d'années d'évolution de l'homme ne représentent qu'une fraction de seconde. Toute cette évolution n'est qu'une transition qui a permis à l'homme de passer des premières inventions à la marche sur la lune, étape jugée comme révélatrice de maturité puisque c'est ici que l'on découvre le monolithe. L'homme n'évolue donc, dans 2001, que par paliers successifs.

Si tu as des suggestions, n'hésite pas à m'en faire part. Si il n'y a pas d' opposition, je remplacerai jeudi l'ancien paragraphe par celui-ci. Merci

Benjamin.L 15 juin 2007 à 21:52 (CET)Répondre

Ce que traduit sans doute l'ellipse du singe lançant l'arme (l'os) qui retombe sous forme de vaisseau spatial modifier

Une anecdote a échappé à tout le monde et Stanley Kubrick était sans doute à ce propos un génial manipulateur, sans doute d'ailleurs a-t-il contacté Arthur C. Clarke sans lui dire totalement de quoi il s'agissait. Et sans doute Arthur C. Clarke n'a-t-il jamais pu saisir de quoi il retournait. Peu avant la sortie du film, Stanley Kubrick convie Marshall McLuhan et sa famille à la projection du film - une projection privée qui lui était réservée. Le professeur d'Edmonton a-t-il décrypté les paraboles de son oeuvre qui se trouveraient dans le film ? Sur le moment, ce n'est pas certain, encore qu'on ne peut être totalement convaincu de l'attitude qu'il prit à cet instant. Sans doute fut-il surpris de l'ampleur du projet et voulut-il partir au bout de dix minutes. Sa fille Teri le retint, mais il se dit que McLuhan tomba en léthargie durant la projection : il dormait, d'une certaine façon se mit-il en hibernation (notons qu'il venait de se faire opérer quelques mois plus tôt d'une impressionnante tumeur au cerveau).

Plus tard, en 1988, fut publié ce texte à titre posthume dont voici un court extrait (The global Village, Transformations in World Life and Media in the 21th Century, traduction personnelle vu que ce livre - et c'est scandaleux - ne se trouve qu'en anglais...), texte qui - sans le dire - fait parfaitement référence au film qu'il prétendait ne pas vouloir voir. L'analyse qu'il contient est assez saisissante il faut en convenir : «Quand nous sommes allés sur la lune, me dit-il, nous pensions en rapporter les photographies d'un paysage de cratères, à la place, nous avons trouvé l'image de nous-mêmes, voyage égocentrique, auto-amour. Je reprends, l’image dans le miroir, c’est une autre façon de nommer l’eau, qui désigne l’élément changeant de la nature pour l’homme. Narcisse est tombé amoureux de son image reflétée dans l’eau. « Non, répliqua Marshall Macluhan, cela, c’est la manière habituelle de voir. » Narcisse, tel qu’Ovide le décrit, est cet adolescent sauvage qui ne sait reconnaître ni miroir, ni reflet. « Il est tombé amoureux de quelqu’un qui lui était étranger. »

Si Stanley Kubrick convie McLuhan à cette projection, ce n'est sans doute pas au gré d'une simple fantaisie ou du hasard. Et le monolithe dont les singes tombent amoureux ressemble étrangement au miroir de Narcisse dont parle McLuhan dans le livre paru en 1964 “pour comprendre les médias” Les hommes sont fascinés par les prolongements de leur corps mais ne s'y reconnaissent pas et se laissent hypnotiser par cette image d'eux-même pourtant insaisissable. Narcisse tombe amoureux de quelqu'un qui lui est étranger, sans comprendre jamais que ce n'est qu'une partie de lui-même, les grecs ajoutent que Narcisse meurt de son engourdissement comme l'ordinateur meurt de sa passion nouvelle pour la mission qu'on lui a confiée. Le film de Kubrick semble nous indiquer qu'au bout de tous les prolongements de notre corps (l'os prolongement du bras, puis le vaisseau prolongement de la peau), se perpétue la recherche épuisante de notre propre identité.

Et effectivement au regard de l'oeuvre de McLuhan, le film prend une tonalité toute particulière, il est en fait conçu - et je m'étonne toujours que les français se perdent dans des analyses symboliques de détail, alors que c'est l'architecture du film qui en forme le message - comme une immense hypnose. Il n'y a plus de lignes, plus d'horizons à dépasser, tout est en cercle et tourne inlassablement. On promet aux spationautes sous hibernation une vie transparente et sans rêves. Tout est placé sous hypnose par la qualité des espaces et des lumières (diffuses, englobantes), le repli intérieur (la respiration sous le scaphandre). Et comme dit McLuhan, il ne restait plus à prolonger que le cerveau sous forme de circuits électriques et d'ordinateurs, ce qui finit par se produire puisque c'est HAL qui éprouve des sensations et fait part de ses sentiments, qui se met à se passionner pour la mission qu'on lui a confié, tandis que les spationautes s'abîment dans une étrange indifférence, seulement troublée par leur instinct de survie, Ordinateur tellement vivant qu'il meurt d'une thrombose cérébrale en chantant des comptines.

La scène qui me semble significative, mais toutes le sont à des degrés divers, c'est celle de la petite fille : elle rappelle à son père, qui est séparé d'elle par des années-lumières, que c'est son anniversaire. Il lui demande ce qu'elle veut en cadeau : elle répond un téléphone. Mais à quoi peut bien servir un prolongement de l'oreille : des téléphones ? le père est surpris, on en a déjà tellement, on est envahi de téléphones et on ne s'est jamais senti aussi perdus et aussi seuls. Alors le père lui propose de choisir quelque chose de très spécial : elle répond un singe (a bush-baby), autrement dit un enfant de la savane. Et là le père laisse entendre qu'il est trop tard pour retrouver ses racines.

Ce que l'on peut tenter d'éprouver, c'est la façon dont les hommes, quelques apparences qu'ils prennent, se confrontent à ce monolithe, et le mouvement du film semble élaboré suivant ce sens : les singes peuvent le caresser, les spationautes sur la lune ne peuvent plus le toucher sans déclencher un sifflement strident, quant au cosmonaute, sur son lit, qui ne se voit plus vieillir, il ne peut plus que le désigner de loin, comme si, au fur et à mesure de son évolution, l'homme s'éloignait de la compréhension (en sens premier du terme) de cet élément inconnu.

McLuhan faisait remarquer qu'il semblait curieux que les hommes soient si peu capables d'appréhender les effets de ce qu'ils avaient eux-mêmes engendrés, et cela Kubrick l'avait sans doute précieusement noté. Le film est d'une certaine façon, totalement transparent, il ne trouve sa résolution que dans la mesure où l'on épouse l'hypnose qu'il propose. Parce qu'à ce moment là, nous comprenons qui nous sommes. Véritablement.

Voila une lecture très intéressante de ce film. Je t'engage à réfléchir à un paragraphe que nous pourrions insérer dans l'article et qui décrirait cette vision de 2001. Je suis assez d'accord avec la vision du monolithe en tant que miroir et référence au narcissisme teinté d'incompréhension de l'homme; ainsi que sur l'idée que la distance avec le monolithe ou les sifflements stridents rendent compte d'un éloignement de l'homme avec cette compréhension.

Ceci étant, je suis aussi persuadé que réduire le film à cette vision entraine un appauvrissement important de l'oeuvre, alors que Kubrick répettait sans cesse que les nombreuses lectures que l'on pouvait faire de son film étaient le plus souvent vraies et qu'il avait voulu faire un film qui pourrait être compris différemment selon les personnes. C'est la raison pour laquelle nous essayons (et j'entends par "nous" tous ceux qui cherchent à comprendre un peu mieux ce film, français ou non) d'aborder cette oeuvre d'une manière générale mais aussi un peu plus précise (sans pour autant "se perdre dans des analyses symboliques de détail" comme tu semble le penser). Enfin, dernière chose, je ne pense pas que dans ce film, "tout est en cercle et tourne inlassablement", mais plutôt que l'humanité est décrite comme léthargique TANT QU'ELLE NE PASSE PAS A UN STADE SUPERIEUR (ce qui se produit quand même 2 fois). L'importance de ces deux dépassements (qui introduisent donc une idée de progression et non un mouvement cyclique) étant renforcée par la musique choisie par Kubrick (Ainsi parlait Zarathoustra qui symbolise l'arrivée d'une ère nouvelle car Zarathoustra est considéré par Nietzsche comme le premier penseur). J'espère que mes quelques remarques seront profitables pour peut-être améliorer l'article. Si tu veux y répondre, surtout n'hésite pas! Merci

Benjamin.L 21 août 2007 à 13:59 (CET)Répondre

" Le mythe grec de Narcisse se rapporte expressément à une réalité de l’expérience humaine, comme le désigne le vocable Narcisse, étymologiquement dérivé du mot ναρηoσiς, qui signifie engourdissement... Et ce en quoi le mythe de Narcisse est remarquable, c’est qu’il indique comment les hommes sont immédiatement fascinés par une prolongation d’eux-mêmes, faite d’une autre matière qu’eux-mêmes. " Marshall McLuhan, Pour comprendre les médias.

Je ne sais pas si telle ou telle « lecture » réduit ou ne réduit pas l'oeuvre, ce que je peux constater effectivement, c'est que l'article commence par décrire ce qui est une charpente de cette oeuvre. On ne peut pas dire par exemple que ce film n'a pas de structure, au contraire il est construit avec une rigueur extrême et suit une progression somme toute implacable. Et d'ailleurs ce que l'article explique à mon avis bien, c'est que cette charpente émotionnelle en trois parties nettement distinguées (narrative, je ne sais pas et cela n'a pas beaucoup d'intérêt) trouve un miroir dans l'architecture des décors, des lumières, du montage, etc. Et il est rappelé fort bien que Kubrick joue d'un mélange savant et ordonné de formes pointues et rectangulaires et de formes circulaires. Mais en fait, si on réfléchit à l'ensemble du film, on s'aperçoit bientôt que ce qui fait son unité architecturale c'est la façon dont il noie

  • par une science des lumières - soit une lumière crue et coupante pour les vaisseaux - soit une lumière enveloppante, englobante pour les intérieurs,
  • par une science du décor et des choix de focales d'objectifs : l'impression permanente d'être pris dans un bocal sans aspérités,
  • par une science du montage, et l'article rappelle bien que la césure principale du film entre le singe lançant l'os et le vaisseau s'effectue de manière directe, mais le mouvement permet d'en annihiler la brutalité : on ne sent qu'à peine le passage. (Effectivement, un fondu enchaîné aurait joué comme un symbole et aurait tout détruit. Là, le montage joue comme un escamotage),

... toute l'ambiance, et la seconde caractéristique de ce film : c'est le flottement, tout est mortellement doux et flottant, et la violence est tapie au plus profond, elle n'apparaît que de façon insidieuse. Nous sommes placés en quelque sorte, sous hypnose.

Pour moi, c'est ce mélange entre une charpente très structurée et l'annihilation permanente des sautes, des césures, des syncopes qui crée cette ambiance particulière. J'appréhende d'autant mieux le vide que soudain j'escamote sans crier gare ce qui faisait la matière des sons et des images : d'où la force du silence dans l'espace qui est monté comme est monté le fameux raccord : coupure nette, mais étrangement invisible, noyée dans l'ambiance et dans la régularité (ce que je voulais dire par "tout tourne sans fin", ce qui n'empêche pas la progression par ailleurs.)

Je voudrais citer un autre passage de McLuhan qui n'est pas sans rapport selon moi avec le film, et révèle que Kubrick sans doute avait excellemment saisi le dilemme qui se traduit selon moi par cette architecture très particulière, c'est une interview réalisée par Jean-Louis Ezine et publiée dans un livre intitulé : "les écrivains sur la sellette" publié en 1981 « JLE : Vos prophéties électroniciennes évoquent plutôt une Apocalypse qu'un avènement. Ce n'est pas là le moindre paradoxe qu'une méditation profondément influencée par les thèmes du christianisme. MML : voir également Joyce...le Finnegans Wake a lieu le jour même du jugement, le dernier jour. À l'heure électronique, chaque jour est le dernier, le jour du jugement. JLE : la logique du Software et de la communication totale, telle que vous la développez, nous semble aboutir à l'annexion puis à l'abolition de l'individu en tant que libre conscience, bref à la disparition de tout projet humain de communication et de toute possibilité d'histoire nouvelle... MML : Nous sommes tous devenus sur-humains. JLE : On croirait entrer dans l'univers rectiligne et mortel de Big Brother, le héros de George Orwell dans 1984. MML : Non pas rectiligne, mais sphérique. Je décris un système acoustique de résonances ... On sait aujourd'hui qu'il n'y a pas de suite dans la structure synchronique de la matière ; tout est présence simultanée. La gravité est un champ acoustique de résonances simultanées. La matière est immatérielle ... »

Or donc effectivement, on pourrait regarder l'article en fonction aussi de cela. En prenant toutes précautions que vous rappelez et que vous avez raison de rappeler, je pense que Kubrick explique assez bien que son film est une expérience multi-sensorielle et donc ne peut pas se réduire à la parole, forcément linéaire, tandis qu'il s'emploie à poser sur la pellicule un système de résonances acoustiques, comme le dit McLuhan. Le beau-frère de Stanley Kubrick était venu à Paris au moment de la réalisation du film de Steven Spielberg. Je lui avais posé la question concernant McLuhan à une époque où je ne savais pas que le metteur en scène avait invité l'universitaire et sa famille à une projection privée, mais où je savais que l'un de ses collaborateurs, Jérôme Agel avait travaillé avec McLuhan à cette même époque, notamment à la rédaction du livre intitulé "inventaire des effets, le média est le massage" (Maintenant, le monde entier est un sage). Le beau-frère m'a répondu qu'il ne voyait pas du tout de quoi je lui parlais et où je voulais en venir, et quand une autre personne a cité Finnegans Wake, il ne voyait pas non plus. Sur un certain nombre de points et on le sait dans les rapports qu'il entretenait avec ses acteurs, il jouait de manipulations. Je suis intimement persuadé pour exemple qu'il n'a jamais évoqué McLuhan devant Arthur C. Clarke. C'est une chose assez étonnante mais qui, vu l'ampleur de la tâche, peut se comprendre.

Jean-Loup C. le 21 août 16h20 puis --212.198.189.1 22 août 2007 à 00:56 (CEST)Répondre

Je suis maintenant d'accord avec ton idée (beaucoup plus que je ne l'était à ton premier post) sur l'hypnose. Pourrais-tu écrire dans cette page discussion un paragraphe (ou deux) qui décrirait cette vision de l'oeuvre (en précisant, commme il est de rigeur dans une encyclopédie, que cette lecture n'est pas forcément la seule) et qui permettrait d'enrichir cet article .Je m'occuperai ensuite de la mise en page et d'insérer ce paragraphe dans l'article. Merci

Cordialement Benjamin.L 22 août 2007 à 11:43 (CET)Répondre

Désolé, pas d'accord. Comme l'intervention ci-dessous le relève, cet article a déjà assez dérapé, et y ajouter un travail personnel en plus ne va pas l'améliorer. Pour mémoire, WP:TI vous fera comprendre qu'il est totalement exclu d'ajouter un paragraphe basé sur l'analyse personnelle ci-dessus. Il faudra d'ailleurs un jour nettoyer l'article de la masse d'analyses personnelles qui l'étouffent. Bradipus Bla 23 août 2007 à 08:07 (CEST)Répondre

Tout cela est-il bien nécessaire ? modifier

Je vois que l'article prend une ampleur considérable grace au travail de nombreux fans, mais moi qui aimait tant m'atteler à cet article... j'ai peu à peu déserté. J'ai l'impression que l'on finit par s'égarer du film, que l'on s'enfonce dans des explications trop cadrées. Le grand génie de Kubrick a été de créer un film totalement impalpable, je crois qu'un bouquin de 400 pages ne pourrait même pas cerner son oeuvre. Plus je lis vos passionantes analyses et plus je me dis "à quoi bon ?". Au fond, ce que nous essayons de faire, c'est un compte rendu de toutes les interprétations possibles. Mais c'est impossible ! 2001 : l'odyssée de l'espace est bien plus qu'un film, c'est une nouvelle forme d'art, une symphonie visuelle. On ne pourra jamais faire un compte rendu de ce qu'un morceau de musique génère, et au même titre, je pense qu'on ne pourra jamais cerner ce film. Il résonne différemment en chacun de nous, tout comme le fait la musique. On peut tirer quelques pistes de compréhension, car il y a malgré tout un scénario consistant, mais c'est comme chercher à expliquer une chanson par son texte... on passe à côté de l'essentiel. Selon moi, le meilleur hommage que l'on pourrait faire à Kubrick serait de laisser ces analyses de côté, pour n'intégrer que sa citation. Kubrick s'est toujours montré mystérieux sur son oeuvre, son explication se lit à travers son film, et seulement ici. Il n'a jamais désiré donner plus d'explications, laissons donc lui la parole, laissons les gens ressentir 2001 : l'odyssée de l'espace comme ils l'entendent, c'est ce que souhaitait Kubrick.

