Armorial des dix-sept provinces des Pays-Bas

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Les Pays-Bas des Habsbourg ou les Dix-Sept Provinces sont constitués des Pays-Bas belgiques restés sous la souveraineté de la dynastie des Habsbourg du XVe au XVIIIe siècle. Ces territoires avaient été réunis en 1443 au sein des Pays-Bas bourguignons. Ils couvriraient approximativement aujourd'hui le Benelux, à l'exception de la Principauté de Liège, et le Nord-Pas-de-Calais.

Les Pays-Bas bourguignons sont les provinces des Pays-Bas acquises par les ducs de Bourgogne (dynastie des Valois) entre le XIVe siècle et XVIe siècle. On les désignait alors comme les « États de par-deçà » englobant la Flandre, le Hainaut et l'Artois, la Hollande, la Zélande et les autres territoires néerlandais, ou encore les « Pays-Bas » pour les distinguer des « États de par-delà », les possessions plus méridionales de Bourgogne et Franche-Comté.

En 1482, Maximilien de Habsbourg en prit le contrôle en se mariant avec Marie de Bourgogne, dernière héritière de la maison de Valois. Leur dynastie s'y maintint jusqu'en 1795.

Louis XI avait également des visées sur cet État, parmi les plus riches de l'Europe du XVe siècle. La succession de Marie fut ainsi à l'origine de nombreux conflits entre les rois de France et les Habsbourg.

Les Pays-Bas des Habsbourg deviennent les Pays-Bas espagnols avec la Pragmatique Sanction de 1549 et l'abdication de l'empereur et roi Charles Quint le .

La maison de Valois et celle des Habsbourg firent valoir leurs droits respectifs jusqu'à la signature du traité de Nimègue, en 1678, qui fixa la frontière avec la France.

La noblesse des provinces comprenait les familles francophones du Sud et les familles néerlandophones du Nord. Cependant, la langue commune de toute la noblesse était le français.

Princes communs[modifier | modifier le code]

Figure Nom de la maison et blasonnement

Maison de Valois-Bourgogne (1369 - 1482)

Les ducs de Bourgogne vont unifier ces pays qui formaient des principautés séparées et parfois hostiles faisant partie pour la Flandre du royaume de France et pour le Brabant, le comté de Namur, de Hainaut le duché de Luxembourg et autres territoires du Saint-Empire.

Le premier d'entre eux, Philippe le Hardi, reçut le duché de Bourgogne en fief. Bien qu'il soit le cadet, on ne peut, dans le cas présent, parler d'apanage (terre donnée au cadet de la famille). En effet, à l'époque, l'apanage royal doit retourner au domaine royal si celui qui le détient n'a pas d'héritier mâle. Or, Jean II le Bon transmet cette terre à son fils sans aucune clause de ce type. Le duché pourra être transmis à des héritières féminines ou à des branches collatérales. Le duché ne retournera donc au domaine royal que s'il y a extinction totale de la lignée ducale. De plus, les ducs devront foi et hommage au souverain, ce qui tend à démontrer qu'il s'agit bien d'un fief. Le duc de Bourgogne, par cet acte, devient le vassal du roi de France.

En 1369, Philippe le Hardi épousa la fille du comte de Flandre.

Toute la politique des ducs de Bourgogne consista ensuite à essayer de s'emparer des régions situées entre la Bourgogne et la Flandre et d'en faire un État entre la France et le Saint-Empire. Ils procédèrent par mariage, héritage ou achat (Jean sans Peur et Philippe le Bon) ou conquête (Charles le Téméraire).

Les acquisitions des ducs s'étendaient depuis la Picardie et le comté d'Artois, au sud, jusqu'à Groningue, au nord. Le duché du Luxembourg vint s'ajouter en 1443 à leur territoire, à l'est mais séparé des autres provinces par la principauté de Liège, ce qui amena les ducs à établir sur cet évêché un protectorat rigoureux, dans un souci d'unification de leurs États.

Armes dynastiques :

D'azur semé de fleurs de lys d'or à la bordure componée d'argent et de gueules.


Maison de Bourgogne :

.
Maison de Habsbourg (1482 - 1700) (1714 - 1797)

Après le mariage de Maximilien Ier avec Marie de Bourgogne, princesse de Valois et héritière des possessions Bourguignonnes (notamment les Pays-Bas) et le mariage de son fils Philippe « le Beau » avec Jeanne « la Folle », héritière des Espagnes et de leurs nombreuses dépendances, le fils de ces derniers, Charles Quint (ou Charles V), hérita d'un empire sur lequel « le soleil ne se couchait jamais ».

Après l'abdication de l'empereur Charles V - aussi roi Charles Ier des Espagnes et des Indes (1516-1556), la famille se sépara en deux branches, l'autrichienne et l'espagnole.

Armes dynastiques :

De gueules à la fasce d'argent.