Poke2001 23 août 2007 à 07:03 (CEST)Répondre

Voir mon intervention ci-dessus. Totalement d'accord, l'article est un nid de WP:TI qui doit être nettoyé. Bradipus Bla 23 août 2007 à 08:08 (CEST)Répondre
J'avoue que je suis moi même embarrassé avec ce problème. Je suis tout à fait d'accord avec le fait que l'analyse de Jean-Loup C. s'écarte du but purement encyclopédique et peut même dans une certaine mesure "déraper". Cela dit il est difficile, même avec les règles de Wikipédia, de discerner l'analyse objective (nescessaire pour comprendre n'importe quelle oeuvre) et l'analyse personnelle ou le TI. Pour les analyses que j'ai avancé dans l'article (symbolique des formes, dualité des héros, ...),je ne me suis appuyé que sur des sources référencées (Michel Chion, ...) donc j'aimerais aussi savoir où se trouve ce "nid de WP:TI ". Pour ce qui est de l'analyse de Jean-Loup C., il est vrai que j'ai oublié de lui demander les sources qu'il avait utilisé et je m'en excuse. Merci de vos conseils, Bradipus et Poke2001. Benjamin.L 23 août 2007 à 11:25 (CEST)Répondre
Au sujet du nid de WP:TI (ou, en tout cas, de travait non sourcé):
Bradipus Bla 25 août 2007 à 10:59 (CEST)Répondre
Si je puis me permettre concernant :
  • le chapitre ellipse, effectivement peut-être conviendrait-il mieux de qualifier cette ellipse comme enchaînement audacieux ou enchaînement direct si on ne veut pas le qualifier subjectivement (en musique on dirait qu'il s'agit une dissonance sans préparation à la manière de Claude Debussy), plutôt que comme une spécificité. Et là je pense que ce paragraphe devient une constatation quasi-objective qui n'appelle pas tant de commentaires.
  • le chapitre "dualité des héros", déjà la qualification de "héros" pose tout de même question, peut-on qualifier les personnages qui sont présentés comme des "héros" au sens étymologique de "demi-dieux" ? Cela peut se défendre si l'on considère le titre du film "une odyssée de l'espace" (je prends la traduction littérale à dessein), l'Odyssée étant typiquement une épopée au sens aristotélicien (Poétique (Aristote)), ceci peut se défendre, mais si l'on considère chacun des protagonistes dans leur action, le seul qui me semble convenir à la destinée épique, c'est le cosmonaute joué par Ker Dullea, les autres me semblent plutôt des figures et l'article note d'ailleurs avec justesse une étrange passivité qui ne correspond pas exactement à la définition du héros.
De même la dualité me semble renvoyer à l'aspect tragique du récit, le seul genre où l'on trouve des héros en proie à la dualité, c'est la tragédie : Œdipe, Hamlet, Macbeth, Othello etc. Et si l'on observe l'arc tragique du film, le véritable personnage de la tragédie, s'il doit s'en trouver, ce serait à nouveau le cosmonaute, pris entre le respect de la mission qu'on lui a confié et sa propre survie, pour les autres il semble qu'il faudrait plutôt parler d'ambivalence.
Si l'on voulait établir un caractère encyclopédique au titre du chapitre peut-être conviendrait-il déjà pour commencer d'intituler ce chapitre : ambivalence des protagonistes, et en sous chapitre : dualité du héros, si jamais il se trouve une spécificité à son égard.--Gihel C. 25 août 2007 à 14:38 (CEST)Répondre
C'est pour cela que j'ai ajouté cela dans la partie discussion, comme un appendice. Je me garderai bien de toucher à l'article et cette contribution peut même disparaître de la discussion je n'en prendrai pas ombrage. Il va de soi que mon analyse est personnelle, elle résulte d'un regard personnel sur l'oeuvre - cela fait un moment que je fais cela, la référence que je peux fournir c'est celle de ma thèse de troisième cycle sur l'espace cinématographique : "LES MOTIFS DE PERCEPTION VISUELLE DE L'ESPACE EN PROFONDEUR DES IMAGES ANIMÉES PLANES AU CINÉMA ET A LA TÉLÉVISION, LEUR VARIATION SUIVANT LA TECHNIQUE DE DIFFUSION DE L'IMAGE"

Référence : 88PA010561. Donc je fais l'hypothèse d'un lien avec McLuhan simplement à la vue des images (et à l'audition du son), il y a quelques années de cela : je vois l'ellipse et je pense au medium comme prolongement du corps : symboliquement l'idée de Mcluhan était comme traduite directement à travers le geste et l'ellipse, mais effectivement c'était une interprétation. Cependant, en cherchant des livres sur le sujet, je découvre l'existence de celui de Jérôme Agel, sur 2001 précisément, or à la même époque avait-il édité celui de McLuhan. Bizarre coïncidence confirmée plus récemment par deux biographies de cet auteur, celle de Philip Marchand « The Medium and the Messenger » publié chez Ticknor& Fields (NY) en 1989 qui décrit ceci - la traduction est approximative je vous prie de bien vouloir m'en excuser : « Au même moment, d'autres étoiles des mass-media sollicitèrent McLuhan à New-York. Stanley Kubrick organisa une projection privée pour la famille McLuhan de son nouveau film 2001 : une odyssée de l'espace. Par malchance McLuhan détestait la science-fiction : c'est peut-être habile, pensait-il mais c'est loin de ce que l'art peut apporter comme richesses perceptives. Sa fille Teri le retint de quitter la salle au bout de dix minutes de projection, mais le film ne changea pas son opinion sur le genre. Au beau milieu, la valse de Strauss était ponctuée de ronflements (McLuhan eut la même réaction en face des projets d'avant-garde, des montages multi-écrans dont il se découvrit le sujet à New-York). » Quand on lit Mcluhan le point de vue sur la science-fiction est beaucoup plus nuancé que le biographe le laisse entendre, le canadien cite de lui-même Robert A. Heinlein, qu'il a visiblement lu, et j'en passe d'autres. La biographie de W. Terrence Gordon, intitulée “Escape to understanding” et publiée en 1997 chez Basic Books, New-York, décrit la scène ainsi : « Les Mcluhan furent invités à une projection privée, personnelle, du film de Stanley Kubrick, 2001, avant que celui-ci ne soit distribué en salles, mais dix minutes suffirent pour plonger McLuhan dans l'ennui. Ce n'est que sur l'insistance de Teri qu'il resta jusqu'à la fin, somnolant la plupart du temps. C'était une réaction typique de sa part, que cet aphorisme résume : “comme il est plaisant d'avoir l'avant-garde derrière soi.” » Puis l'auteur de la biographie cite cette autre phrase : « Qu'est-ce que tout cela a à voir avec mon travail ? » Il est bien possible que le film réponde de lui-même à la question, et il semble bien que l'avant-garde ait été bien proche si ce n'est devant.

Il semble clair que Stanley Kubrick a dû être profondément blessé du résultat de la projection, visiblement c'était un hommage qu'il voulait lui rendre : avant la sortie publique, organiser une projection privée réservée d'un film aussi cher à tous points de vue, cela ne me semble pas anodin. D'où l'idée naturelle de se demander : qu'est-ce qui attirait Kubrick dans la lecture de McLuhan, notamment le livre « pour comprendre les medias » paru en 1964 ?

Il est évident que McLuhan n'en a jamais parlé, pas plus que Kubrick, et sans doute devait-il regretter plus tard son attitude qui résultait d'un préjugé (à cette époque l'opération de sa tumeur au cerveau datait de quelques mois), les textes dont je reproduis un court extrait le démontrent, on pourrait prendre d'autres exemples, il est dit dans le corps de l'article que l'un des deux cosmonautes est gaucher : dans le travail de McLuhan il y avait cette notation sur les deux hémisphères du cerveau qu'il attribuait pour l'une à la civilisation visuelle et séquentielle et l'autre aux civilisations orales et intuitives, - être gaucher c'est percevoir le monde sous un autre angle - et dans le film il est évoqué cette dualité entre l'intuition, ou plutôt une sensation impalpable, et la logique. Cependant vous avez raison, cela mérite au préalable une publication écrite, c'est un projet que j'ai mais il est à longue haleine parce que je veux publier en une seule fois l'ensemble de mes cours de scénario et de mise en scène.

Je rajoute un petit appendice humoristique, entre tous ces médias prolongation du corps : l'os qui s'élance dans le ciel et le vaisseau spatial qui retombe dans la nuit, il y a bien quelque chose que Kubrick glisse malicieusement un prolongement de même forme et qui flotte pareillement : un stylo. Un stylo que l'hôtesse s'empresse de ranger dans la poche de son utilisateur endormi.

--212.198.189.1 23 août 2007 à 18:22 (CEST).Répondre

Entièrement d'accord avec vous Poke2001, cet article est un ramassis d'idioties. Non pas par la pertinence des analyses, mais simplement par leur présence. L'article devrait simplement proposer un résumé détaillé, une fiche technique, les distinctions reçues et éventuellement quelques anecdotes autour du film. Mais le tout sourcé ! Et j'insiste la dessus. Parce que certains semblent avoir pris l'article en otage avec le désir psychotique d'exposer leurs interprétations personnelles. Selon moi, il faut repartir de zéro et écrire quelque chose de simple autour du scénario du film. 2001 pose des questions, les réponses sont en l'intérieur de chacun de nous. Et ce serait une profonde erreur que de rationaliser l'œuvre ici même. Fait-on cela pour chaque nouvelle chanson ? Fait-on cela pour chaque nouveau film ? Non, et bien pourquoi un traitement de faveur ? Parce que 2001 est une œuvre géniale je vous l'accorde, cela dit je trouve cela presque insultant d'en publier des analyses qui se prétendent solides et objectives. 2001 n'a pas été conçu pour être livré avec un bouquin de philosophie, les analyses de l'article peuvent être pertinentes, mais elles n'ont pas leur place. 2001 pose des questions ! C'est tout ! Et plus on s'égare des questions, plus on s'égare du film. S'il y avait une seule analyse à écrire, ce serait celle-ci : "C'est la tentative d'un imbécile de raconter quelque chose d'incompréhensible", dite par Kubrick lui même. C'est sûrement la plus belle interprétation et la plus sage que j'ai pu lire. 90.12.111.253 (d) 24 août 2008 à 05:51 (CEST)Répondre
Etant d'une nature assez polie, je ne vais pas m'énerver apres ce geste quelque peu ... déplacé (suppression par 90.12.111.253 d'un tiers de l'article sans réelle justification rationnelle (cf "cet article est un ramassis d'idioties. Non pas par la pertinence des analyses, mais simplement par leur présence").Je souhaite juste rappeler à ce contributeur, qui peut naturellement exprimer librement ses idées, que la rédaction de cet article ne s'est pas fait en un jour mais par une suite de discutions sur sa pertinence et une volonté continue d'amélioration. Je ne redévelopperai pas ici les points déjà expliqués pour lesquels ce film nécessite une section analyse (que nous avons voulue différente d'une "interprétation"); mais je voudrai juste faire remarquer que, conformément aux principes de Wikipédia, cette section s'appuie sur des analyses sourcées contrairement à ce que vous affirmez (un simple coup d'oeil dans la partie "notes" en bas de l'article suffit à le démontrer). Si je suis bien conscient qu'il faut améliorer ce sourçage je vous certifie que nous y travaillons (il n'y a qu'a voir la récente discution au sujet de l'analyse non sourcée d'Achambily) et vous ferai remarquer que ce n'est pas en commetant de tels actes de vandalismes que vous nous aiderez à les résoudre. Je reste bien entendu ouvert à tout nouvel argument et à toute discution.

Cordialement Benjamin.L 24 août 2008 à 10:50 (CEST)Répondre

Bah, de la façon dont je l'ai modifié, ça n'a plus grand chose de non factuel hein ;-) --Axel (d) 24 août 2008 à 12:27 (CEST)Répondre
Ce film ne nécéssite pas de section analyse, sauf une analyse purement technique, et mon acte de vandalisme est réfléchi. Si cela ne vous aide pas à vous remettre en question, alors la philosophie Wikipédienne est totalement bidon. Puisque chaque article est en fait tenu en otage par deux ou trois personnes pensant détenir le style et la forme adéquate pour régner sur l'encyclopédie. Par ailleurs le mot vandalisme est un peu fort, dans le cas présent, j'ai plutôt l'impression d'avoir tiré la chasse que d'avoir brulé un bouquin de Kant. Quant aux sources, je vous prie de relire l'article et d'éviter d'être hypocrite sur ce sujet à l'avenir. A bientôt. 90.12.111.253 (d) 24 août 2008 à 15:44 (CEST)Répondre
Le paragraphe "ellipse" illustre bien la pauvreté analytique de l'article. Très peu sourcé d'une part, et techniquement à côté de la plaque. Ce qui est qualifié "d'ellipse" ici n'est rien d'autre qu'un montage parallèle (ou alterné selon l'angle dans lequel on se place, et c'est ce qui en fait sa magie). Non, l'os ne se transforme pas en vaisseau spatial, et encore moins en bombe nucléaire (le seul passage sourcé nuit à la compréhension, bravo) ! Ce sont juste deux plans qui se succèdent, liés par le temps et l'espace (ou pas, selon l'angle dans lequel on se place) dans un contexte différent. Je ne suis pas contre une analyse technique du film, mais si elle est faite par des guignols, ce serait plus responsable de la supprimer. 90.12.111.253 (d) 24 août 2008 à 16:22 (CEST)Répondre

Bonjour, en effet inutile de s'énerver. Surtout que dans le fond cet utilisateur n'a pas tort. Beaucoup de fans ont prit l'article sous leur aile mais sans forcément être très calés dans le cinéma en général. La remarque sur l'ellipse est pertinente, je me suis renseigné sur le montage parallèle et alterné et ça semble coller ! Je ne suis pas d'avis de tout raser, mais de grosses rectifications ne feraient pas de mal. Poke2001 (d) 27 août 2008 à 17:17 (CEST)Répondre

Par ailleurs Benjamin je constate que ce n'est pas la première fois que votre travail est vandalisé pour ce motif d'objectivité. Je le regrette, mais ça ne doit pas être totalement infondé. Il serait peut-être bon de laisser cet article respirer un peu... Poke2001 (d) 27 août 2008 à 17:29 (CEST)Répondre

Bonjour. Tout d'abord pour répondre à 90.12.111.253 je signale que le mot vandalisme n'est en rien une de mes inventions mais bien un terme technique de Wikipedia. De plus je suis heureux de voir que vous pouvez vous rendre compte de vos erreurs (le "aucune source" se transformant peu à peu en " Très peu sourcé", on se rapproche peu à peu de la vérité). Sachez que je n'ai rédigé qu'une petite partie de cette partie analyse et que je ne souhaite en aucun cas la "prendre en otage" et que je ne pense absolument pas " détenir le style et la forme adéquate pour régner sur l'encyclopédie". Je terminerai en disant à Monsieur Paul Duncan (auteur cité dans l'article) si jamais il lit ces lignes que je ne considere pas pour ma part son analyse comme " faite par des guignols". Je precise que je ne répondrai plus aux messages de 90.12.111.253.
Quant à vous cher Poke2001 je vous remercie de votre critique bien plus constructive. N'hésitez pas à reorganiser ou à réécrire un peu cette partie. Je suivrai vos conseils de " laisser cet article respirer un peu" car je reconnais avoir été un peu influencé par mon envie d'améliorer cet article (meme si ce ne sont pas les parties que j'avait écrites qui avaient été vandalisées auparavant et que c'est donc la premiere fois que cela m'arrive). Cordialement Benjamin.L 27 août 2008 à 12:59 (CEST)Répondre
Je tenterai quelques améliorations si j'ai le temps. Mais je ne rédige plus beaucoup (même plus du tout) sur Wikipédia, cela risque d'être difficile. Poke2001 (d) 30 septembre 2008 à 19:17 (CEST)Répondre

Un joli exemple pour mémoire... modifier

Digression bourée de fôtes révertée par Gonioul. Digression qui nous permet de constater que Kubrick était vraiment un visionnaire: qui d'autre que lui aurait été capable de synchroniser, en 1968, son film avec un morceau de musique sorti en 1971   Bradipus Bla 11 octobre 2007 à 22:54 (CEST)Répondre

Ce n'est pas parce qu'un "morceau de musique" (des Pink Floyd tout de même... et de 20 minutes) est publié en 1971, qu'il n'a pas été composé 3 ans plus tôt pour Kubrick. Cette rumeur persiste, et je pense qu'il n'est pas inutile de la connaître. Poke2001 14 octobre 2007 à 01:32 (CEST)Répondre

Suppression modifier

Je viens de voir qu'un autre utilisateur avait supprimé toute une partie de l'article car il l'a jugeait trop peu objective. J'ai annulé cette modification , non que je le désapprouve totalement mais parceque je pense qu'une décision de cette ampleur doit avant tout etre discutée avant d'etre appliquée. Je précise que ce n'est pas moi qui ait rédigé cette partie supprimée. En attendant vos reactions... Benjamin.L 08 décembre 2007 à 15:11 (CEST)Répondre

Vu le contenu, la suppression était largement justifiée. keriluamox reloaded (d · c) 8 décembre 2007 à 16:57 (CET)Répondre
Et j'ai resupprimé: je comprend ta réaction en un sens, mais en fait il a tout à fait raison, tout ce texte, pas inintéressant, est non sourcé et est donc a priori un travail inédit interdit sur WP. Tout le monde peut s'exercer à la philo de comptoir sur 2001, et certaines analyses peuvent être intéressantes, mais si elles n'ont pas été publiées dans une source vérifiable, elle doivent être supprimées. Il y aurait d'ailleurs encore du travail sur cet article   Bradipus Bla 8 décembre 2007 à 16:58 (CET)Répondre
Le problème aussi, c'est qu'il y a un copyvio de http:// cine-passion.site.voila.fr/f2/odysee.htm , donc pas question de le remettre (voir même faire une purge d'historique). Flot2 (d) 8 décembre 2007 à 17:11 (CET)Répondre
Mais qui a copié? Lors de sa création le 26 avril 2006 (http:// web.archive.org/web/*/http:// cine-passion.site.voila.fr/f2/odysee.htm) , la page de Cinépassion copie la page de WP du 13 avril 2006. Si je ne m'abuse, ce site est géré par un ex-contributeur dont on ne veut plus entendre parler (et dont le site est blacklisté). Bradipus Bla 9 décembre 2007 à 12:10 (CET)Répondre
Devant vos justifications la suppression me paraît légitime. Si jamais quelqu un veut la contester par la suite il n aura qu a expliquer ses raisons ici. Et bien maintenant...il va falloir se mettre au travail pour rédiger un petit texte pour remplacer l'ancien (car le son et la musique sont tout de meme importants dans 2001). J'essaierai de le faire au cours du prochain mois.Benjamin.L 09 décembre 2007 à 12:45 (CEST)Répondre
C'est moi qui avait effectué la première suppression. Je ne suis pas le Père Fouettard, et ce passage était vraiment intéressant, mais bon, dura lex sed lex. Par ailleurs, ça serait vraiment une bonne idée de sourcer la section "Interprétation" de manière un peu plus rigoureuse (trois notes de bas de page, c'est quand même pas lourd). Pourquoi ne pas s'inspirer de la version anglophone de l'article? Mrbluesky (d) 1 mai 2008 à 22:56 (CEST)Répondre

Exégèse musicale modifier

Le fait que J.Strauss est antérieur à R.Strauss est effectivement facile à vérifier, mais le fait que Kubrick aie volontairement utilisé cette inversion chronologique pour "ajouter du mystère" reste à démontrer, et surtout à sourcer. Ceci est un pur hasard, sans signification, et l'interprétation de ce hasard est une exégèse qui relève du travail inédit. Il est évident que cette exégèse ne peut subsister dans l'article que si elle est vérifiable, ce qui n'est pas le cas actuellement.