Maison d'Autriche :

.

Provinces[modifier | modifier le code]

Écu Nom et blasonnement
Marquisat d'Anvers

De gueules, à porte fortifiée de trois tours, reliées entre elles par une courtine d'argent, accompagnée en chef de deux mains addossées de même (Ville d'Anvers), au chef de l'Empire


Comté d'Artois

D'azur semé de fleurs de lys d'or au lambel de gueules, chaque pendant chargé de trois châteaux d'or.

Duché de Brabant

La famille des Régnier est une famille franque de la noblesse lotharingienne remontant au IXe siècle et à l'origine de plusieurs maisons : maison de Hainaut, maison de Brabant, maison de Montfort-l'Amaury, maison de Hesse et Maison de Mountbatten (seule branche subsistante aujourd'hui). La maison Valois-Bourgogne hérité le duché en 1406.

Armes des ducs de Brabant :

de sable au lion d'or, armé et lampassé de gueules.[1],[2]

Armes des ducs de Brabant et Limbourg :

écartelé en 1 et 4 de sable au lion d'or, armé et lampassé de gueules (Brabant), en 2 et 3 d'argent au lion de gueules armé et lampassé d'or (Limbourg) [1],[2]

Armes des ducs de Brabant et Limbourg de la maison Valois-Bourgogne:

écartelé en 1 et 4 d'azur semé de fleurs de lys d'or (France ancien) à la bordure componée d'argent et de gueules , en 2 de sable au lion d'or, armé et lampassé de gueules (Brabant), en 3 d'argent au lion de gueules armé et lampassé d'or (Limbourg) [1],[2]

Comté de Flandre, l'un des Six pairs laïcs originaux de la France: Maison de Flandre, Maison de Normandie. Maison de Lotharingie, Maison de Dampierre. La maison Valois-Bourgogne hérité le comté en 1384.


Armes anciennes :

Gironné d'or et d'azur de douze pièces, un écusson de gueules, brochant sur le tout. (l'existence historique de ce blason est sujette à controverses, toutefois depuis au moins le XVe siècle, ce blason est présenté comme l'ancien blason flamand).[3],[4],[5]

Armes :

d’or, au lion de sable, armé et lampassé de gueules.[1],[2],[6]

Le lion flamand dérive des armories des Comtes de Flandre. Leur première apparition est sur un sceau du comte Philippe d'Alsace, comte de Flandre de 1168 à 1191, datant de 1163. En tant que tels, ils constituent le plus ancien des nombreuses armes territoriales portant un lion dans les Pays-Bas. On dit que Philippe d'Alsace aurait amené le drapeau du lion de la terre sainte, où en 1177 il l'aurait vaincu d'un chevalier sarrasin, mais c'est un mythe. Cependant, le comte Philippe n'était pas le premier de sa ligne à porter un lion, car son cousin, Guillaume d'Ypres, avait déjà utilisé un sceau avec un lion passant en 1158. Le simple fait que le lion apparaisse sur son sceau personnel depuis 1163, quand Il n'avait pas encore fait une seule étape dans le Levant, le réfute[7],[8],[9].


Fiefs :

Maison de Flandre :

Duché de Gueldre


Armes anciennes avant 1236 :

d'or aux trois quintefeuilles de gueules.

Armes anciennes 1236 à 1276 :

d'azur semé de billettes d'or au lion du même brochant sur le tout.


Armes anciennes de 1276 à 1379 :

d'azur au lion d'or armé, lampassé et couronné de gueules.

Armes après 1379 :

parti, en 1 d'azur au lion contourné couronné d'or, armé, lampassé et couronné de gueules, et en 2 d'or au lion de sable armé et lampassé de gueules(duché de Juliers).

De 1379 à 1423, le duché de Gueldre fut uni au duché de Juliers, et les ducs portèrent un parti des deux armes.


Comté de Hainaut Comtes mérovingiens,Comtes carolingiens, Maison de Flandre, Maison d'Avesnes, Maison de Dampierre, Wittelsbach.

Le comté passe à la maison de Flandre en 1051, mais ce n'est qu'en 1191 que les deux comtés de Flandre et de Hainaut sont unis. Ils sont à nouveau séparés en 1280, à la mort de Marguerite II de Flandre, et le Hainaut passe alors à la maison d'Avesnes, puis en 1345 à la maison de Bavière. En 1428, Jacqueline de Bavière est contrainte de reconnaître Philippe III le Bon, duc de Bourgogne, comme héritier, lequel réunit le Hainaut en 1433 aux Pays-Bas bourguignons.