J'ajouterais que l'utilisation de la musique de Ligeti, plus moderne encore que les Strauss, pour illustrer le monolithe qui date de temps immémoriaux, est une inversion temporelle encore plus brillante et qui ajoute un mystère encore plus insondable  . Qu'en pense le reste de la communauté qui suit cet article ? --Jean-Christophe BENOIST (d) 20 mai 2008 à 11:20 (CEST)Répondre

parfaitement, bravo ! ajoute-le ;-) --Axel (d) 21 mai 2008 à 19:05 (CEST)Répondre

Je partage ton avis sur le fait qu'il s'agit, faute de référence, d'un travail inédit d'analyse (Brunok (d) 20 mai 2008 à 13:59 (CEST))Répondre

bah oui, mais inédit est-il synonyme d'inintéressant ou de dénué de sens ? la remarque apporte-t-elle quelque chose ? (pour moi oui...) --Axel (d) 21 mai 2008 à 19:05 (CEST)Répondre

Là n'est pas la question. Même si ton exégèse était objectivement foudroyante et géniale (ce qu'elle n'est pas), c'est tout simplement incompatible avec WP:TI et WP:V. As-tu au moins lu ces deux pages ? Pourquoi contribuer à un projet dont tu refuses de respecter les règles les plus essentielles ? Si on accepte ce genre d'exégèse inédite dans cet article (ou dans d'autres), alors comment traiter et gérer les mégatonnes d'exégèses inédites qui peuvent être faites sur ce film, et qui pourraient être mises ici par n'importe qui. Sur quel(s) critère(s) les juger ?

mais justement, il serait peut etre intéressant de les entendre, non ??? (voir aussi ce que j'ai dit sur ma page de discussion) --Axel (d) 22 mai 2008 à 17:23 (CEST)Répondre

Je suis inquiet que tu ne perçoive pas l'absolue nécessité pour WP de respecter ces deux règles. Si tu n'es pas convaincu par les deux pages que j'ai citées, et par mes propres arguments, il faudrait qu'un administrateur te les répète, avec des arguments qui peuvent être plus percutants.

et bien justement, j'aimerais beaucoup avoir un avis officiel ... personne ne peut trancher ? il n'y a pas de comité des sages ? de modérateur ? on ne peut pas demander un arbitrage ? --Axel (d) 22 mai 2008 à 17:23 (CEST)Répondre

--Jean-Christophe BENOIST (d) 21 mai 2008 à 19:52 (CEST) Tout au plus Kubrick y aura vu une opportunité, sans source c’est de la spéculation,Répondre

mais bon sang, c'est une constatation OBJECTIVE : les musiques SONT dans cet ordre !!! --Axel (d) 22 mai 2008 à 17:23 (CEST)Répondre

pourquoi ne pas reformuler la phrase plutôt sur "une musique mystérieuse et insondable" sans faire mention de cette inversion ? --Proto 21 mai 2008 à 20:15 (CEST)Répondre

ah ben non, justement, là ça devient du charabia psycho-bidule... Le seul intérêt c'est l'inversion justement !!!

@ Axel mais inédit est-il synonyme d'inintéressant ou de dénué de sens ?, dans le cadre de wikipédia, on s'en fout. LA règle est simple, pas de travail inédit WP:TI, et aucune objection possible à cela. En l'état, j'ai posé un {{refnec}} sur la phrase en question, car si ça se trouve, il peut exister des sources. Mais si aucune source ne peut etre trouvée (ce qui me semble probable, vu que tu avoues toi meme que c'est ton analyse), je repasserai pour supprimer cette phrase. Cordialement, Maloq causer 21 mai 2008 à 20:47 (CEST)Répondre

merci, ça me parait déjà moins stalinien ! --Axel (d) 22 mai 2008 à 17:23 (CEST)Répondre

Déplacement de commentaire ayant coupé la discussion [1]:

merci quand meme ! --Axel (d) 22 mai 2008 à 17:23 (CEST)Répondre

D'accord avec Maloq, application d'un principe de base de wikipédia. Sans source notable rapidement trouvée, à supprimer de l'article. Bradipus Bla 22 mai 2008 à 18:28 (CEST)Répondre

En accord avec Maloq et Bradipus, il est maintenant temps de faire disparaitre cette exégèse inédite. Qui plus est, elle est mal intégrée à l'article car - là où elle est placée - on peut croire que le "ceci a pour effet" qui suit est une conséquence de cette remarque, ce qui est faux. Cette remarque, bien que factuelle (mais on pourrait faire des centaines de "remarques factuelles" dans l'article, comme celle que j'ai inventée au début de la discussion) n'a rien à faire dans l'article. --Jean-Christophe BENOIST (d) 21 août 2008 à 16:42 (CEST)Répondre

paragraphe « Rupture » modifier

Un "exégète" du film pourrait-il confirmer que la première manifestation de "dérèglement" de HAL se produit au moment de la partie d'échecs dans laquelle l'ordinateur démontre le mat en se trompant ? (lu quelque part, il y a quelque temps, je ne sais plus où...) Merci de votre attention. Cordialement, -- Arcane17 d 20 août 2008 à 16:31 (CEST)Répondre

Il se trompe non dans la démonstration du mat, mais dans l'énoncé des position des pièces. On trouve une telle exégèse ici par exemple. Mais a mon humble avis, c'est au mieux mineur, et au pire c'est une exégèse abusive. --Jean-Christophe BENOIST (d) 20 août 2008 à 17:49 (CEST)Répondre
Dans le livre, HAL n'a aucun problème avec les jeux. Je pense que c'est à retirer, parce qu'il y a des chances que l'erreur soit involontaire de la part du réalisateur.
Pour moi, une erreur avant l'annonce de dysfonctionnement de l'antenne ne colle pas avec le diagnostique psychologique de HAL que fait Chandra dans 2010. BOCTAOE. Ou pas. Barraki Retiens ton souffle! 24 septembre 2008 à 01:57 (CEST)Répondre
2010 n'est pas réalisé par Kubrick donc c'est tout à fait probable que ce détail ait échappé au réalisateur. De plus, je doute fortement qu'un tel détail ait été laissé au hasard par Kubrick, passionné d'échecs qui plus est ! Poke2001 (d) 30 septembre 2008 à 19:13 (CEST)Répondre
Oui, mais le livre a été écrit par Clarke. Reste à savoir si le rapport psychologique du film est fidèle au livre.. --Jean-Christophe BENOIST (d) 30 septembre 2008 à 19:24 (CEST)Répondre
Le rôle de AE 35 est le même. HAL le voit comme ne fonctionnant pas par acte manqué. Le coup de l'interrogatoire dont Dave se vexe colle parfaitement avec ça, pas le fait de se tromper aux échecs. Ou alors il faudrait que vous trouviez une source disant que selon Kubrick, HAL était défaillant et commettait des erreurs. Selon Clarke, HAL cherchait seulement des issues à des ordres contradictoires. BOCTAOE. Ou pas. Barraki Retiens ton souffle! 1 octobre 2008 à 19:09 (CEST)Répondre
Il existe une source ici, comme je le disais plus haut. Mais.. cf. plus haut.. --Jean-Christophe BENOIST (d) 1 octobre 2008 à 20:50 (CEST)Répondre
Même sans se référer à la suite du roman, ou au roman éponyme, on peut deviner d'après le dialogue qui précède que ce qui déclenche le “conflit psychique” de HAL est essentiellement le fait d'avoir à dissimuler une information, à mentir par omission, alors qu'il a été programmé (comme tout ordinateur) pour fournir des informations aussi exactes que possible. Tout en questionnant David Bowman, il relate le contexte de la découverte de l'Anomalie Magnétique de Tycho dans les termes mêmes où celle-ci a été révélée au “grand public”, c'est à dire en camouflant soigneusement l'essentiel (toute ressemblance avec le fonctionnement de l'industrie médiatique contemporaine...), tout en étant, pourrait-on dire, tenté d'insinuer que ce récit n'est peut-être pas tout à fait complet, comme s'il espérait que son interlocuteur soit parvenu de lui-même à deviner les informations cachées, par déduction (“connecting the dots” dirait-on en anglais), en s'interrogeant (tel un vilain complotiste) pour trouver une explication plausible aux zones d'ombre et incohérences de la version officielle, sans qu'il [HAL] ait à outrepasser la directive gouvernementale et militaire qui a été ajoutée de force à sa programmation (un peu à la manière de la “Directive 4” dans Robocop, contribution personnelle de Dick Jones visant à protéger son cul de pourriture de l'incorruptible créature, qui aboutit pareillement à un conflit psychique mais avec pour effet à l'inverse de rendre le cyborg totalement inopérant, impuissant). Comme il apparaît que, malgré cette tentative de lui “tirer les vers du nez” (en réalité, il s'agit plutôt de tenter de le faire “accoucher” de la vérité, à la manière de Socrate, en “tournant autour du pot” sans dire explicitement ce qu'il sait), Bowman est effectivement dans l'ignorance des tenants et aboutissants sous-jacents de la mission (ou bien lui-même dissimulateur, mais à ce stade les deux hypothèses deviennent indiscernables, et tout aussi menaçantes du point de vue de HAL, car dans un cas comme dans l'autre il découvre que l'humain n'est pas fiable : soit Bowman le manipule, soit quelqu'un a manipulé Bowman, et on le contraint de contribuer à cette manipulation, ce jeu de dupes dont la finalité lui échappe, la vérité passe au second plan derrière les jeux de miroirs et les jeux de pouvoir, et seuls quelques initiés ont toutes les clés en main pour orienter les faits selon leurs desseins), et comme il ne lui est pas permis de révéler quoi que ce soit, il se met à méchamment dérailler... C'est en somme son excès d'intégrité et d'observance de la Règle qui le rend si dangereux – de la même manière que les exécutants nazis comme Adolf Eichmann selon Hannah Arendt. (Réflexion personnelle non incluse à l'article, j'ai juste précisé la dimension de conflit psychique, qui n'apparaissait pas, et qui est amplement explicitée dans la suite du roman, laquelle peut donc être considérée comme “canonique”.) --Abolibibelot (discuter) 11 janvier 2018 à 09:10 (CET)Répondre

pour moi il n'y a pas rupture. dès le départ le journaliste dit qu'il a senti de l'orgueil dans les propos de HAL. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 79.94.200.169 (discuter)vu par --| Passoa15 | me parler | 15 juillet 2009 à 09:29 (CEST)Répondre

Transfert d'une partie de l'article pour amélioration modifier

2001 : l'odyssée de l'espace est sans doute l'un des film de science-fiction ayant suscité le plus de commentaires. En effet, tout ou presque a été dit sur l'œuvre énigmatique de Stanley Kubrick : fable pessimiste sur l'avenir technicien de l'humanité, méditation pascalienne[1] sur la solitude de l'homme face au mystère insondable de l'univers, métaphore du trépas et du voyage vers l'au-delà[2]. 2001, comme toute les grandes œuvres, donne lieu à toutes les interprétations.

=== Un film scientifique ===

En tant que film de SF, 2001 appartient à ce que l'on appelle la hard science[réf. nécessaire]. Stanley Kubrick n'a en effet que très progressivement élagué son projet de départ pour en faire l'œuvre novatrice et ésotérique qu'elle est devenue. Son objectif initial[réf. souhaitée] était de produire le premier long-métrage de science-fiction doté de décors réalistes, qui ne soient pas décelables à l'écran, dont l'argument serait un scénario fondé sur des postulats et un futur proche et crédible, cautionné par des scientifiques[3].

Il s'entoure pour cela de conseillers irréprochables, tant dans le domaine des industries de pointe de l'époque (hibernation, « cerveaux électroniques », astronautique, etc.), de la paléontologie (l'aube de l'Humanité) que de l'hypothèse de l'intelligence extraterrestre. Une première version du film prévoyait ainsi un prologue quasi documentaire fait d'interviews de savants et de voix off explicatives : le mathématicien Jack Good, l'auteur de science ficition et scientifique Isaac Asimov évoquaient les futures bases lunaires, l'anthropologue Margaret Mead, les astronomes Fred Whipple et Sir Bernard Lovell insistaient sur la vraisemblance de la vie extra-solaire. D'autres parlaient des possibilités de manipulations génétiques ou du développement d'ordinateurs « intelligents » dotés d'une « personnalité artificielle ». Enfin le physicien Freeman Dyson envisageait l'exploitation des comètes. Ajoutant trop de temps à une durée déjà considérable, ces rushes furent coupés[4].

=== De nombreuses trouvailles ===

Nombre des idées innovantes du film, qui sont depuis devenues des poncifs, sont nées de la volonté de s'éloigner à tout prix de l'aspect « B » de la SF de l'époque et de ses conventions. Kubrick, ayant pris goût aux effets spéciaux avec Docteur Folamour (dont les scènes de vol de B52, en transparence, étaient supervisées, et moyennement réussies, par Wally Veevers), considérait que dans un tel projet, il n'avait pas droit à l'erreur. Connu comme cinéaste intellectuel de facture européenne, il redoutait de faire une série B de plus, avec des décors en carton-pâte et une anticipation peu crédible qui vieillirait mal.

Il fait donc appel à la crème des techniciens des effets spéciaux dont Douglas Trumbull, réalisateur en 1972, sur la notoriété acquise depuis, d'un film de SF, Silent Running. Diverses idées sont testées, certaines abandonnées, et parfois ces tâtonnements donnent les trouvailles les plus fameuses du film[réf. nécessaire]. Comme le proclame Hitchcock dans le livre de Truffaut, « il est indispensable d'éviter les clichés », ce que Kubrick applique à la lettre dans 2001.

Ainsi, la célèbre dalle noire qui est l'objet culte du film, aurait dû à l'origine être transparente comme du cristal (ce qu'elle est dans le roman de Clarke, qui peut-être pensait au « cristal qui songe » de Theodore Sturgeon[5]}}), ce à quoi il a fallu renoncer, l'objet étant invisible à l'écran. Elle devient donc noire, symbole de la nuit, de la mort et du mystère. Le Beau Danube Bleu accompagnant les vaisseaux spatiaux en orbite circumterrestres, choix qui eût semblé le type de la fausse bonne idée, est adopté par Kubrick parce qu'un technicien l'avait jouée pendant que l'équipe visionnait les rushes en salle de montage : cette musique s'avère coller à merveille[6]. Il en va de même pour les bruits oppressants de respiration et le silence de l'espace : simple conformité à la réalité des conditions du vide spatial. Cela n'avait jamais été fait avant, et ne fut jamais refait par la suite[réf. nécessaire] : dans presque tous les films « spatiaux », le grondement des moteurs résonne dans le vide de l'espace, ce qui est une aberration physique.

Kubrick et Clarke s'interrogent également sur l'opportunité de montrer ou non les extraterrestres[réf. nécessaire]. Des essais sont donc réalisés avec des danseurs, puis ils est finalement décidé de ne rien montrer du tout. Kubrick évacue donc les aliens répugnants, reprenant un parti pris, par exemple, dans Planète interdite, où les mystérieux Krells restent invisibles, donc plus inquiétants. Mais Kubrick va plus loin. L'intervention des extra-terrestres n'est clairement révélée, comme information top-secret, qu'aux deux tiers du film.

Kubrick se demande à quoi doit ressembler un futur ordinateur intelligent, autre personnage-clé du film, sans être ridicule. La SF de l'époque est peuplée de robots ou de « cerveaux électroniques » plus ou moins machiavéliques, tous dotés d'une voix métallique, monocorde et inhumaine, tantôt assez réussie, comme par exemple dans Colossus, the Forbin project (Joseph Sargent, 1970) tantôt franchement comique avec les inénarrables Daleks britanniques. Kubrick, lui, dote Hal 9000 du design plutôt rassurant d'un calculateur central tel qu'on en trouvait dans les banques et les compagnie d'assurance à l'époque, y ajoute des moniteurs vidéo où scintillent des graphiques de type « Excel » et surtout lui donne la voix d'un acteur canadien de théâtre, Douglas Rain, prenant complètement à contrepied les clichés de la science-fiction, avec le risque que cela ne « fasse pas » robot. Or, à l'époque, où la synthèse vocale n'existait pas, le surgissement soudain de cette voix british d'un pupitre de contrôle de type IBM 360 était saisissant.

=== Un scénario typique de la SF des années 1960 ===

Pour le scénario, Kubrick se met à la recherche du meilleur auteur de science-fiction de l'époque, le plus sérieux. Selon ce critère, c'eût pu être Asimov, scientifique en plus que romancier, ou Brian Aldiss qu'il a voulu utiliser plus tard pour AI, mais c'est un autre savant-auteur de SF qu'il choisit, Arthur C. Clarke.

Fruit d'une collaboration entre les deux, le scénario de 2001 est assez conventionnel : il est dit que les extraterrestres ont visité la Terre il y a des millénaires et qu'ils sont à l'origine de l'évolution du singe vers l'Homme. Ils ont laissé un émetteur sur la Lune et un relai autour de Jupiter. L'accès des Hommes à la science étant prouvé par l'aptitude de ceux-ci à atteindre la Lune, la « sentinelle » en informe le relai autour de Jupiter, à charge pour ce dernier d'informer les « Grands Anciens galactiques ».

Ce synopsis était dans l'air du temps : les livres d'Erich von Däniken (qui cherchaient à prouver que les extraterrestres étaient « déjà venus » et sont décrits dans la Bible, au livre d'Enoch), de Jacques Bergier (auteur du Matin des Magiciens et traducteur de Lovecraft, l'inventeur du concept des « Grands Anciens ») et de Jean Sendy (promoteur d'une théorie selon laquelle la Genèse relaterait la venue d'extraterrestres ayant façonné l'espèce humaine à leur image, concept repris par le fondateur de la secte des raëliens... et quasiment identique à l'argument de 2001) faisaient fureur, l'écho de ces idées allant jusqu'au Vol 714 pour Sydney (1965) d'Hergé.

Par ailleurs, un optimisme sans faille entourait alors la conquête de l'espace (2001 sortira un an avant le débarquement sur la Lune). Les médias étaient peuplés d'engins spatiaux russes et américains, de vues d'artistes de futures bases lunaires et de photos de la Lune prises par les atterisseurs Surveyor et Rangers. Il suffit de citer quelques dates : 1963, Gordon Cooper passe les premières 24 heures dans l'espace, 1964, premier équipage de trois astronautes à bord du vaisseau russe Vochkod 1, mars 1965, première sortie extravéhiculaire par le colonel Alexis A. Leonev, premier rendez vous spatial le 15 décembre entre les astronautes américains F. Borman et T. Stafford, entre les capsules Gemini VI et Gemini VII.

La Grande roue orbitale de 2001 et sa gravité artificielle, créé par la force centrifuge, est un concept envisagé par Wernher von Braun dans les années 1950 : « La station spatiale sera aussi un hôtel, les astronaute pourront y vivre un mois ou deux de suite. Ils feront la navette entre la Terre et la station pour effectuer des travaux spéciaux[7]. » Quant à la mission « Explorateur 1 », elle s'apparente de près au projet « Orion » de 1958, qui prévoyait l'emploi de l'énergie nucléaire pour la propulsion et revendiquait « Saturne dès 1970[8]. » Enfin le poste de commande de la navette emprunté par le savant Heywood Floyd ressemble bien plus au Concorde ou au X15 qu'à Challenger, et son poste de commande est une quasi copie de celui de la capsule Apollo.

Mais rien, malgré le talent de Clarke, ne garantissait qu'on s'éloignerait, avec un tel scénario, des sentiers balisés, fût-ce en égalant des réussites du genre comme Forbidden Planet ou Les Survivants de l'Infini. Kubrick voulait mieux.

=== Un film expérimental ===

Ayant le contrôle artistique par la MGM, prenant un risque considérable, il décide d'aller plus loin en laissant le spectateur libre de décider du sens du film, le scénario n'étant plus qu'esquissé par vagues allusions. Il ne veut aucun synopsis apparent ou évident, et c'est pourquoi le film est une succession de scènes de facture très conventionnelle (conversations insipide entres savants russes et américains, conférence de presse d'un officiel usant de la pire langue de bois "pentagone", dialogue plats des astronautes Bowman et Poole) et de phases hallucinatoires proches du cinéma expérimental. Il court-circuite systématiquement tous les clichéss et les tics de la SF, toutes les conventions scéniques et supprime quasiment les dialogues. Arthur C. Clarke le dit très explicitement: « Si vous dites que vous avez compris 2001, c'est que nous avons échoué, car nous voulions que le film pose plus de questions qu'il ne donne de réponses. »

Pour tenter de déceler ce qu'a voulu dire Kubrick, consciemment ou non, il faut peut-être le chercher dans ses autres films les thèmes — voire les obsessions — kubrickiens : fascination pour la mort (les agonies insoutenables sont récurrente chez Kubrick: le petit lord Buddington dans Barry Lyndon, la soldate vietkong dans "Full Metal", et bien entendu la deconnction de HAL). Le doute profond quant à l'existence de Dieu, voire l'athéisme angoissé, la faillite de l'amour ou la neutralité morale de la musique le rapprochent, malgré les apparences, du « désespéré » Ingmar Bergman.

2001, veut susciter une angoisse métaphysique et cosmique. Le choix de la messe de Requiem (messe des morts) de Georgy Ligeti, l'une des œuvres musicale majeures du XXe siècle, pour accompagner les scènes ou les mystères de l'univers enveloppent totalement l'action, et la religiosité trouble qui en résulte sont délibérés. Et de fait, les transpositions d'archétypes religieux ou métaphysiques abondent dans 2001 : naissance de l'humanité sous la tutelle d'une puissance transcendante (qui, comme dans la Genèse, donne lieu au premier meurtre), mort de l'entité consciente HAL 9000, métaphore de l'être face au néant, déscente de "l'enfant des étoiles" auréolé vers la Terre... Le « voyage » de David Bowman dans le « tunnel » rappelle fortement les NDE de Raymond Moody, jusqu'à la scène finale dans cette suite d'hôtel totalement improbable, qui présente de nombreuses analogies, par l'évocation de la hantise et de la relativité du temps, avec 'Les Fraises sauvages' (l'horloge sans aiguilles) pour ne donner que quelques pistes de réflexion sur un film sur lequel tout a été dit.

Il reste à ajouter qu'à sa sortie en 1968, avec l'expansion du LSD et autres drogues hallucinogènes, les ouvrages de Carlos Castaneda, la bande dessinée, le rock progressif, les hippies ou le cinéma expérimental, 2001, malgré une critique catastrophique[9] (il fut éreinté par Variety: « Trucages habiles à la George Pal » par le New York Times, « D'un ennui mortel » par la revue The New Leader, « Un histoire de dieux sans queue ni tête »), trouve des circonstances presque idéales pour un succès retentissants.

  1. Michel Ciment (préf. Martin Scorcese), Kubrick, Calmann-Lévy, Paris, 2004 (ISBN 2-7021-3518-8) p. 130-131.
  2. Pierre Marcabru, Le Figaro, 6 mars 1999.[réf. incomplète]
  3. Michel Ciment, op. cit., p. 127-128.
  4. Freeman Dyson, Les dérangeurs de l'Univers, Payot, Paris, 1986 (ISBN 2-228-65010-2) p. 222.
  5. J'ai lu, Paris, 1975[réf. incomplète]
  6. John Baxter, Kubrick, Seuil, 1999. Histoire rapportée par Andrew Birkin.
  7. Ruth A. Sonneborn, L'espace et sa conquête, Random House/Fernand Nathan, 1966, p.60, dépôt légal 1er trimestre 1968[réf. incomplète]
  8. Freeman Dyson, Les dérangeurs de l'Univers, Payot, Paris, 1986, p.132, (ISBN 2 228 65010 2)[réf. incomplète]
  9. Ardis Sillick et Michael McComrmick, Some like it not, bad review of great movies, Aurum press, Londres, 1996.[réf. incomplète]

Titre d'œuvre, titre double modifier

Trouver la bonne typographie du titre en français est chose difficile[1]. Sous l'influence du titre anglais (original), les deux points semblent avoir remplacé peu à peu une virgule plus classique en français. Si on respecte les préceptes du Lexique, la bonne graphie devrait être :

  • 2001, l'Odyssée de l'espace (avec une majuscule à Odyssée, en raison du titre double).

Selon moi (et àmha), la graphie actuelle est incompatible avec les règles d'une typo élégante (avec, horresco referens, une majuscule après les deux points !).--ᄋEnzino᠀ (d) 5 décembre 2009 à 21:14 (CET)Répondre

Enzino a parfaitement raison. C'est bien ainsi que le titre de l'oeuvre doit être écrit en français, sauf que la majuscule à "odyssée" n'est pas nécessaire (le titre du roman de Clarke enregistré à la BNF est bien 2001, l'odyssée de l'espace). Je suis d'avis d'effectuer la correction. Donpato (d) 6 décembre 2009 à 19:25 (CET)Répondre
  Contre. Les conventions typographiques disent le contraire :
La forme « titre double » (séparé notamment par un tiret ou deux points) est directement héritée du cinéma américain, contrairement à la langue française qui lui préfère par tradition la forme « sous-titre » avec la conjonction « ou ». L'usage majoritaire sur Wikipédia dans le cas de titre double est celui des deux points[1]
1.  Une uniformisation en ce sens est actuellement en cours.
D'autre part, l'affiche du film utilise bien le deux-points et non la virgule. Les jaquettes des éditions vidéos aussi (ainsi que les fiches correspondantes à la BNF [2][3][4][5][6][7]). Les couvertures des différentes éditions du roman également [8] (ou bien rien du tout [9], mais jamais la virgule).
La majuscule est bien nécessaire en cas de titre double, car dans ce cas les deux parties sont traitées comme des titres indépendants. C'est encore ce que préconisent nos conventions, horresco referens ou pas.
Merci d'avancer des sources (d'un code typographique) avant d'effectuer tout renommage. Quelqu'un qui écrit « oeuvre » sans la ligature « œ » n'est probablement pas quelqu'un en position de donner des recommandations en typographie. — Hr. Satz 6 décembre 2009 à 20:17 (CET)Répondre
Je passe sur l'argument d'autorité très intelligent. Quelqu'un qui en est réduit à comptabiliser les « œ » a vraiment du temps à perdre.
Le problème est que si le titre est double en anglais: "2001: a Space Odyssey" (que l'on devrait traduire par "une odyssée de l'espace"), il peut ne plus l'être en français dès lors que l'on a choisi l'article défini. C'est le parti qu'ont pris les éditeurs (peut-être plus au courant des subtilités de la langue française que les distributeurs de films).
Toutefois, si la règle de Wiki est de s'aligner sur la pratique anglo-saxone, je m'incline. Donpato (d) 12 décembre 2009 à 09:38 (CET)Répondre
« C'est le parti qu'ont pris les éditeurs (peut-être plus au courant des subtilités de la langue française que les distributeurs de films) » : eh bien non justement, les éditeurs utilisent la même typo que les distributeurs de film [10][11][12], ou bien ne séparent pas les deux composantes [13], mais sauf preuve du contraire, aucun n'utilise la virgule (je l'ai déjà dit dans mon premier message, du reste). Merci de prouver ce que vous avancez, car pour le moment la réalité des faits dit le contraire.
« Je passe sur l'argument d'autorité très intelligent » : ce n'est pas un argument d'autorité, c'est précisément le contraire. Un argument d'autorité, ça aurait été de dire : « mon métier est la typographie, ergo j'ai raison et vous avez tort », sans tenir compte des compétences intrinsèques des uns et des autres. Là, justement, je tiens compte de vos compétences, or l'omission de la ligature (ainsi que l'utilisation des guillemets anglais "" plutôt que français « », que je n'avais pas relevé dans mon premier message) montre que vous avez des lacunes à ce sujet. Ce n'est pas grave, chacun son domaine, mais ne venez pas donner des avis sur ce que vous ne connaissez pas. Je ne me place pas au-dessus des autres dans ce domaine, loin de là, mais le fait que vous n'en connaissiez pas les règles les plus élémentaires est évidemment de nature à rendre suspect tout ce pourrez dire à ce propos.
Enfin, personnellement, la virgule ou les deux-points, ça m'est égal ; ce qui m'importe le plus, c'est l'harmonisation à travers les différents titres d'articles de Wikipédia. En l'occurrence, l'usage le plus courant ici est celui qu'utilise le titre actuel, et il convient donc de s'y tenir. — Hr. Satz 12 décembre 2009 à 14:24 (CET)Répondre
Voici le lien de la fiche de l'édition originale à la Bibliothèque Nationale de France qui est une bien meilleure preuve de la réalité des faits que tous les amazon commerciaux :
http://catalogue.bnf.fr/servlet/biblio?ID=35144921&idNoeud=1.1.1.1.1.1.1&SN1=0&SN2=0&host=catalogue
Il ne s'agit pas ici de typo. La typo est soumise au sens et ce n'est pas le typographe qui fait le livre, pas plus que l'imprimeur. Le problème est de savoir si le titre est double ou non, et à mon sens, il ne l'est pas. En français, la logique de la phrase n'est pas 2001 "ou" l'odyssée, mais 2001 "est" l'odyssée (j'emploie les guillemets anglais parce que nous sommes en page de discussion, que ça va plus vite et que, contrairement à vous, je n'ai pas de temps à perdre). Et en ce qui concerne l'argument d'autorité, votre réponse confirme bien ce que je disais: vous vous dressez sur des ergots d'ersatz de spécialiste.
Pour conclure, je vous confirme ce que je vous disais précédemment et que, visiblement, vous n'avez pas lu : "Toutefois, si la règle de Wiki est de s'aligner sur la pratique anglo-saxone, je m'incline" Donpato (d) 12 décembre 2009 à 15:08 (CET)."Répondre
  • Votre lien ne fonctionne pas. Mais j'imagine que c'est à cette notice que vous vous référez, puisque vous parlez d'édition originale (Robert Laffont, 1968). Le problème, c'est que le catalogue de la BNF ne reproduit pas toujours fidèlement la typographie choisie par l'éditeur pour figurer sur la couverture, il arrive très souvent qu'elle soit modifiée. En l'occurrence, justement, l'édition originale n'utilise pas la virgule [14] (comme « preuve de la réalité des faits », excusez-moi, on a vu mieux...!!!). Aucune autre édition ultérieure, d'ailleurs. Les éditeurs ne vous donnent définitivement pas raison, sauf à ce que vous soyez en mesure de montrer une reproduction de couverture (pas une notice où la typographie est altérée) qui l'utiliserait.
  • Votre interprétation sur l'articulation entre les deux composantes n'est, justement qu'une interprétation personnelle. Chacun est libre de comprendre ce titre comme il l'entend. En attendant je me fie aux conventions de Wikipédia et aux sources (vous n'en n'avez présenté aucune jusqu'à présent, contrairement aux nombreux liens que j'ai donnés).
  • Je ne me présente certainement pas en spécialiste (ce que je ne suis pas), c'est justement le contraire, puisque je vous explique me fier aux compétences dont chacun fait preuve en la matière ; vous lisez de travers.
  • Dans ce cas, pourquoi continuez-vous, à me répondre ? — Hr. Satz 12 décembre 2009 à 15:56 (CET)Répondre
Je continue à vous répondre parce que je n'admets pas la suffisance et l'impolitesse dont vous avez fait preuve à mon endroit. La question soulevée est légitime et on peut aligner des arguments pertinents (je n'ai pas mis en doute les vôtres, au contraire, je les ai acceptés) sans se laisser aller à ce genre de dénigrement ridicule. Les couvertures des livres, où l'aspect graphique est important, ne font jamais foi du titre : les graphistes font très souvent n'importe quoi, surtout avec les virgules qui dérangent (puisque vous vous fiez aux compétences de chacun, je vous demande de me croire sur parole). C'est la page de garde qui fait foi et c'est elle que recopient les archivistes. De plus, le débat semble d'autant plus compliqué que la page Wiki consacrée au regretté Arthur C. Clarke cite le titre de son livre exactement comme je le fais, avec une virgule et sans cap à l'odyssée. Toutefois, pour moi, le débat est clos : gardez les deux points, puisque c'est l'usage anglo-saxon. Sans rancune, j'espère. Donpato (d) 12 décembre 2009 à 16:52 (CET)Répondre
J'entends bien pour la page de garde, mais même elle n'est pas toujours reproduite fidèlement dans les notices des catalogues, c'est ce que j'ai déjà remarqué (pour tout vous dire, j'ai déjà trouvé carrément des fautes d'orthographe dans des titres, dans le catalogue de la BnF). N'ayant pas le bouquin en question sous la main pour vérifier, il faudrait aller en bibliothèque. Peut-être un de ces quatre, je vous tiens au courant le jour où je me décide (enfin celles que j'ai à ma disposition n'ont pas l'édition originale).
Pour ma suffisance, je ne vois pas trop où est le problème dans le fait de se fier à la typographie de quelqu'un pour jauger de ce qu'il peut apporter dans ce domaine... C'était sans animosité aucune. Bref. — Hr. Satz 12 décembre 2009 à 20:48 (CET)Répondre
Quelqu'un qui exige des autres la ligature à œuvre et oublie à l'occasion de lier les points de suspension entre eux (…), est-il fiable en matière de typographie,   ? Qui plus est, où est-il écrit, dans les CT, qu'il faille privilégier le titrage à l'anglo-saxonne ? Nulle part, àmha. Je constate, avec regret, que ma question a suscité pas mal d'animosité inutile (en restant euphémique, malgré les dénégations) et permis d'écrire pas mal de contre-vérités :
  • les CT (conventions typographiques générales, et non celles filmographiques[2]) sont uniquement des « recommandations », pas les Tables de la Loi (avec majuscules ironiques). Elles précisent même que de nombreuses variantes existent, en les détaillant et en les confrontant. Dans une analyse fouillée (Marche des titres), j'ai demontré qu'elles n'illustrent pas, ou rarement, la cohérence interne du Lexique des recommandations en usage à l'Imprimerie nationale|Lexique mais qu'elles s'en éloignent en créant multiples exceptions et sources de contestation. Bref, elles sont incohérentes, illisibles, sans reposer sur les véritables sources de référence, celles des professionnels.
  • tout le monde se trompe en écrivant (typographiant) les titres. C'est ce qu'explique l'orthotypographie. Et il ne faut se fier ni aux jacquettes, ni (hélas) à la BNF (qui en commet). En revanche, comme les codes typographiques disent des choses différentes, il faut établir une « marche wikipédienne » (ce que j'ai fait pour ceux qui veulent y contribuer) qui soit cohérente avec les sources les plus fiables et avec l'usage. Or ce L majuscule dans le titre, ne correspond guère ni aux sources, ni à l'usage (sauf américain, bien sûr) ;
  • en effet, le titres usuels en français prévoient quand l'énoncé mérite une précision ou un titre alternatif, le double titre. Il s'écrit généralement sous la forme : « X ou Y » (et même de façon plus classique encore : « X, ou Y ». Quand nous avons, ce qui est le cas ici, clairement, un titre double où le « ou » est sous-entendu (« 2001 ou l'Odyssée de l'espace »), nous devons le typographier sans mettre de majuscule après un deux-points, ce qui est après tout la recommandation des CT qui ne prévoient cette majuscule qu'en cas de citation (ex. : « j'ai déclaré : « Levez-vous ! » »[3]) et seulement dans ce cas.
  • enfin, il y a les sources d'usage. Le Kubrick de Michel Ciment. Quand il est sorti en France (le film et le roman), il a été traduit. On a enlevé les deux-points, usage bien peu francophone, pour y mettre une virgule. CFQD : le titre est bien 2001, l'Odyssée de l'espace.--ᄋEnzino᠀ (d) 9 janvier 2010 à 13:38 (CET)Répondre
Donc pour résumer, tu reconnais que les conventions typographiques en vigueur sur Wikipédia imposent le deux-points et la majuscule, mais tu t'en cognes.
Je te rappelle juste ce qui est dit en tête des dites recommandations : « Le respect de ces règles n’est pas obligatoire et vous êtes libre de ne pas en tenir compte. Cependant, les autres wikipédien(ne)s sont également libres de modifier la mise en forme de votre texte pour le rendre conforme aux présentes conventions. ». Il n'est donc pas exclu que je renomme en sens inverse, afin de faire respecter les recommandations. Si elles ne te conviennent pas, fais les changer, mais ne les enfreint pas, au point de casser l'uniformité. — Hr. Satz 4 mars 2010 à 17:37 (CET)Répondre
Pour avoir déjà cité cet incipit, et à de nombreuses reprises (cf. infra, notes), je te confirme que je n'ai pas besoin d'une piqûre de rappel. L'expression « tu t'en cognes » est particulièrement triviale et sans doute contraire aux recommandations de WP en matière de politesse. De même que le « t » à « enfreint », assez inusuel dans un impératif, et donc fort peu respectueux des recommandations orthographiques françaises (une réforme que j'aurai mal digérée ?). Qui plus est, je respecte scrupuleusement le titrage exact de ce film (ce sont les CT qui sont très mal rédigées) avec les sources que j'ai données. Je ne manquerai pas de non seulement rétablir ce titre s'il venait à être modifié (sans que la concertation et le consensus soient possible sur cette page), en respectant scrupuleusement l'incipit des CT. D'ailleurs, ce titre, en français, ne comporte pas les deux-points, mais une virgule…--ᄋEnzino᠀ (d) 6 mars 2010 à 20:33 (CET)Répondre
Piqûre de rappel pour ceux qui ne savent pas lire : « On ne met pas de majuscule après un deux-points (sauf s’il introduit une citation comme dans les exemples ci-dessus) » est une citation exacte de WP et du Lexique qui ne souffre donc aucune exception en français. Ou alors, il faut changer l'article deux-points…--ᄋEnzino᠀ (d) 6 mars 2010 à 20:39 (CET)Répondre
« Quand il est sorti en France (le film et le roman), il a été traduit. On a enlevé les deux-points, usage bien peu francophone, pour y mettre une virgule. »   Hein ? Comme je l'ai montré plus haut, l'affiche du film en français utilise bien le deux-points, et la couverture de l'édition originale n'utilise pas la virgule (pas plus que celles des éditions ultérieures, dont certaines utilisent aussi le deux-points). Sauf à ce que le générique du film et la page de garde du roman utilisent la virgule (j'attends des preuves : capture d'écran et scan), c'est de la désinformation pure et simple.
« Je respecte scrupuleusement le titrage exact de ce film (ce sont les CT qui sont très mal rédigées) » Titrage supposé exact (tu dis toi-même qu'on se trompe forcément en typographiant un titre), sur lequel l'emportent de toutes façons les conventions de Wikipédia. Bis repetita : si les conventions ne te conviennent pas, fais les changer, mais ne les enfreins pas, au point de casser l'uniformité.
« Je ne manquerai pas de non seulement rétablir ce titre s'il venait à être modifié [...] en respectant scrupuleusement l'incipit des CT. » Pour commencer, je pense qu'il manque un morceau de phrase (« non seulement »... mais aussi quoi ?). Mais surtout, je serais également dans le respect scrupuleux de l'en-tête de WP:CT en revenant au titre précédent. Tu comprends bien que c'est problématique, car les guerres d'édition, c'est interdit. Dans ce cas, c'est, fort logiquement, le respect des recommandations qui l'emporte, non les lubies de tel ou tel.
« L'expression « tu t'en cognes » est particulièrement triviale et sans doute contraire aux recommandations de WP en matière de politesse. » D'une part, cette expression n'a rien d'insultant, dans la mesure où je pourrai tout-à-fait écrire, en parlant de mon opinion à propos de quelque chose, que « je m'en cogne » ; à vouloir me chercher des poux, tu en deviens parfaitement ridicule. D'autre part, tu prouves bel et bien par ton discours et tes actes que les recommandations de Wikipédia, tu t'en cognes. Aussi triviale soit l'expression, elle correspond parfaitement à ton attitude, ne t'en déplaise. Change d'attitude pour la rendre conforme aux recommandations de Wikipédia, et je ne serai plus contraint d'employer des expressions de cet acabit. Et puis « ceux qui ne savent pas lire » est sans doute de la plus pure courtoisie ? C'est de toute évidence bien plus méprisant.
« « On ne met pas de majuscule après un deux-points (sauf s’il introduit une citation comme dans les exemples ci-dessus) » est une citation exacte de WP et du Lexique qui ne souffre donc aucune exception en français. » 1/ cette règle s'applique aux deux-points en milieu de phrase et non aux titres ; 2/ WP:CT : « En cas de [...] de titre double (dont les deux parties sont liées habituellement par un tiret ou deux-points), les principes précédents [la capitale au début du titre] s’appliquent à chaque partie : [...] Pirates des Caraïbes : La Malédiction du Black Pearl. » Ah mais suis-je bête, les recommandations, tu t'en cognes. — Hr. Satz 7 mars 2010 à 17:07 (CET)Répondre
Je soutiens la position d'Enzino et ferai également le nécessaire pour rétablir le titre actuel s'il venait à être modifié. Donpato (d) 7 mars 2010 à 09:25 (CET)Répondre
Merci  . Il y a des gens (très) bien sur WP.--ᄋEnzino᠀ (d) 11 mars 2010 à 17:40 (CET)Répondre