Armes anciennes :

chevronné d'or et de sable

Armes modernes :

Écartelé aux 1. et 4. d'or au lion de sable armé et lampassé de gueules, aux 2. et 3. d'or au lion de gueules armé et lampassé d'azur[1],[2]

Armes de comtes de la maison de Bavière :

écartelé en 1 et 4 fuselé en bande d'azur et d'argent et en 2 et 3 contre-écartelé en 1 et 4 d'or, au lion de sable, armé et lampassé de gueules et en 2 et 3 d'or, au lion de gueules, armé et lampassé d'azur

Comté de Hollande

Armes :

d'or, au lion de gueules, armé et lampassé d'azur[1],[2]

Armes de comtes de la maison de Bavière :

écartelé en 1 et 4 fuselé en bande d'azur et d'argent et en 2 et 3 contre-écartelé en 1 et 4 d'or, au lion de sable, armé et lampassé de gueules et en 2 et 3 d'or, au lion de gueules, armé et lampassé d'azur

Duché de Luxembourg Le comté apparu à la fin du Xe siècle, quand le comte Sigefroid fit construire le château de Luxembourg. Le comté était un fief masculin, c’est-à-dire qu'en cas d'extinction de la maison comtale, il retournait à l'empereur. Cela arriva une première fois en 1136 et l'empereur confia le comté à Henri IV de Namur, un cousin germain du dernier comte. Henri IV mourut lui aussi sans fils et le comté fut donné à ses gendres Thiébaut Ier de Bar, puis Waléran III de Limbourg, époux successifs de sa fille unique Ermesinde. Ce second mariage permit e.a. l'incorporation du marquisat d'Arlon, terre jusqu'alors tenue par les ducs de Limbourg. Quatre des comtes de la maison de Limbourg-Luxembourg furent élus empereurs et élevèrent en 1355 le Luxembourg (avec ses territoires annexes: Durbuy, La Roche et Arlon) à la dignité ducale, mais, ayant de gros besoins financiers, ils finirent par donner le Luxembourg en gage à des princes cadets de la famille, tout en conservant le titre ducal. L'une d'entre eux, Élisabeth de Goerlitz, elle-même endettée, dut vendre en 1443 le duché de Luxembourg au duc de Bourgogne Philippe III le Bon, qui l'incorpora dans l'ensemble des Pays-Bas bourguignons.


Armes anciennes (de 1240 à 1281 et de 1282 à l'extinction de la dynastie):

burelé d'argent et d'azur de dix pièces, au lion de gueules, armé, lampassé et couronné d'or.


Armes (Henri VI de 1281 à 1288) :

burelé d'argent et d'azur de dix pièces, au lion de gueules, la queue fourchée passée en sautoir, armé, lampassé et couronné d'or.

seigneurie de Malines

Armes anciennes :

D'or à trois pals de gueules.


Armes modernes (après 1480) :

D'or à trois pals de gueules, chargées d'un écu de l'Empire.


comté de Namur (av. 907 à 1421) Comtes carolingiens du comté de Lomme, Maison de Namur, Maison de Flandre, Maison capétienne de Courtenay, Maison de Luxembourg/Maison de Luxembourg et Limbourg, Maison de Dampierre. En 1421, il vend le marquisat de Namur en viager à Philippe le Bon, duc de Bourgogne.

Armes :

D'or au lion de sable, armé et lampassé de gueules et à la bande de gueules.[1],[2]
Principauté d'Utrecht, principauté épiscopale sécularisée en 1528
De gueules à la croix d'argent.[1],[2]


comté de Zélande, uni à la Hollande en 1323
d'or, au lion de gueules, armé et lampassé d'azur, issant d'une terrasse ondée d'azur et d'argent[1],[2]


Sommaire :

A[modifier | modifier le code]

Figure Nom de la maison et blasonnement
Arenberg (Brabant)

Le , Marguerite de La Marck-Arenberg, sœur de Robert III de La Marck-Arenberg, mort sans postérité, épouse Jean de Ligne, baron de Barbençon. De ce mariage est issue la troisième Maison d'Arenberg qui subsiste encore de nos jours. Le baron Jean de Ligne était issu de la maison de Ligne, une des plus anciennes et des plus illustres maisons du comté de Hainaut, dont il était un des pairs ou premiers barons. Cette dynastie européenne déplaça le centre de son pouvoir vers les Pays-Bas méridionaux au courant du XVIe siècle. Sa fidélité aux Habsbourg fut récompensée à cette époque par l’élévation à la dignité princière en 1576 puis ducale en 1644.


Fiefs : La famille détient (ou a porté) les titres de :


Armes :

De gueules à trois fleurs de néflier d'or, percées du champ.[3]
.

Membres célèbres :

Avesnes (Hainaut, Flandres et Hollande)

La maison d'Avesnes peut désigner deux familles nobles du Hainaut, des Flandres et de la Hollande. La deuxième maison de Avesnes épousé le héritière de comtes d'Hainult et aussi plus tard le héritière comtes de Hollande et de Zélande. Ils furent suivis par la Maison de Wittelsbach, ducs de Bavière, qui a été remplacée par la maison de Bourgogne, qui a été remplacée par les Habsbourg.