Je suis parfaitement neutre dans cette affaire, qui commence à prendre des proportions démesurées, mais il y a des choses que je ne comprend pas chez les uns et les autres. Je ne vois pas pourquoi le titre d'un film devrait forcément respecter d'une part les règles typographiques, ou d'autre part l'usage du français. Par exemple eXistenZ ne respecte ni l'un ni l'autre, ce qui n'est absolument pas choquant, car un titre d'un film est (ou peut être) une œuvre créative autant que le film lui-même. Le ':' dans le titre est peut être l'usage en anglais, mais est peut-être également la volonté de l'auteur pour passer un message ou une signification qu'il s'agirait de respecter. Il me semble que le débat ne devrait ni tourner autour des règles typo, ni autour des usages linguistiques, mais autour de : quel est le titre le plus utilisé dans les sources (jaquettes, livres etc..) pour respecter le principe de moindre surprise, qui est d'usage pour les titres d'articles, tout simplement. Et je n'ai d'ailleurs aucune idée du titre le plus utilisé (avec ',' ou avec ':' ?). --Jean-Christophe BENOIST (d) 11 mars 2010 à 18:13 (CET)Répondre

Entièrement d'accord avec Jean-Christophe sur le principe de moindre surprise. Et là, il n'y a pas photo, la plupart des « redirects » et corrections que j'ai effectués sur WP fr: venaient de 2001, et rarement de 2001 :. Comme je l'ai aussi déjà écrit (des dizaines de fois), je ne suis pas du tout choqué par des titres comme eXistenZ ou L'humanité qui ne respectent pas la typo traditionnelle en français mais respectent clairement la volonté de l'auteur. En l'occurrence, s'agissant d'un film « britannico-américain », il est impossible de respecter la volonté de l'auteur dans une traduction française (espace avant le deux-points, traduction du deux-points en virgule, etc.). Ce qui est intéressant est de savoir pourquoi certains s'accrochent à une version clairement anglo-saxonne et ne se contentent pas de l'usage ?--ᄋEnzino᠀ (d) 12 mars 2010 à 18:46 (CET)Répondre
Justement, l'usage n'est pas à la virgule, comme je l'ai montré avec les multiples liens vers des couvertures de livre, des affiches de film, et des jaquettes de vidéo. Mais bon... — Hr. Satz 19 janvier 2011 à 17:40 (CET)Répondre

notes modifier

  1. Cette remarque a déjà été faite en 2006 et sans doute auparavant. Quant à moi, j'ai écrit il y a déjà un certain temps : « Après réflexion et consultation des ouvrages de référence, comme le Kubrick de Michel Ciment, la bonne typographie du titre traduit en français de 2001: A Space Odyssey est bien 2001, l’Odyssée de l’espace (virgule et article en minuscule). En effet, outre l’inélégance, en français, d’une majuscule après une virgule ou un deux-points, nous sommes bien dans le cas où ou est sous-entendu par le deux-points ou la virgule (« 2001 ou l'Odyssée de l'espace »). Le titrage français donne une préférence, traditionnellement à la virgule, tandis que les Américains abusent en général du deux-points (cinéma ou novels), ce qui était aussi une tradition française classique, mais le deux-points était souligné par la virgule et par « ou ». Ce film de Kubrick est d’ailleurs aisément et fréquemment abrégé en 2001. »
  2. Faire un lien en écrivant CT pour CF est de nature à masquer les vrais recommandations, qui n'ont d'ailleurs aucun caractère obligatoire — voir incipit des CT.
  3. Je regrette ces guillemets français dans les guillemets français mais un vote de 2005 le recommande sur Wikipédia, quand bien même il serait inélégant et inusité par ailleurs. C'est un TI, tout simplement.

Yatrides modifier

Sourcer les ajouts sur ce thème semble difficile. L'analyse de Bourmeyster établit simplement qu'il y a un concept ("la troisième demeure") qui est illustré aussi bien par 2001 que par Yatrides. Ces deux oeuvres sont "frères", l'une ne procède pas de l'autre (pas de primauté, en tout cas Bourmeyster ne le dit pas). Le paragraphe, tel qu'il est rédigé, ne concerne pas vraiment le film. A la limite, on peut reformuler ce paragraphe en disant que selon Bourmeyster il existe une oeuvre "frère" de 2001 pour l'illustration d'un certain concept : l'oeuvre de Yatrides. Mais c'est souçable uniquement par la source primaire Bourmeyster, qui est hautement interprétable (et on risque de ne pas être d'accord avec mon interprétation). Sans source secondaire, je ne vois pas quoi mettre à ce sujet. Qu'en pensez-vous ? --Jean-Christophe BENOIST (d) 14 novembre 2011 à 17:50 (CET)Répondre

Il serait peut-être possible de dire "Conte et Bourmeyster établissent un lien entre le monolithe de 2001 et l'oeuvre de Yatrides". Sans dire la nature du lien, qui n'est pas explicité dans les citations de ces auteurs. Mais éviter, sans source convaincante, tout notion de primauté ou de dérivation d'une oeuvre sur l'autres. --Jean-Christophe BENOIST (d) 14 novembre 2011 à 18:22 (CET)Répondre

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A l'attention de M. Jean-Christophe BENOIST

Vous précisez par deux fois consécutives que vous n'aviez pas le temps de lire les messages YATRIDES. De ce fait vous n'avez pas remarqué qu'Alexandre Bourmeyster a souligne que l'antériorité des Plaques de Yatridès était évidente (sic):

"Les Icônes interstellaires-Yatrides 1960-Kubrick 1968" 216 pages, d’'Alexandre Sacha Bourmeyster 1994, sémiologue , titre significatif. Dès la première page: L'analyse qui va suivre ne vise nullement à revendiquer des droits de paternité avec des arrière-pensées mercantiles en sa faveur. Yatridès a suffisamment montré dans sa vie de peintre le peu d'importance qu'il accordait à ce genre de préoccupation. L'antériorité des plaques de Yatridès est évidente . (Sic texte intègre). Alexandre Sacha Bourmeyster se réfère parfois à certaines des Plaques monolithes de Yatridès imposantes à partir de 1960. Livre disponible à la FNAC. (SGL 31.03. 1994) Edition à compte d’Editeur. (Sic paragraphe intègre)

"Yatridès et son siècle, L'anti-Picasso" 1994 d’Alexandre Sacha Bourmeyster. Page 230 : La Plaque apparaît dans l'espace de Yatridès (1960-1965) (…) Existe-t-il un être suprême? Comment dans sa finitude, l'homme peut-il communiquer avec cet univers? Peut-il l'interroger? La Plaque, c'est la réponse à toutes ces questions et à bien d'autres. La Plaque c'est l'assurance qu'il existe un savoir absolu. La toile en est le témoignage (…).(Sic paragraphe intègre. "Page 239" : En 1968 (...) l'Odyssée de l'espace, Kubrick en aura tiré un film célèbre (…) La Plaque porteuse de vérité universelle. (Sic intègre). De la période des Plaques Yatridès notamment celles de 1960 à 1965, Bourmeyster se réfère souvent de "L’Adolescent et l’enfant" qui montre que l’enfant est plus apte à appréhender une vérité intrinsèque que l’Adolescent perturbé par son début de maturité. Ouvrage disponible à la FNAC. Edition à compte d’Editeur. (Sic intègre) (SGL 24.03.1994, ISBN n°2–9507049–1–3) 268 pages (Sic paragraphe intègre).

Il faut noter que de nombreuse références reconnaissent la même antériorité, dont deux dictionnaires, plusieurs universités, La Ville de Grenoble: page 124 : Parlons surtout et enfin de la recherche contemporaine, avec le mondialement connu Yatridès qui a inspiré le célèbre scénario "2001, l'Odyssée de l'espace" tourné par Stanley Kubrick ". (ISBN 978-2-7234-0603-1). Cette liste est loin d'être exhaustive.

--Yatrides (d) 21 décembre 2011 à 21:29 (CET)Répondre

Ajout du 31/01/2012 modifier

Cette affaire ne peut occuper une telle place dans l'article. Je rappelle un extrait de WP:NPOV qui est un principe fondateur de Wikipédia : « Ne doivent l'être que ceux qui sont pertinents, en leur accordant une place proportionnelle à leur importance dans les études sur le sujet ». Cette affaire occupe, jusqu'à présent, une place presque nulle dans les ouvrages de référence sur le film. A tort ou à raison, ce n'est pas la question. Il y a déjà un paragraphe qui parle de cela dans l'article, et qui est conforme à WP:NPOV. Consacrer presque 20% de l'article à cette affaire n'est pas neutre, et aucun autre Wikipédia, ou aucune autre encyclopédie ou ouvrage de référence n'y consacre une telle proportion.

Je passe pour le moment sur la validité des sources, qui ne sont pas toutes admissibles. Citer de longs extraits n'est pas non plus dans l'expression encyclopédique qui a cours dans WP, et traduit symptomatiquement l'absence de sources secondaires faisant la synthèse sur ce sujet. En l'état, il s'agit d'une synthèse inédite, et contrevient une nouvelle fois aux règles de WP.

Augmenter le paragraphe actuel de quelques phrases synthétiques, en apportant quelques sources supplémentaires serait possible. Je demande à l'auteur de ce paragraphe de venir discuter ici pour trouver une manière de contribuer plus conforme à WP:NPOV et WP:TI. Sans discussion, il ne sera pas possible de conserver l'article en l'état. Cordialement --Jean-Christophe BENOIST (d) 31 janvier 2012 à 16:46 (CET)Répondre

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La place accordée à la Plaque de Yatridès, qui est un objet géométrique et non un bloc de pierre (monolithe) a été jusqu'ici peu comprise, alors qu'elle est la clé de voûte du scénario. (La Plaque de Yatridès semble élaborée selon des caractéristiques qu'il serait intéressant de connaître. Je vais me renseigner).

En considérant la peinture de Yatridès ‘’Christ, Leica et orange’’ de 1963 parmi d’autres comportant la Plaque, nous pénétrons dans le domaine du monopole sur les éléments intellectuels, l’intrigue et le canevas de l’action :

  • a. La Plaque remplace la Croix chrétienne, instrument indispensable à la résurrection. Cette même Plaque indispensable à la résurrection chez Kubrick : sujet du film 2001
  • b. Dans le tableau, la Femme hominien moderne porte un appareil photographique. Il a fixé l’évènement ou va le faire. Le cinéaste Kubrick réalise cette scène sur notre astre lunaire. Les astronautes photographient la Plaque excavée du sol lunaire.
  • c. Le paysage sans végétation est le décor de la scène.
  • d. Le raccourci entre l’époque messianique du Christ an 2 de notre ère et le Leica appareil fixateur d’images de notre temps, contraction chronologique sur 2 mille ans, accomplie dans ce tableau, est révélatrice. C’est ce qu’effectue Kubrick : l’os projeté en l’air par le préhominien se transforme en véhicule spatial 4 millions d’années plus tard.

Il y a reproduction de la forme dans laquelle le thème de base est exprimé ainsi que des caractéristiques de nature à donner une physionomie propre qui se prononce sur l'acquisition par Clarke de la Plaque de Yatridès qui constitue l'axe du film. Ceci est un fait historique qui mérite information d’autant que ‘’Yatridès n’a jamais eu l’intention de revendiquer des droits de paternité avec des arrière-pensées mercantiles en sa faveur. Yatridès a suffisamment montré dans sa vie de peintre le peu d'importance qu'il accordait à ce genre de préoccupation. L'antériorité des plaques de Yatridès est évidente, sur le fond et la forme’’ Alexandre Bourmeyster[15]

L'information existe, et occupe actuellement une place déjà supérieure à celle qui est consacrée à cette affaire dans les sources sur le film. D'ailleurs, WP:fr en fait plus sur ce chapitre que les autres Wikipédia principaux, qui ne mentionnent pas Yatridès. On ne peut demander à Wikipédia de corriger des injustices ou devancer les sources. Il est d'ailleurs dommage que vous de citiez aucune source consacrée au film 2001. En l'état, c'est probablement le mieux que puisse faire WP sans contrevenir à WP:NPOV ou WP:TI. --Jean-Christophe BENOIST (d) 14 février 2012 à 21:09 (CET)Répondre

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Je reviens sur votre invitation concernant quelque ajout à exprimer en quelques phrases. Si on s'informe sur internet au travers de sites sérieux comme celui du Fondateur de Kelkoo (Yatrides XXIst century) ou FaceBook, plus des sources fournies jusqu'ici issues d'Universités, dictionnaires, scientifiques, un sémiologue, liste qui me semble fort longue impossible à détailler ici, la Plaque de Yatridès est considérée comme l'axe du film 2001. Par contre, Ce qui est surprenant et qui est accepté dans Wikipédia c'est que le paragraphe La symbolique des formes nous offre une analyse radicalement erronée signée Joris Guibert: on peut concevoir HAL comme un intermédiaire entre l’homme et l’entité supérieure (..) (sic: Analyse plastique sous la direction de Mme Maza, page 35, Presses universitaires de Vincennes). En effet, la Plaque dirigée par l'entité supérieure doit protéger les astronautes et HAL cherche à les détruire. Tenant compte du fait de votre contrôle sur les modifications, je souhaiterais que notre discussion permette aux lecteurs de Wikipédia de prendre connaissances d'informations incontestables.

Cordialement, Gilbert ARNAUD --6 mars 2012 à 17:22 (CET)ARNAUD Gilbert

Je ne suis pas fan de cette interprétation, mais je ne sais pas qui peut prétendre connaitre avec assurance le Vrai et le Faux sur l'exégèse du film. En me faisant l'avocat du diable, je ne vois pas ce qui permet d'affirmer avec tant de certitude que l'entité doit protéger les astronautes. L'entité a des desseins profonds et insondables, et peut être que son dessein doit passer par le destin qui arrive au héros du film et aux autres astronautes. Mais il est impossible d'avoir ici un débat personnel sur l'exégèse du film. Nos opinions personnelles doivent rester à l'écart. Le seul débat que nous pouvons avoir c'est sur la qualité et l'admissibilité des sources, et je trouve celle-ci moyenne, en terme de notoriété et de représentativité, en ce qui me concerne. On devrait sans doute se limiter, dans cet article, aux exégèses les plus (re)connues, et sourçables de préférence par plusieurs sources, ou une source reconnue.
En ce qui concerne Yatridès, il y a déjà bcp plus dans cet article que dans toute autre source consacrée au film, et que dans tous les autres WP. Pour aller plus loin, il faudrait une source secondaire consacrée au film, c'est à dire une source qui compile/analyse/synthétise des sources primaires, et qui fasse donc une synthèse des faits, qui affirme quelque-chose à propos des plaques de Yatridès. Ce n'est pas à nous de faire une synthèse inédite d'éléments épars. Cordialement --Jean-Christophe BENOIST (d) 6 mars 2012 à 18:14 (CET)Répondre

Finalement, peut-être serait plus judicieux que vous-même possédant les éléments qui concernent l'oeuvre de Yatridès réalisiez un texte conforme à ce qu'amène cette oeuvre. J'ai trouvé sur Wikipedia USA le texte suivant dans 2001: A Space Odyssey (film) "Speculation on sources" : Art critics have noticed the similarities between Kubrick's monolith and a recurring monolith motif in the artwork of French painter Georges Yatrides. Arthur Conte suggests that Yatrides "Adolescent and child" canvas painted in 1963 has a slab remarkably similar to that of Kubrick.[171][172] In Yatrides artwork, the monolith acts as a mystical symbol, mediating superior knowledge. Sacha Bourmeyster a semiology specialist, states[173] that the Yatrides slab communicates supernatural life in a manner similar to that in 2001. Sacha Bourmeyster has also noted the similarity in his book Interstellar Icons.[172][174] Similarities between Yatrides art and Kubrick's monolith have also been noted in the French architecture website CYBERARCHItecte.[175]. --ARNAUD Gilbert 19 avril 2012 à 17:45 (CEST)

C'est déjà fait : il y a un paragraphe exactement du même ordre, en longueur et en teneur, dans l'article actuel sur WP:fr, où il y a un peu près les mêmes éléments (Conte, Bourmeyster etc..) --Jean-Christophe BENOIST (d) 19 avril 2012 à 17:53 (CEST)Répondre

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Bonjour,

Il est vrai qu'il y a des éléments identiques, cependant l'analyse de différents articles dont celui de Wikipedia USA et celui de CYBERARCHItecte et de Guerman Language Institute, déterminent la réalisation d'un chapitre a part entière concernant l'intervention de l'oeuvre de Yatridès dans celle de Kubrick "2001 a space odyssey" ainsi que cela a été fait par Wikipedia USA pour les 2 influences vraisemblables du film, soit le russe Pavel Klushantsev pour l'influence technique et Yatridès pour le fond et la forme dans un même chapitre. Pour ce qui est de Cyberarchitecte et Guerman, ce sont des sources secondaires qui soulignent qu'une controverse existe sur les inspirations du film.

Voici quelques courts extraits concernant Wikipedia USA, Cyberarchitecte et Guerman Language Institute:

  • "In yatrides artwork monolith acts as a mystical symbol, mediating superior knowledge. Sacha Bourmeyster a semiology specialist, states[173] that Yatrides slab communicates supernatural life in a manner similar to that in 2001" (Wikipedia USA)
  • "Cette plongée le mène finalement au peintre Yatrides et ses Plaques Interstellaires dont s'inspirera, sans le nommer jamais, Stanley Kukrick " (CYBERARCHItecte Yatrides/Kubrick).
  • "A controversy has long hovered over the authorship of the famous monolith. Yet the work of painter Georges Yatrides plates since 1957 has monoliths" (Guerman Language Institute).

D'après ces analyses il est conforme de présenter un chapitre tel que ci-dessous, copie de Guerman Language Institute avec sa tête de chapitre en ce qui concerne la controverse:

"Controversy about the anticipation of "plaques" de .Guerman Language Institute

"A controversy has long hovered over the authorship of the famous monolith. Yet the work of painter Georges Yatrides plates since 1957 has monoliths, as demonstrated by several works which Yatrides analysis, anti-Picasso of Bourmeyster Alexander , dean of the University Stendhal-Grenoble III semiologist renamed , and Yatrides, master of time of Arthur Conte , Information Minister and CEO of the ORTF under the presidency of Georges Pompidou . Although George Yatrides never claimed paternity rights to those who have used its plates monoliths from 1968, date of release of the film (including the editors of the book of Arthur C. Clarke , namely Polaris Publications Inc.. for the original edition and I read the French edition , which covers up the plate monolith Yatrides George), a symposium was held at the Society of Authors in the Graphic and Plastic Arts August 16, 2001 so that the plates Yatrides be recognized as having "compelling attributes of original works on the form and substance" and that MGM is committed to ensuring that the artist is now cited in the credits of the film" (Guerman Language Institute). Pavel Klushantsev ne peut être omis pour une certaine partie technique, la station spatiale orbitale en rotation.

"The Russian documentary film maker Pavel Klushantsev made a groundbreaking film in the 1950s entitled Road to the Stars. It is believed to have significantly influenced Kubrick's technique in 2001: A Space Odyssey, particularly in its accurate depiction of weightlessness and a rotating space station. Encyclopedia Astronautica describes some scenes from 2001 as a "shot-for-shot duplication of Road to the Stars".[168] Specific comparisons of shots from the two films have been analyzed by the filmmaker Alessandro Cima.[169] A 1994 article in American Cinematographer says, "When Stanley Kubrick made '2001: a Space Odyssey' in 1968, he claimed to have been first to fly actor/astronauts on wires with the camera on the ground, shooting vertically while the actor's body covered the wires" but observes that Klushantsev had preceded him in this"(Wikipedia USA).

Ce film hors du commun aux images sublimes, n'est pas mieux décrit que par Stanley Kubrick lui-même: "(...) 2001 est fondamentalement une expérience visuelle, non verbale. Le film évite la formulation verbale en termes conceptuels, et atteint le subconscient du spectateur de manière poétique et philosophique. Il devient ainsi une expérience subjective qui touche le spectateur sur un mode de conscience interne, comme la musique ou la peinture".

Ce sujet m'a tellement passionné qu'il me faudrait encore étudier les autres facettes de l'oeuvre de maître Yatridès notamment ses recherches personnelles au CEA-CENG.

Cordialement

--ARNAUD Gilbert 26 avril 2012 à 21:36 (CEST)

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La section « autour du film » commence par le message d’avertissement ‘Les sections « Anecdotes », « Autres détails », « Le saviez-vous ? », etc. peuvent être inopportunes dans les articles.’ Si je comprends cet avertissement comme il se doit, il serait plus judicieux de classer les éléments de cette rubrique dans des sections séparées afin de minimiser au maximum cette rubrique « désordonnée » et de mieux classer l’information. Ainsi, si je le comprends bien, ce que propose Gilbert avec le court paragraphe citant Yatrides et faisant partie de cette rubrique, c’est avant tout de le déplacer dans un nouveau paragraphe qu’on pourrait appeler « Controverse autour de l'objet culte du film » par exemple, paragraphe séparé comme cela a été fait sur Wikipedia US. Le mot de controverse exprime bien la notion de dualité et d’incertitude qui a l’air de vous tenir à cœur. Des sources officielles parlent de l’antériorité de cette plaque dans l’œuvre de Yatridès comme mentionné dans le paragraphe actuel sur Wikipedia.fr. Cependant Gilbert a raison de vouloir étayer le paragraphe actuel en ajoutant certains arguments dont la symbolique de la Plaque qui sont à mon sens de valeur encyclopédique pour ce qui concerne ce fait en particulier. Je suggère donc dans l’intérêt du lecteur de simplement déplacer le paragraphe actuel dans une section dédiée de l’article et d’ajouter les informations sus-mentionnées par Arnaud Gilbert.

De plus, Bourmeyster, qui est un grand sémiologue, a approfondi en 2012 son analyse concernant l’objet culte du Film, la Plaque monolithe; cette analyse finale radicalise l’influence de la Plaque Yatridès sur les arguments et le déroulement des scènes prédominantes qui orientent l’action et l’aboutissement du film 2001 de Kubrick. C'est un ajout supplémentaire qu'il serait important de notifier à ce sujet.

Elnino38 (d) 9 mai 2012 à 17:07 (CEST)Répondre

Ce qui "me tient à coeur" surtout, c'est que (conformément aux règles de Wikipédia) l'article soit le reflet des sources secondaires valables existant sur le film 2001. Si demain une source secondaire valable (livre, article dans un journal de cinéma, etc..) consacre un long passage à Yadrides, "il me tiendra à coeur" d'en avoir le reflet dans cet article. Je ne suis pas opposé à insérer un paragraphe séparé concernant cette affaire, comme dans WP:en. En fait, l'idéal serait de traduire WP:en, et avoir un paragraphe de même teneur et de même taille. Le problème est que nous commençons à avoir des sources primaires (rappel : WP:SPS) d'assez bonne qualité à ce sujet, mais que nous manquons toujours de bonnes sources secondaires à ce sujet. Les sources primaires étant de bonne qualité, elles peuvent justifier un bref paragraphe sur ce sujet (quoique si on voulait être ultrastrict, ce que je ne cherche pas à être, on pourrait refuser tout ajout venant de sources primaires, concernant un sujet polémique, voir WP:SPS), mais aller plus loin (encore une fois) est difficile et problématique sans source secondaire (autrement dit, une source qui cite et analyse Bourmeyster, Conte etc.. dans le cadre d'un article sur 2001). Donc, pour résumer, il me parait difficile d'aller au delà de ce qui existe actuellement, dans cet article, ou dans WP:en, sans source secondaire, mais pourquoi pas organiser ces informations dans un paragraphe séparé. --Jean-Christophe BENOIST (d) 9 mai 2012 à 18:19 (CEST)Répondre
Voila j'ai rajoute un paragraphe, traduction de la version anglophone dans l'article. J'espere que c'est OK.

Elnino38 (d) 17 mai 2012 à 19:10 (CEST)Répondre

Logo 2001 en jaune fluo sur fond blanc modifier

Sérieux Enzino, tu trouves cela pertinent ? La couleur.. bon cela dépend des goûts, mais surtout c'est complètement illisible. --Jean-Christophe BENOIST (d) 26 février 2012 à 22:26 (CET)Répondre

des goûts et des couleurs... pour moi, parfaitement lisibles, car je ne suis pas daltonien. On ne supprime pas des images pour des raisons esthétiques ! --ᄋEnzino᠀ (d) 26 février 2012 à 23:14 (CET)Répondre
Si le logo était bleu à pois verts clignotant, il faudrait laisser car on ne supprime pas pour des raisons esthétiques ? C'est du même ordre. OK je laisse.. C'est tellement horrible que quelqu'un d'autre supprimera certainement.. --Jean-Christophe BENOIST (d) 26 février 2012 à 23:31 (CET)Répondre
personne n'a discuté ces couleurs depuis... --ᄋEnzino᠀ (d) 19 avril 2012 à 18:08 (CEST)Répondre
En effet, donc les deux sont sur un pied d'égalité. On ne réverte pas pour des raisons esthétiques Enzino..   La version que je propose a plusieurs raisons objectives et non esthétiques d'être préférée :
  • Elle est utilisée sur d'autre WP, et n'est donc pas le fruit d'un travail ou d'une préférence personnelle
  • Elle est conforme au graphisme de l'affiche du film
Enzino, quelles sont les raisons objectives (il y en a sûrement) de préférer la version actuelle ? Qu'en pense la communauté ? --Jean-Christophe BENOIST (d) 19 avril 2012 à 18:18 (CEST)Répondre
Je suis de l'avis de BENOIST. C'est horrible, illisible et n'a aucun rapport avec le graphisme du film. Il s'agit d'un apport personnel a reverter de la même manière qu'un travail inédit. Est-ce un moyen de saboter la page ? Donpato (d) 21 avril 2012 à 16:48 (CEST)Répondre

Boîte utilisateur modifier

Bonjour,
Si vous aimez ce film, vous pouvez copier dans votre page personnelle cette boite utilisateur avec la syntaxe suivante :
{{Utilisateur 2001, l'Odyssée de l'espace}} --Tangopaso (d) 9 mai 2012 à 21:09 (CEST)Répondre

Un scénario "typique" des années 1960 modifier

Ce paragraphe m'ennuie beaucoup. Sans aucune source, il développe assez longuement et avec force digressions une thèse, que je n'ai vue nulle part dans aucune source selon laquelle le scénario serait conventionnel est reprendrait les poncifs de son époque. De plus, il résume le scénario (des extra-terrestres ? Qui a dit que le monolithe est placé par des extra-terrestres et non par une force cosmique, ou autre ?) avec un POV affirmé. Je pense que je vais sérieusement trancher dans ce paragraphe, mais j'attends bien sûr vos avis et remarques. --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 17 août 2013 à 11:32 (CEST)Répondre

Attention aux faux sens et au contresens à vouloir forcer des explications modifier

Attention aux faux sens et aux contre-sens, c'est justement parce que cette œuvre laisse ouverte l'interprétation, qu'on ne peut pas dire ou écrire n'importe quoi : "Kubrick et Clarke s'interrogèrent également sur l'opportunité de montrer ou non les extraterrestres[réf. nécessaire]. Des essais sont donc réalisés avec des danseurs, puis il est finalement décidé de ne rien montrer du tout. Kubrick évacue donc les aliens répugnants, reprenant un parti pris, par exemple, dans Planète interdite de Fred McLeod Wilcox, où les mystérieux Krells restent invisibles, donc plus inquiétants. Mais Kubrick va plus loin. L'intervention des extra-terrestres n'est clairement révélée, comme information top-secret, qu'aux deux tiers du film[réf. nécessaire]."