Fiefs :

Armes originale :

bandé d'or et de gueules de six pièces

Armes :

encartele le lion hollandais et le lion de Flandre

B[modifier | modifier le code]

Figure Nom de la maison et blasonnement

Barbançon (duché de Brabant)

Fiefs :

Membres :

Armes :

D'azur, semé de billettes d'argent, au lion du même, armé et lampassé de gueules, brochant sur le tout. Casque couronné.[12]



Bergh, van (comté de Hollande)

Fiefs :

  • Comté de Bergh

Membres :

Armes :

"D'argent, au lion de gueules armé, lampassé et couronné d'or, dans une bordure de sable chargée de onze besants."

Berlaymont (comté de Namur)

Fiefs :

Membres :

Armes :

Fascé de vair et de gueules de six pièces



Blois (comté de Hollande), comté de Flandre, comté de Hainaut)

Fiefs :

  • Seigneur de Treslong

Membres :



Borssele (nl) (comté de Zélande)

Fiefs :

Armes :

de Sable à la fasce d'argent

Armes portées ensuite par :


Bourgogne-Bevern (duché de Brabant)

Descendants d'Antoine, bâtard de Bourgogne, seigneur de Beveren. Il est l'un des nombreux bâtards du duc Philippe III de Bourgogne

Fiefs :

Armes :

Écartelé en 1 et 4 d'azur semé de fleurs de lys d'or à la bordure componée d'argent et de gueules et en 2 parti de bandé d'or et d'azur de six pièces, à la bordure de gueules et de sable au lion d'or, armé et lampassé de gueules et en 3 parti de bandé d'or et d'azur de six pièces, à la bordure de gueules et d'argent au lion de gueules armé et lampassé d'or. Sur le tout d'or au lion de sable armé et lampassé de gueules. Les armes brisées d'une cotice en barre d'argent. (On trouve aussi les armes brisées d'un filet en barre de gueules.)

Membres :

Brederode (Comté de Hollande)

Elle descend de la première maison des comtes de Hollande

Fiefs :

Armes :

"d'or au lion de gueules, armé et lampassé d'azur, avec une lambel d'azur à trois pendants touchant le bord de l'écu. Cimier : Deux pattes de cheval d'argent, aux sabots de sable, ferrées d'argent."


Membres :




Brimeu (duché de Brabant)

Fiefs :

Membres :

  • Jehan II de Brimeu, seigneur d'Humbercourt et de Querrieu, chevalier de la Toison d'or. Il épousa Marie de Mailly.
  • Guy de Brimeu, seigneur d'Humbercourt et de Querrieu, chevalier de la Toison d'or. Il épousa Anthoine de Rambures en 1462.
  • Adrien de Brimeu, seigneur d'Humbercourt et de Querrieu, comte de Megen. Il épousa Catherine de Croÿ-Chimay. Mort à Marignan en 1515, où il commandait une avant-garde de l'armée française.
  • Eustache de Brimeu, seigneur d'Humbercourt et de Querrieu, par héritage d'Adrien. Il épousa Barbe de Hillery, fille de François, baron de Hillery et de Marguerite d'Autriche, fille naturelle de l'empereur Maximilien.
  • Charles de Brimeu, né en 1524, fils d'Eustache, chevalier de la Toison d'or. Il mourut sans alliance à Zwolle en 1572.
  • Georges de Brimeu, frère de Charles, seigneur d'Humbercourt et de Querrieu, chevalier, comte de Megen. Il épousa Anne de Walhauserin, veuve du comte de Silen.
  • Marie de Brimeu, fille de Georges, comtesse de Megen, dame de Humbercourt, Querrieu et autres lieux. Elle épousa en premières noces Lancelot de Berlincourt, et en secondes noces Charles III de Croÿ

Armes :

D'argent, à trois aiglettes de gueules, membrées et becquées d'azur.

(van)Bronckhorst et Batenburg (duché de Gueldre et comté de Zutphen)

Les seigneurs de Bronckhorst ont occupé une place spéciale à partir de la fin du Moyen Âge, comme l'un des quatre seigneurs et bannerets que le premier membre des États de l'Zutphen trimestre. Leur prestige a augmenté lorsque, vers 1530, Joost van Bronckhorst-Borculo a été élevé, au titre de comte par l'empereur Charles Quint. En raison de ce nouveau titre, il a été bannerij van Bronckhorst, souvent appelé «comté», mais on croit que la position du comte liée uniquement à Bronckhorst, pas dans leur domaine. Leur territoire était allodial un puits qui a été non seulement complice de l'État et de la région. Pendant la guerre de Quatre-Vingts Ans les Bronckhorsts sont aux côtés de Guillaume Ier d'Orange Nassau.