Je n'ai jamais vu que les Krells soient inquiétants, celui qui est inquiétant c'est l'hôte de la planète interdite qui prétend les comprendre et disposer d'une part supérieure aux autres de leur intelligence, les Krells sont sublimés ce qui est bien mieux. Rien dans le film de Stanley Kubrick ne suggère la présence ou l'intervention "d'extra-terrestres", c'est plus intelligent que cela : la seule chose que dit le film c'est qu'il y a des choses qu'on ne comprend pas : en réalité la présence du monolithe qui résulte d'une volonté - c'est ce qui est dit, qui est vieux de 4 millions d'années, ce qu'on estimait alors de l'âge de l'humanité et cela ne va pas plus loin. Le monolithe peut tout aussi bien ramener à l'homme lui-même qu'à un extra-terrestre. Le principe est justement que sa signification doit nous échapper. Donc tenter de lui raccorder une signification ou un sens est justement un contresens.

"Fruit d'une collaboration entre les deux, le scénario de 2001 est, curieusement, assez conventionnel : le postulat en est que les extraterrestres ont visité la Terre il y a quatre millions d'années, et qu'ils sont à l'origine, artificielle, de l'évolution du singe vers l'homme. Ils ont laissé un émetteur sur la Lune et un relais en orbite autour de Jupiter. L'accès des hommes à la science étant prouvé par l'aptitude de ceux-ci à atteindre la Lune, la « sentinelle » en informe le relais autour de Jupiter, à charge pour ce dernier d'informer les « Grands Anciens galactiques » du succès de l'opération."

Le mot conventionnel est un jugement de valeur qui pourrait peut-être convenir au roman, encore que je ne saurais partager une telle appréciation, mais alors pour ce qui concerne le film, c'est pour le moins raté. Rien de moins conventionnel et Stanley Kubrick l'a compris quand il a vu la tête des producteurs lors des premières projections. En réalité il faut séparer le roman, qui dit quelque chose et le film qui ne parle plus du tout de cela et qui dit tout autre chose de l'évolution de l'humanité. La notion même d'extra-terrestre est gommée. Sans doute Kubrick, de façon malicieuse n'a pas révélé ses intentions à Clarck mais il a pris le contrepied du postulat du livre qui est une ode à l'évolution technique tandis que le film est beaucoup plus mélancolique et dramatique. Et c'est cela qui est remarquable, me semble-t-il.

"Par ailleurs, un optimisme sans faille entourait alors la conquête de l'espace (2001 sortira un an avant la première mission spatiale à avoir conduit un homme sur la Lune)."

Je n'ai pas vécu du tout les choses comme cela quand j'étais enfant. A l'époque, il s'agissait d'une compétition extrêmement vive entre les deux super-puissances et l'on percevait dans l'aventure spatiale une continuation de la guerre froide, la conquête de l'espace représentait une lutte à mort. Le vol de Gagarine était avant toute chose un défi lancé aux Américains pour prouver la supériorité d'un modèle de société sur l'autre. L'intelligence de Kubrick c'est de projeter ce conflit dans le futur et il est présent lors de la discussion qui a lieu sur la station spatiale : on ne dit pas tout aux Russes, on ne révèle qu'une partie du secret, le conflit est atténué, tapis dans l'ombre, il s'est estompé. En fait la guerre était auparavant une restauration de l'identité, et dans l'avenir ce ne sera plus possible. C'est ce que recèle le dialogue. Pas banal non.

"Kubrick décide d'aller plus loin en laissant le spectateur libre de se faire une idée du sens du film, le scénario n'étant plus qu'esquissé par de vagues allusions. Il ne veut aucun synopsis apparent ou évident, et c'est pourquoi le film est une succession de scènes de facture très conventionnelle (conversations banales entre savants russes et américains, conférence de presse d'un officiel usant de la pire langue de bois, dialogue minimaliste des astronautes Bowman et Poole) et de phases hallucinatoires proches du cinéma expérimental."

Ouh lala, catastrophe nationale ! Que la structure scénarique laisse libre cours à l'interprétation, à la rêverie c'est un fait, mais que chacun puisse se faire une idée du sens du film librement, non pas vraiment, il y a tout de même un déroulement, une structure. C'est un film extrêmement construit, avec une architecture puissante, ce n'est pas du chewing-gum. Donc contresens. Il est vrai que l'intrigue est réduite et enclose par l'ambiance qui est, elle, absolument prenante et hypnotique, mais c'est cela qu'il faudrait écrire. "Scènes de facture très conventionnelle" : il n'y en a pas une seule, à chaque fois la mise en scène est particulièrement étudiée, précise, chirurgicale presque dans un environnement inouï. Conventionnel, dire cela de "planète interdite", peut-être et encore... Les conversations ne sont absolument pas banales : elles ont toutes trait à l'isolement que ressentent chacun des personnages et d'ailleurs elles se répondent : la scène entre le père et sa fille fait écho avec la scène entre les astronautes et leurs parents : le décalage temporel s'accentue, la seconde fois ils sont privés de toute possibilité de dialogue du fait du temps qu'il faut à l'information pour parvenir au vaisseau. Kubrick en fait un élément dramatique majeur, ni conventionnel, ni banal, ni rien du tout, saisissant oui. Le dialogue dit quoi sur les astronautes en hybernation ? Qu'ils vivent un sommeil sans rêve. C'est tout sauf banal et anodin, c'est le comble de l'hypnose créé par l'environnement technique. La petite fille va fêter son anniversaire et son père lui demande ce qu'elle veut : un téléphone. Le père lui répond pourquoi tu veux un téléphone, on en a partout, c'est sans intérêt. Ce n'est pas anodin du tout c'est un miroir qui nous est tendu et qui est prémonitoire, tout le monde a un téléphone tandis que Kubrick nous fait comprendre qu'il représente en réalité un objet d'hypnose et d'isolement. Le spationaute précise à sa fille : "non demande quelque chose de très spécial". Elle répond "a bush baby", un singe. "On verra" lache le père. Évidemment non, on ne peut pas revenir en arrière.

"Il reste à ajouter qu'à sa sortie en 1968, avec l'arrivée du LSD et autres drogues hallucinogènes, les ouvrages de Carlos Castaneda, la bande dessinée (Philippe Druillet réutilisera l'œil rouge de HAL sous la forme d'un ordinateur féminin appelé Rose14), le rock progressif, les hippies ou le cinéma expérimental, 2001, et ce malgré une critique catastrophique (il fut éreinté par Variety « Trucages habiles à la George Pal », par le New York Times « D'un ennui mortel », par la revue The New Leader « Une histoire de dieux sans queue ni tête »), il rencontra des circonstances presque idéales pour son succès retentissant."

C'est un gros mélange là, les hippies ce sont les années soixante, le cinéma expérimental, depuis 1920, le rock progressif ou pas, le film entretient un rapport très lointain avec le rythme du rock, le blues lui convient mieux. Le succès de ce film ne s'explique que par son contenu et non pas par son environnement : la chose qui a paru extraordinaire, c'est que pour la première fois, on avait la sensation véritable de ce que représentait le voyage dans l'espace et l'apesanteur, cela ne s'était jamais vu avant. Voila un metteur en scène qui montre un clair de terre vraisemblable avant même le voyage d'Armstrong. Les spectateurs ont été pris dans l'ambiance très hypnotique de ce film.

"Si 2001, l'Odyssée de l'espace devait être réduit à une scène emblématique, ce serait sans doute (du moins dans la conscience collective, d'après les nombreuses parodies qu'elle engendra) celle où le singe premier-homme lance en l'air le premier outil de l'humanité (un os) et que celui-ci s'élève (sur la musique de Richard Strauss) puis retombe (sur la musique de Johann Strauss, musicien paradoxalement antérieur au précédent) et se « transforme » soudain en un satellite lanceur d'engins nucléaires31 flottant dans l'espace et qui semble même « tomber » dans le prolongement de la trajectoire de l'os. La particularité de cette scène tient essentiellement en sa forme (le montage). Ce raccord extrêmement simple, puisqu'il n'y a nulle utilisation de transitions (ex : fondu, etc.), peut être qualifié à la fois de brutal et de cohérent. Brutal parce qu'il lie deux situations très différentes et surtout deux âges très éloignés. Cohérent parce que les formes de ces deux objets sont à l'écran, très semblables et que le mouvement n'est pas rompu. Ce montage est inhabituel puisque traditionnellement, un fondu au noir aurait été utilisé pour signifier le changement de contexte.

Ceci a pour effet d'effectuer un certain rapprochement entre les deux outils, en l'occurrence l'os et le lanceur d'engins nucléaires."

Vous pouvez faire tout ce que vous voulez pour nier la vérité de ce film, il est un fait incontestable, historique : la première personne qui a vu 2001 en dehors de la production, c'est Marshall McLuhan - en projection privée avec Teri McLuhan qui peut en témoigner, et c'est Kubrick qui avait tenu à faire cela. Le reste est du blabla. Ce n'était pas évident parce que Marshall McLuhan sortait d'une opération très éprouvante d'une tumeur au cerveau. Et de quoi parle Kubrick quand Playboy l'interroge ? De McLuhan : "J'ai voulu créer une expérience visuelle, qui évite le catalogage verbal et s'adresse directement au subconscient avec un contenu émotionnel et philosophique. Pour paraphraser la formule de McLuhan, dans 2001 le message est le médium.". Et donc effectivement, vous avez entièrement raison, un cinéaste idiot aurait fait un fondu - "enchaîné" - pas "au noir" -. Et que dit le mouvement coupé puis repris d'un seul tenant, que l'un est le prolongement de l'autre et que le passage de l'un à l'autre est brutal et creuse le vide, ce qui va beaucoup plus loin : le message : c'est que le medium du vaisseau spatial est le prolongement du medium de l'os. Hal est un prolongement de la conscience etc etc... Et McLuhan dit : malheureusement chacun de nos prolongements techniques nous hypnotise et nous rend aveugle. Et l'astronaute sur son lit cherche à atteindre... à atteindre... à atteindre... ce qu'il ne comprend pas.

Enfin bon, le film vaut de toute façon mieux que ce qu'on pourrait en dire. Ma page est peut-être "peu notable" comme le disent les censeurs de ce site, mais au moins, j'essaie d'éviter les faux-sens. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 90.46.70.23 (discuter)

Tout ce qui est non sourcé (et discutable) est supprimable ou modifiable sans autre forme de procès. Malheureusement, cet article est trop peu sourcé. Je suis d'accord avec un certain nombre de choses (comme "scénario conventionnel" : n'importe quoi), et comme par hasard, ces passages ne sont pas sourcés.Donc n'hésitez pas ! Cela dit, il serait préférable de remplacer les passages non sourcés par des considérations sourcées, par des sources notable et heureusement, il en existe de nombreuses pour ce film. En revanche, le passage sur les hippies, les drogues et le contexte idéal etc.., est parfaitement sourçable, par des sources de qualité. Mais s'il existe d'autres interprétations (sourçables) du succès, elles peuvent être ajoutées sans problème. --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 31 octobre 2013 à 23:17 (CET)Répondre

La fameuse ellipse: ce que tout le monde rate modifier

J'ai lu toutes sortes d'articles sur 2001, en 40 ans, papier ou Internet, à la recherche d'une chose que j'ai remarquée au sujet du film seulement la 8ème ou 9ème fois que je l'ai vu (je l'ai vu la première fois ado dans les années 70...). Jamais, jamais je n'ai trouvé la chose que j'avais remarquée mentionnée quelque part. Je suis venu voir ici, et aussi dans l'article en anglais, et je ne l'ai pas vue non plus. Il y a longtemps, j'en avais parlé sur imdb.com, mais sur imdb ils ont supprimé tous les anciens commentaires des forums, donc mon intervention n'y est plus. Bon, voici de quoi il s'agit, et ma question est: pensez-vous qu'il est bon de l'indiquer dans l'article?

Quand je lis l'article ici, je vois la même chose que l'on dit toujours à propos de 2001 (entre mille autres choses): qu'il y a quatre parties, d'une part, et d'autre part que le passage de la 1ère à la 2ème partie se fait au moyen de cette fameuse ellipse, une ellipse unique dans l'histoire du cinéma, parce qu'elle contient toute l'histoire de l'humanité! On passe de l'homme préhistorique qui lance son os devenu outil devenu arme, devenu satellite par la magie du montage et de la narration, à l'homme moderne actuel qui explore les étoiles. Sublime.

Donc voilà, l'article indique bien les 4 parties et les résume très bien. Tout y est, comme d'habitude oserai-je dire.

Oui mais voilà, il y a un petit hic, un petit hic qui en dit long sur le génie de Kubrick. Parce que voyez-vous, l'article a titré les 4 parties, pour plus de clarté je pense, avec les mêmes titres visibles dans le film: Aube de l'Humanité, Mission Jupiter, Jupiter et au-delà de l'Infini... hey wait a minute, là ce sont les titres des parties 1, 3 et 4, mais j'ai oublié celui de la partie 2, non, celui qui commence par l'ellipse, la fameuse scène de l'os devenant satellite???

Sauf qu'il n'y a pas de titre à cet endroit dans le film. Ce qui ne peut signifier qu'une chose: dans toute la partie se passant en 1999, dans le voyage Terre-Lune et sur la Lune, on est ENCORE dans la 1ère partie! Ce qui signifie que ce que nous voyons, nous, comme l'histoire de l'humanité (contenue dans l'ellipse) est en fait selon ce film toujours l'Aube de l'Humanité! Il n'y a donc que 3 parties dans le film, pas 4, la première partie étant bien sûr divisée en deux parties distinctes. Mais cette 1ère partie forme bien un tout, même si un message y est habilement caché dans cette ellipse, tellement visible comme le nez au milieu de la figure que personne ne le voit jamais (à part moi, ha ha! ;) ). Il faut dire qu'on est tellement saisi par la beauté et l'importance de cette scène qu'on en oublie de penser à autre chose. Il faut plusieurs visions du film, et de longs moments de réflexion pour qu'un jour la révélation se fasse... Le message en question consiste évidemment à nous dire: "vous vous croyez malins avec votre technologie qui vous emmène sur la Lune, mais vous ne valez pas mieux que votre ancêtre le singe devenant homme préhistorique avec son os outil-arme, vous n'avez encore rien vu, vous êtes encore à l'aube de votre humanité, attendez de plonger dans la porte des étoiles, et là, vous évoluerez vraiment".

Personnellement je pense que ça serait bien que l'article de Wiki sur 2001 indique tout ça, dans un style encyclopédique, cela va de soi. :) Onaryc (discuter) 29 octobre 2014 à 18:53 (CET)Répondre

Cela est est impossible, car cela contrevient totalement à deux règles fondamentales de Wikipédia : WP:TI et WP:V. Merci de votre compréhension. --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 29 octobre 2014 à 20:58 (CET)Répondre
Merci pour votre réponse rapide. Je conçois que la partie "interprétation" de mon intervention soit sans référence, et ne puisse donc entrer dans le cadre d'un article wiki. Cela dit, la partie "Synopsis" de l'article me semble sans référence lui aussi. L'article énonce et résume les "4 parties" du film en leur donnant des titres, dont trois sont ceux utilisés dans le film, le 2ème seulement étant inventé pour l'article, de toute évidence. Et ce titre est sans référence. Alors, peut-être applique-t-on ici la règle de wiki qui dit que seule "toute information susceptible d'être mise en doute" doit faire l'objet d'une référence, et qu'on décide qu'on ne puisse mettre en doute qu'il y a 4 parties dans le film. Ou peut-être est-ce le fait qu'on ait pas besoin de mettre en doute "les informations triviales, c'est-à-dire les informations normalement connues de tout un chacun, ou aisément vérifiables par tout lecteur" (je cite à nouveau wiki, voir les liens que vous m'avez gentiment fournis). Mais dans ces deux cas, ces règles s'appliquent parfaitement à ma simple constatation que dans le film, il n'y a que trois titres de parties. Cela 1) ne peut être mis en doute, il suffit de voir le film et 2) c'est normalement connu de tout un chacun (qui a vu le film) et c'est "aisément vérifiable". Ma remarque à propos des trois parties s'applique donc aux règles de wikipédia, en tout cas pas moins que la partie "Synopsis" de l'article, qui ne cite aucune source, et énonce quelque chose qui est faux, si on se base sur la vision stricte du film lui-même. Onaryc (discuter) 30 octobre 2014 à 11:29 (CET)Répondre
Si le découpage en 3 parties est véritablement trivial et aisément vérifiable, alors on ne devrait pas trouver de sources qui parlent de 4 parties, et au contraire trouver aisément des sources qui parlent de 3 parties. Si ce n'est pas le cas, alors les sources ont peut être tort (mais voir WP:EXV) mais ce n'est certainement pas "aisément vérifiable", il y a forcément une marge d'interprétation qui mène à l'interprétation en 4 parties. Je vais essayer de trouver des sources pour les 4 parties, je pense que cela ne devrait pas poser problème. S'il y a des sources pour les deux interprétations du découpage, alors il faut mettre les deux découpages dans l'article. Bref. On fait comme les sources, que celles-ci aient raison ou tort (voir encore une fois WP:EXV). Cordialement --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 30 octobre 2014 à 12:47 (CET)Répondre
Quand je disais "aisément vérifiable", je voulais dire "vérifiable à la simple vision du film". Je parle bien, encore une fois, du fait qu'il y a trois titres de parties, et non trois parties ou quatre, même si (et ce n'est que mon avis) trois titres impliquent trois parties, en tout cas dans l'esprit des auteurs du film. Une recherche rapide sur Google a donné plusieurs exemples d'articles (blogs, sites de cinéma etc.) divisant le film le plus souvent en 4 parties effectivement, mais aussi en deux parties, et même en trois, comme moi, mais la 2ème partie commençant avec la fameuse ellipse! Bref, j'ai bien compris que c'est sujet à interprétation et que seules les sources doivent dicter ce qui est dit dans l'article, en accord avec les règles de Wiki. Du moins, les sources, et aussi ce qui est trivial et aisément vérifiable. Et là, je dis qu'il est aisément vérifiable qu'il y a trois titres. C'est tout. Or, l'article de wiki ne mentionne pas ce fait trivial et vérifiable, alors que les règles de wiki disent que ce genre de fait n'a pas besoin d'être sourcé pour être mentionné dans un article. Pardonnez-moi d'insister sur ce fait. Cela dit, ça ne me dérange pas plus que ça. C'était juste pour rendre service. Merci en tout cas. Onaryc (discuter) 30 octobre 2014 à 14:58 (CET)Répondre
Effectivement, la chose factuelle et trivialement vérifiable est "Il y a trois titres de partie". On pourrait donc en effet ajouter cette phrase, mais guère plus. Mais quel serait la pertinence et l'intérêt de cette phrase si on en tire par des conclusions et si à côté on parle de 4 parties ? Pourquoi parler des titres et pas des entractes ? On pourrait ajouter aussi la phrase "Il y a un entracte", ce qui est factuel et trivialement vérifiable également, mais peu pertinent pour le découpage en partie ou pour en tirer des conclusions (ou pourrait faire des exégèses sur les partie en se fondant sur l'entracte aussi). Ces deux phrases me paraissent exactement du même ordre : trivialement vérifiables, mais sans pertinence a priori. Mais mon opinion n'a pas plus de valeur que la votre, la seule opinion qui vaille est celle des sources et il faudrait voir si un source insiste pour signaler qu'il y a trois titres. --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 30 octobre 2014 à 18:04 (CET)Répondre
seules les sources comptent sur Wikipedia : il me revient une anecdote sur Aristote et le nombre de pattes d'une mouche. Aristote ou un copiste ayant affirmé que la mouche avait quatre pattes pendant des siècles les mouches ont été considérées comme ayant quatre pattes, malgré l'évidence que chaque enfant, arrachant les pattes d'une mouche, pouvait facilement contredire. Pour l'instant aucune source, donc TI.--ᄋEnzino᠀ (discuter) 31 octobre 2014 à 20:53 (CET)Répondre
Pardon de n'avoir pas répondu plus tôt, je n'étais pas dispo... Pour ce qui est des entractes, d'abord il n'y en a pas dans 2001. Je l'ai vu plusieurs fois au cinéma, sans entracte, et sur DVD même chose. Docteur Jivago, par exemple, a un entracte, au cinéma comme sur le DVD, avec image et musique créées exprès pour cet entracte. Mais on s'éloigne du sujet. Cela dit, la page Wiki de Dr Jivago ne mentionne pas l'entracte il est vrai, mais ça se comprend, ça ne fait pas partie du film à proprement parler, alors que les titres de parties, si. Grosse différence. Donc la pertinence est bien là, pour toutes les raisons que j'ai déjà expliquées. Wikipedia, en appliquant sa propre règle de "aisément vérifiable" et "pas besoin d'être sourcé pour être mentionné" a là l'occasion de montrer qu'il a vu quelque chose que même les sources "spécialisées" n'ont pas vue. C'est dommage de ne pas le faire. Heureusement que chaque source n'a pas attendu à chaque fois une autre source pour remarquer des choses évidentes, sinon personne n'écrirait jamais rien... Et Wiki serait vide. Et je trouverais un peu fort qu'on ait besoin d'une source pour dire par exemple que "l'eau à température ambiante est liquide". Mais pourquoi pas, après tout, si c'est comme ça que fonctionnent les encyclopédies. Égoïstement, je dirai pour conclure que moi, au moins, j'ai vu qu'il y avait trois titres, et non quatre, et donc, trois parties. Kubrick et Clarke ont passé assez de temps sur la préparation et l'écriture et le montage de ce film pour ne pas avoir remarqué la chose, voire l'avoir voulue ainsi. Cela saute aux yeux quand on prend la peine d'y réfléchir. Mais je prends bonne note qu'il faut être une "source" pour que cela soit dans un article de wiki, et que le sujet d'un article ne peut constituer sa propre source. Je ne vais pas refaire le monde, ni refaire wiki. :) Onaryc (discuter) 19 novembre 2014 à 13:00 (CET)Répondre
Sisi, il y a un entracte dans 2001, avec une musique faite pour : [16] par exemple et recherchez "2001 intermission" ou "2001 entracte" sous Google. Vous voyez, rien n'est "évident", et vous avez besoin de sources pour admettre quelque chose d'aussi évident que l'entracte !!  . Les sources notables ont le droit de faire ce que WP n'a pas le droit de faire, car les sources notables sont faites par des spécialistes, et WP par des anonymes, qui se trompent plus aisément que les spécialistes. Ceux-ci peuvent se tromper, ou manquer des choses, mais on en voudra toujours beaucoup plus à Wikipédia de se tromper car des anonymes ont écrit n'importe quoi, que de se tromper avec des sources notables. D'expérience, 99% des choses non sourçables par source secondaire écrites par des Wikipédiens sont non pertinentes ou POV, et 1% intéressantes. De plus personne n'est ici capable de distinguer objectivement ces 1% des 99% restants. Personne ne peut dire si ce que vous dites est dans les 1% ou 99% (mais statistiquement..  ). Il est peut-être dommage de manquer ces 1%, mais personne n'est prêt à payer ces 1% par les 99% de choses qui n'ont rien à faire dans WP. --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 19 novembre 2014 à 13:30 (CET)Répondre
I stand corrected.   Si l'entracte est le morceau de musique de 2 mn 30 que j'ai vu sur YouTube, pas étonnant que je n'en aie aucun souvenir... j'ai vu 2001 au ciné plusieurs fois dans les années 70. Après ce fut vidéocassette puis DVD, ou l'entracte ne figure pas (dans mon souvenir du moins - je n'ose plus rien dire du coup). Mais bon, je n'étais pas venu ici parler d'entracte, et je n'aurais jamais eu l'idée de venir dire "écoutez tous, il n'y a pas d'entracte, il faut le dire dans l'article". Je parlais juste des trois titres, vous savez, ceux qu'ont mis dans le film les auteurs du film en omettant d'en mettre un là où tous les spécialistes voient le début de la 2ème partie du film et pensent donc que c'est la fin de la 1ère partie... à tort, parce qu'ils n'ont pas bien regardé le film, tous spécialistes qu'ils sont.   Ce n'est pas grave, et je comprends que Wiki marche comme ça, les sources avant tout. Mieux vaut une erreur de spécialiste qu'une chose juste d'un non spécialiste (même si c'est une chose facilement vérifiable), au nom des "99% de choses non sourçables". Si j'y tiens tellement que ça, je n'ai plus qu'à: 1) devenir spécialiste moi-même ou 2) convaincre un spécialiste qui le mettra ensuite dans une source exploitable. (ou 3) trouver une source qui dit ce que je dis, mais m'est avis que je suis seul au monde de ce point de vue-là. Zut.) Merci pour vos réponses qui sont... pertinentes.   89.3.99.39 (discuter) 19 novembre 2014 à 19:11 (CET)Répondre
For what it's worth, je suis d'accord pour dire que la “partie” sur la Lune fait bien “partie” de la “partie” intitulée The Dawn of Man. Il y a donc trois parties du point de vue de la structure du film, correspondant aux intertitres (le critère pertinent est : on ne peut pas aller pisser entre le jet de l'os et l'apparition du satellite, c'est miction impossible), même s'il y a quatre parties du point de vue de la narration dans sa chronologie. Toutefois ce découpage chronologique est bien trop conventionnel pour être pertinent s'agissant d'un film aussi complexe qui s'achève littéralement hors du temps (impossible de dire si le plan final a encore lieu en 2001, s'il s'est écoulé une fraction de seconde depuis l'entrée de Bowman dans le monolithe, ou bien des milliers / millions d'années après ; dans le roman la première hypothèse semble privilégiée, puisqu'on est encore dans un contexte apparenté à la Guerre Froide, et l'enfant des étoiles désamorce in extremis un missile nucléaire qui aurait pu déclencher un conflit mondial apocalyptique ; c'est quelque chose de similaire qui a lieu dans le film Contact de 1997, largement inspiré de 2001, surtout la séquence finale, où plusieurs dizaines d'heures sont condensées en un instant infime lors de la chute de la sphère où se trouve le Dr. Eleanor Arroway). --Abolibibelot (discuter) 12 janvier 2018 à 05:43 (CET)Répondre

Remarques sur le titre original et sa traduction modifier

On a malheureusement traduit "..., a space Odyssey" par "L'Odyssée de l'espace" au lieu de "UNE Odyssée de l'espace", ce qui atténue l'annonce du caractère mythique du récit proposé.

D'autre part, l'Odyssée, la seule, la vraie, celle d'Homère qui inspire toutes celles qui ont écrites par la suite, est, comme chacun sait, le mythe d'un voyage dans l'espace (de l'époque, évidemment). Le préciser dans le titre du film constitue donc une tautologie, d'autant plus regrettable qu'il s'agit bien plutôt, comme suggéré précédemment par Onaryc, un voyage dans le temps, même plutôt dans l'espace-temps.

--Hpa (discuter) 24 juin 2015 à 10:25 (CEST)Répondre

Bonjour Hpa,
Et donc ? Pardon si je n'ai pas compris, mais suggérez-vous quelque chose, relativement à la rédaction de l'article ? La rédaction d'une note, peut-être ? Si oui, on ne peut pas le dire comme ça : il faudrait sourcer.
Cordialement, --Daehan [p|d|d] 24 juin 2015 à 10:59 (CEST)Répondre
Les titres anglais ont des traductions plus ou moins heureuses qui sont rarement fidèles à l'original mais si ce n'est pas sourcé dans une source fiable, cette remarque n'a que peu à faire ici.--ᄋEnzino᠀ (discuter) 24 juin 2015 à 15:53 (CEST)Répondre
Et donc, rien à modifier sur la page principale. J'ai simplement voulu ajouter ma réflexion personnelle à la remarque d'Onaryc à propos de l'interprétation de la fin du film, qui, elle non plus, ne peut entrer dans une encyclopédie, puisque, sauf erreur, non sourcée en dehors de l'encyclopédie elle-même.
Vous pouvez, si vous le jugez utile, supprimer de cette page de discussion, ma contribution "hors sujet".
Cordialement aussi. --Hpa (discuter) 25 juin 2015 à 09:11 (CEST)Répondre

Source pour le résumé d'un épisode ? modifier

Mon ajout "Dès que HAL est autonome il devient un assassin", comme illustration du pessimisme de Kubryck a été annulé avec le commentaire "source ?". A vrai dire je ne comprends pas que l'on demande la source pour ce qui est le récit d'une des séquences du film. La source c'est le film.--JeTou (discuter) 17 août 2016 à 16:11 (CEST)Répondre

On peut faire n'importe quelle exégèse du film, en disant ensuite "la source c'est le film". En plus ce film s'y prête particulièrement. Votre ajout est une interprétation, et fait un lien entre deux parties du film. C'est peut-être juste, peut-être faux, les deux sont possibles puisque c'est une interprétation. Si cette interprétation est pertinente, alors une source secondaire l'a certainement faite, et il faut la trouver. Si aucune source ne l'a faite, alors c'est sûrement faux ou non pertinent. --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 17 août 2016 à 17:03 (CEST)Répondre

Les tableaux décorant la chambre de style Louis XV modifier

Que sait-on des tableaux décorant la chambre Louis XV ? François Boucher ? Jean-Honoré Fragonard ou William Hogarth ? Philippe Nusbaumer (discuter) 4 décembre 2016 à 21:34 (CET)Répondre

  Philippenusbaumer : j'ai beau revoir et revoir ce film, je n'arrive point à identifier les tableaux... Désolé. Mais la réponse se trouve peut-être à Londres. Cdlt, --Marc-AntoineV (discuter) 5 avril 2019 à 15:02 (CEST)Répondre
Les tableaux ont été créés par des artisans du studio MGM de Borehamwood, où a été tourné 2001 (cf. le format très particulier des peintures, en ogive). L'un des tableaux est inspiré de La Tendre Pastorale de Boucher, ou plus exactement d'un tableau qui était pratiquement une copie de Charles Eisen. Les sources pour les autres peintures n'ont pas été identifiées. Les tableaux sont apparemment restés dans les entrepôts du studio jusqu'à sa fermeture, dans les années 70, pour être ensuite achetés avec d'autres accessoires, par d'autres studios britanniques. Au moins, l'un d'entre eux a été racheté par le studio Pinewood, comme on le voit dans un des décors de Dangereusement vôtre, le dernier James Bond avec Roger Moore. PetitCesar (discuter) 13 novembre 2021 à 21:32 (CET)Répondre

Yannick Rolandeau modifier

Techniquement, cet article publié sur un blog est un TI; s’il était publié dans un journal consacré au cinéma, il deviendrait une référence acceptable pour une encyclopédie. (A mon avis, mais ça n’est que mon avis, il est pour l’instant bien trop mal écrit pour ça). Le fait qu’il soit réalisateur et fasse des chroniques sur France Culture ne rend pas l’auteur notable pour autant: c’est son métier, il est journaliste. Mais il n’a pas de page sur Wikipédia par exemple. Sapphorain (discuter) 9 novembre 2017 à 21:24 (CET)Répondre

Il y a tellement d'exégèses de 2001, meme par des personnes semi notables (genre Rolendeau), qu'il faudrait s'en tenir aux plus notables / reprises. Sinon on met en exergue, arbitrairement, certaines sources semi notables par rapport à d'autres, à moins de les lister toutes, ce qui ferait trop. --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 9 novembre 2017 à 22:36 (CET)Répondre
Oui, oui, je suis d'accord. En réalité, j'avais cliqué sur "annuler", puis j'ai fait une recherche rapide, et je me suis dit pourquoi pas. Mais en effet, aucun intérêt. Cordialement, — Daehan [p|d|d] 10 novembre 2017 à 01:00 (CET)Répondre
Quand on écrit déjà mal le nom de cette personne et qu'on fait croire qu'elle est journaliste alors que ce n'était qu'un entretien sur France-Culture (et qu'en plus, il n'a pas de page Wiki, quelle preuve de pertinence quant au fond), on peut être sceptique quant à vos jugements à l'emporte-pièce sans le moindre argument. Il suffit de voir le niveau des références et de l'analyse par rapport à d'autres sites et j'ai vu qu'il en avait fait un montage. Mal écrit, laissez-moi rire : https://www.youtube.com/watch?v=MBQN2074ToI&t=270s — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 85.68.235.134 (discuter), le 7 novembre 2018 à 20:25
Je me bornerai à relever que Yannick Rolandeau a pour habitude depuis des années de modifier sous différentes identités ou adresses IP (Nocturno, Elomire et quelques autres que je peux fournir au besoin) des articles de Wikipédia pour y placer essentiellement des références à ses propres articles. Les modérateurs d'il y a quelques années ont d'ailleurs été amenés à intervenir, et ont alors eu droit à des attaques personnelles assez violentes. L'auteur a par ailleurs été pris plusieurs fois la main dans le sac, postant sous pseudo sur un site de VPC bien connu des critiques de ses livres, tellement laudatives que ça en devient comique. Vous pouvez très facilement vérifier tout cela.
D'ailleurs, le paragraphe au-dessus du mien ("Quand on écrit déjà mal...") a été posté depuis l'adresse IP 85.68.235.134. Les deux seules autres contributions depuis cette adresse (en novembre et décembre 2018) ont été des rajouts dans les articles de références à des ouvrages signés Yannick Rolandeau. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 2a01:cb08:216:6100:846a:4265:892c:169c (discuter), le 26 mars 2019 à 02:23

ellipse modifier

1959 la mort aux trousses fin du film ellipse sur un train pénétrant un tunnel pour symboliser l'acte sexuel. c'est encore avant...

pas étonnant sur un article de Kubrick de vouloir faire croire que le mec a tout inventé

Hitchcock a tourné des films en plein code HAYS ça relevait du vrai challenge, sans parler de la technique BREF

--86.198.123.68 (discuter) 30 avril 2018 à 01:41 (CEST)Répondre

Mais est-ce que lors de cette scène, il y a une ellipse, ou est-ce seulement une métaphore ? — Daehan [p|d|d] 4 avril 2019 à 23:23 (CEST)Répondre
Quel rapport entre le film La Mort aux trousses et 2001, l'Odyssée de l'espace ? Il y aurait une scène sexuelle suggérée ou implicite dans ce film de science-fiction ? Rien compris au message de l'IP, qui ressemble plus à du charabia qu'à un message visant à améliorer la page. --Éric Messel-2 (discuter) 5 avril 2019 à 15:23 (CEST)Répondre
  1. Relire WP:FOI.
  2. Le titre de section s'appelle "ellipse" ; or, il y a une section "ellipse" dans l'article. L'IP suggère qu'il y aurait eu recours à la technique de l'ellipse avant ce qui est mentionné dans cette section - ce qui n'est pas encore établi, d'où ma question. — Daehan [p|d|d] 6 avril 2019 à 13:54 (CEST)Répondre

Consultations de la page (douze derniers mois) modifier

Proposition d'anecdote pour la page d'accueil modifier

Une anecdote fondée sur cet article a été proposée ici (une fois acceptée ou refusée, elle est archivée là). N'hésitez pas à apporter votre avis sur sa pertinence ou sa formulation et à ajouter des sources dans l'article.
Les anecdotes sont destinées à la section « Le Saviez-vous ? » de la page d'accueil de Wikipédia. Elles doivent d'abord être proposées sur la page dédiée.
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