Fiefs :

  • Seigneur de Bronkhorst
  • Seigneur et Baron de Batenburg
  • Seigneur de Holtslag
  • Seigneur de Notenstein et Waaijensteyn
  • Seigneur de Borculo
  • Seigneur d'Anholt
  • Seigneur de Bredevoort

Membres :

  • Dirk I van Bronckhorst-Batenburg (Anholt), (vers 1400 - +27 novembre 1451), seigneur de Batenburg, Gronsveld, Rimburg - 1432 de l'Empereur Sigismund avec Anholt donne.
  • Dirk II van Bronckhorst-Batenburg, seigneur de Batenburg et Steyn (1480 - +1541).
  • Dirk III van Bronckhorst-Batenburg (Anholt), (1504-+1586) seigneur de Batenburg et seigneur d'Anholt de 1549 à 1586.
  • Guillaume de Bronckhorst-Batenburg (1529-1573) (nl) (considéré 1556 +1573), seigneur de Batenburg et Steyn, fils d'Herman van Bronckhorst (vers 1500 - 1556). Brièvement leader de l'armée de Guillaume Ier d'Orange Nassau.
  • Dirk IV van Bronckhorst-Batenburg (Anholt), (1578-+1649) seigneur de Batenburg et seigneur d'Anholt de 1586 à 1649.

Armes :

« De gueules, un lion d'argent armé, lampassé et couronné d'or. "


C[modifier | modifier le code]

Figure Nom de la maison et blasonnement



Chalons (comté de Bourgogne)

La maison de Chalon-Arlay, également dite d'Orange-Chalon, après le mariage de Jean III de Chalon-Arlay avec Marie des Baux, est issue d'une branche cadette des comtes de Bourgogne & la Maison d'Ivrée. C'était une des principales maisons nobles du comté de Bourgogne. Elle était souveraine pour certaines de ses possessions en particulier la principauté d'Orange. Elle s'est éteinte en 1530 en la personne de Philibert de Chalon, mort sans enfant légitime. Ses titres et noms ont néanmoins été relevés par son neveu René de Nassau-Breda, dit de Chalon. Celui-ci étant également mort sans postérité, ses biens sont entrés en possession de son cousin, Guillaume de Nassau-Dillenbourg (sans obligation de relever le nom Chalon), fondateur de la maison d'Orange-Nassau, régnant actuellement aux Pays-Bas.

Souverains :

Fiefs :

Membres :

(Seigneurs de Chalon-Arlay)

(Seigneurs de Chalon-Arlay et prince d'Orange)


Armes :

écartelé 1 et 4 de gueules à la bande d'or (Chalon) et 2 et 3 d'Orange, sur le tout de Genève[13]




Croÿ (Picardie& Hainault)

On trouve les premières traces de la Maison de Croÿ au XIIe siècle, en Picardie. Elle a pris son nom du village de Crouy-Saint-Pierre (Somme), ce qui explique que le nom Croÿ se prononce toujours en français "crouï" (et non crouille). Ce sont alors de petits seigneurs locaux sans fortune ni influence. Les Croÿ doivent entièrement leur fortune à leur position de conseillers et serviteurs des princes : avant le XVe siècle et l'ascension fulgurante d'Antoine le Grand, ce n'est qu'une maison obscure.

Fiefs :

Cette famille, établie en Picardie, est dite de Croÿ-Solre. Elle s'est subdivisée en plusieurs branches. Ce sont surtout les terres de Chimay, élevées en comté puis en principauté dans la deuxième moitié du XVe siècle, de Beaumont (Hainaut) et d'Aarschot, cette dernière élevée en duché par Charles Quint en 1532, qui concentrèrent la fortune des Croÿ et distinguèrent les deux principales branches issues d'Antoine. Ces dernières furent réunies en 1525 par la mort de la dernière princesse de Chimay, qui avait épousé son cousin éloigné le duc d'Aarschot, accroissant notablement la fortune de la famille. Le titre de prince de Chimay devint celui des aînés du vivant de leur père.:
  1. les sires de Croÿ et de Renty, ducs d'Arschot, éteints en 1612 ;
  2. les marquis de Havré, éteints en 1700 ;
  3. les comtes du Rœulx , éteints en 1585 ;
  4. les princes de Croÿ et du St-Empire, éteints en 1702 en la personne de Charles Eugène de Croÿ, généralissime des armées russes, mort en Livonie prisonnier de Charles XII de Suède ;
  5. les princes de Chimay, éteints en 1521 ;
  6. les princes de Solre-le-Château et de Mœurs, devenus branche ainée en 1767, par l'extinction des précédents ;
  7. les ducs d'Havré de Croÿ, connus surtout dans ces derniers temps et qui se sont éteints au XIXe siècle.

Membres :

(Bourgogne)

(Croÿ-Aerschot)

(Croÿ-Havré) [Première ligne]


Armes :

D'argent, à trois fasces de gueules.[3]

D[modifier | modifier le code]

E[modifier | modifier le code]

Figure Nom de la maison et blasonnement
Maison d'Egmond (Hollande)

Egmond ou Egmont, ancienne et illustre famille des Pays-Bas, dont les chefs étaient avoués de l'abbaye d'Egmond (aujourd'hui en Hollande-Septentrionale) et les avoués de Comtes de Hollande. Elle remonte à Berwold d'Egmont. Les seigneurs d'Egmont, ayant acquis le comté de Buren en 1472, se divisèrent en deux lignes qui s'éteignirent, l'une vers 1650 et l'autre en 1707. Arnoul, Adolphe et Charles d'Egmond, de la branche aînée, régnèrent sur le duché de Gueldre (avec diverses interruptions) de 1423 à 1538. Les seigneuries d'Egmond et de Buren avaient été érigées en comtés, la première en 1486, la deuxième en 1492. Le comte de Buren a été hérité par la Maison d'Orange-Nassau, voir ci-dessous.

Souverain :

Fiefs :


Armes de Maison :

Chevronné d'or et de gueules, de douze pièces. Casque couronné[3].

Armes de Personnages :

Écartelé : aux 1 et 4 parti d'Egmond et d'Arkel ; au 2 et 3, parti de Gueldre et de Juliers. Sur le tout, écartelé de Luxembourg et des Baux.[16].




Maison d'Enghien (Hainault)

Il descendra le fils de Jake bâtard d'Havré.


Fiefs :

  • Seigneur de la Motte

Membres :

Armes :

G[modifier | modifier le code]

Figure Nom de la maison et blasonnement
Maison de Glymes (Duché de Brabant)

Ils descendent de Jean van Cordekin bâtard du duc Jean II de Brabant (Maison de Brabant).

Fiefs :

  • Seigneurie de Glymes
  • Seigneurie puis marquisat (1533) de Berghen-op-Zoom
  • Seigneurie puis comté (1532) de Walhain
  • Seigneurie de Zevenberghen
  • Seigneurie puis baronnie de Grimberghen

Membres : (Les Glymes)

  • Jan Cordekin (1298-1340), bâtard de Brabant, seigneur de Glymes.
  • Jacques de Glymes (1320-1341), seigneur de Glymes.
  • Jean II de Glymes (1340-1379), seigneur de Glymes.
  • Jean III de Glymes (1360-1428), seigneur de Glymes et de Tourinnes.
  • Jean IV de Glymes (1390-1427), sénéchal de Brabant ∞ Jeanne de Bautershem, dite de Berghes, dame héritière de Berghen-op-Zoom, Grimberghen, Bracht⇒ seigneurs de Berghes et de Grimberghen
  • Baudouin de Glymes (1390?-1433), seigneur de Bierbais, |Chaumont, Beaurieu etc. ∞ Jeanne de Hamal ⇒ seigneurs de Tourinnes jusqu'en 1719.
  • Agnès de Glymes ∞ Frédéric de Brandebourg.

La numérotation reprend à zéro avec Jean Ier de Berghes (Jean IV de Glymes), qui prend le nom de Berghes après son mariage avec Jeanne de Bautershem, dame héritière de Berghen, Grimberghen, Bracht, Melin etc.

Les seigneurs de Berghes :


Armes :

Coupé: au 1, parti: a. de sable au lion d'or, armé et lampassé de gueules (Brabant) ; b. d'or à trois pals de gueules (Berthout de Malines) ; au 2, de sinople, à trois macles d'argent (Bautersem).

H[modifier | modifier le code]

Figure Nom de la maison et blasonnement


Maison de Hénin-Liétard

Armes :

De gueules, à la bande d'or.[17]

Fiefs de ; Branche cadette des Pays-Bas :

Membres :

Armes :

De gueules, à la bande d'or.[18],[19]

Couronne de prince du Saint-Empire ;
Supports
deux griffons colletés d'un collier auquel est suspendue une croix de Lorraine.
.
Maison de Haynin

Étienne de Denain, chevalier, vivant en l’an 1205, fut l'époux de Rose de Hainaut, dite de Mons, dame de Hainin. * Jean de Haynin (au service des ducs de Bourgogne vers 1450) [20] connu pour être le plus ancien utilisateur du terme « Wallon »

Armes :

D'or à la croix engrelée de gueules.
Horn (Liège)

La seigneurie puis comté Horn (ou Hornes, Horne, Hoorne) était un fief d'Empire, vassal du comté de Looz, et située à la marge septentrionale de celui-ci. Faute d'héritiers, il fut annexé aux domaines du prince-évêque de Liège en 1568. Son territoire se situe dans l'actuelle province de Limbourg. Pendant le deuxième tiers du XVIe siècle, la famille s'éteint peu à peu, les différentes branches ne parvenant pas à assurer leur descendance agnatique. En 1531, Jacques II seigneur du comté horn meurt sans héritier, un an après son père et laisse le comté à son frère Jean. Malgré un prestigieux mariage avec Anne d'Egmond, la sœur du comte de Bueren et la veuve de Josse de Montmorency, il n'a pas d'enfant. Il lègue donc ses biens à Philippe, fils du premier lit de sa femme, faisant entrer le comté dans la maison de Montmorency.



J[modifier | modifier le code]

L[modifier | modifier le code]

Figure Nom de la maison et blasonnement
Lalaing (Hainaut)

La Maison de Lalaing est une importante famille de la noblesse belge (Hainaut) à laquelle appartiennent les Seigneurs de Lallaing. Elle a donné de nombreux gouverneurs et généraux au service des souverains du Hainaut, ducs de Bourgogne puis rois d'Espagne, sept grands baillis de Hainaut et douze chevaliers de l'ordre de la Toison d'or.

Fiefs :

Armes :

gueules à dix losanges d'argent..

Membres célèbres : (Branche de Bugnicourt)

(Branche de Montigny)

  • Simon VIII de Lalaing, (1405-1477) OTO (1431) seigneur de Montigny, Amiral de Flandre, chambellan de Philippe le Bon
  • Josse de Lalaing, (1437-1483), OTO (1478) seigneur de Montigny et d'Escornaix, rachète la baronnie de Lalaing, Amiral et Grand-Bailli de Flandre, gouverneur de l'archiduc Philippe, Stathouder de Hollande, Zélande et Frise
  • Charles Ier de Lalaing, (1466-1525), OTO (1505), premier comte de Lalaing conseiller et chambellan du duc de Bourgogne
  • Antoine Ier de Lalaing, (1480-1540), OTO (1515), premier comte de Hoogstraten, conseiller et chambellan du duc de Bourgogne, capitaine général et chef des finances de l'empereur Charles-Quint, stathouder de Hollande, Zélande et Utrecht

(Seconde branche de Lalaing)

(Branche de Hoogstraten)

(Branche de la Mouillerie)


Lannoy (Comté de Flandre)

La Maison de Lannoy est une illustre famille de la noblesse belge, qui donna son nom à la ville de Lannoy, dans la Flandre actuellement française, entre Lille et Roubaix, dont ils furent seigneurs. Cette famille d'ancienne chevalerie du Comté de Flandre, dont la filiation prouvée remonte au XIIIe siècle, donna de grands guerriers, des hommes d'État et des chevaliers de la Toison d'or. Après la bataille de Pavie en 1525, le Roi de France, Francois Ier, ne voulut remettre son épée qu'au seul Charles de Lannoy, vice-roi de Naples. Jean II de Lannoy fut tué à la bataille d'Azincourt (1415) tandis que Baudouin Ier de Lannoy fut ambassadeur en Angleterre. En 1551, Anne d'Egmont, fille de Françoise de Lannoy, épouse Guillaume d'Orange, dit Guillaume le Taciturne, et c'est ainsi que Lannoy devint la possession de la Maison de Nassau.

Armes :

D'argent à trois lions de sinople, armés et lampassés de gueules, couronnés d'or.
Supports : deux licornes d'argent accornées et crinées d'or.
Cimier : une tête et col de licorne d'argent le crin et la barbe d'or.
Devise : Vostre playsir Lannoy.
Manteau de gueules, doublé d'hermine, sommé de la couronne de prince du Saint-Empire ;

Membres célèbres :


Ligne (comte de Hainaut)

Une ancienne et illustre famille de la noblesse belge. Elle remonte au XIe siècle[21] et doit son nom au village de Ligne, en Belgique, situé entre Ath et Tournai. Les seigneurs de Ligne font partie de l'entourage du comte de Hainaut lors des croisades. Ils connaissent ensuite l'ascension progressive dans la hiérarchie nobiliaire : barons au XIIe siècle, comtes de Fauquembergues et princes d'Épinoy au XVIe siècle. En 1547, Jean de Ligne (vers 1525-1568), baron de Barbençon, épouse Marguerite de La Mark, comtesse puis princesse (1576) d'Arenberg, et fonde ainsi la 3e maison d'Arenberg[22].

Fiefs :

Armes :

D'or à la bande de gueules.[3]

Membres :



Luxembourg et Limbourg

Une branche cadette de la même maison des comtes et ducs de Luxembourg, Empereurs romain germanique, et rois de Bohême et rois de Hongrie et Margrave de Brandebourg

Fiefs :

Armes :

D'argent au lion de gueules, la queue fourchée et passée en sautoir, armé, lampassé et couronné d'or.[3]
et
Écartelé : aux 1 et 4, de Luxembourg ; aux 2 et 3, de gueules, à une étoile de seize rais d'argent (des Baux).[16]

M[modifier | modifier le code]

Marck, van den/de la (Liège)

La maison de La Marck est une branche de la maison de Berg. Son origine remonte à Évrard Ier d'Altena (mort en 1180), fils aîné d'Adolphe II de Berg (mort en 1160), qui reçut de son père en apanage le comté d'Altena. Ses descendants agrandirent ce comté vers le nord et son petit-fils Adolphe Ier (mort en 1249) prit le titre de comte de La Marck. En 1368, Adolphe III de La Marck (mort en 1394) acquiert le comté de Clèves. Après cette acquisition, la famille est parfois appelée seconde maison de Clèves. Jean III de Clèves (1490-1539) acquiert les duchés de Juliers et de Berg en 1511.

Cette branche cadette de la famille est issue d'Évrard Ier de La Marck-Aremberg (mort en 1387), fils d'Engelbert II (mort en 1328) et frère d'Adolphe II (mort en 1347) qui hérita de sa mère la seigneurie d'Aremberg. Après la mort de Robert III de La Marck-Aremberg (1541), le nom d'Aremberg fut relevé, à la suite du mariage de sa sœur Marguerite avec Jean de Ligne, par la maison de Ligne. Cette branche acquerra le duché de Bouillon et la seigneurie de Sedan et donnera deux maréchaux à la France : Robert III de La Marck (mort en 1536) et Robert IV de La Marck (1512-1556). À la mort de Charlotte de La Marck (1574-1594), la principauté de Sedan et le titre de duc de Bouillon passera à la maison de La Tour d'Auvergne. Cette branche s'éteindra en 1820, avec la mort de Louise-Marguerite de La Marck (1730-1820).

Fiefs :

Membres :

Armes:

d'or à la fasce échiqueté d'argent et de gueules de trois tires, ( pour le branche cadet: avec au lion issant )
.
Marnix (Franche-Comté)

Une famille noble de Savoie et de Franche-Comté.

Fiefs :

Membres :

Armes :

D'azur à la bande d'argent, accostée de deux étoiles d'or. Cimier, une licorne issante d'argent, la corne & le crin d'or. [24]


Maison de Melun (Flandre & Hainaut)


Une branche cadette de l'ancienne maison d'Île-de-France.
Hugues de Melun, Ier du nom, fils du vicomte Jean Ier, et d'Isabelle (vers 1300), dame d'Antoing, d'Épinoy, de Zottegem, châtelaine de Gand, sa seconde femme, fut apanagé des biens de sa mère, et forma la branche des comtes et princes d'Épinoy, châtelains de Gand, marquis de Roubaix et de Richebourg, comtes de Saint-Pol, etc., connétables héréditaires de Flandre, et sénéchaux héréditaires de Hainaut. Cette branche a donné quatre chevaliers de l'l'ordre de la Toison d'or, et un chevalier de l'


Fiefs:

Fonctions héréditaires :

Membres :

  1. Jean IV de Melun († ), fils aîné de Hugues Ier, seigneur d'Antoing et d'Épinoy, vicomte de Gand, seigneur de Rosny, de Beaussart et de Sottegem, conseiller et chambellan du duc de Bourgogne, gouverneur de Douai, chevalier de la Toison d'or (1432) : son petit-fils, François de Melun (vers 1462 † après 1521), fut évêque d'Arras (1509-1512), puis de Thérouanne (1513-1521) ;
  2. François de Melun († 1547), comte d'Épinoy, baron d'Antoing et de Boubers, chambellan de Charles Quint, chevalier du même ordre en 1516 ;
  3. Robert de Melun, 1er marquis de Roubaix (), seigneur de Richebourg et de Caumont, général de la cavalerie de Philippe II, roi d'Espagne, et gouverneur de l'Artois, tué au siège d'Anvers en 1585 ;
  4. Guillaume III de Melun ( - Saint-Quentin), prince d'Épinoy et du Saint Empire, marquis de Richebourg et de Roubaix, vicomte de Gand et de Beaussart, connétable et sénéchal de Flandres, grand bailli du Hainaut ;
  5. Alexandre Guillaume de Melun († - Château d'Antoing), prince d'Épinoy (fils de Guillaume), créé chevalier du Saint-Esprit le , décédé en 1679, père de :
  6. Louis Ier de Melun, prince d'Épinoy, maréchal des camps et armées du roi, dont le fils,
  7. Louis II de Melun, prince d'Épinoy, créé, en 1714, duc de Joyeuse, pair de France, mourut sans enfants, à Chantilly, le , d'une blessure qu'un cerf lui avait faite à la chasse. Les circonstances de sa mort sont rapportées dans la lettre suivante de Voltaire à Mme la présidente de Bernières (Mme la marquise Maignart de Bernières épouse du président de la Chambre des comptes de Paris en 1718) :


Armes : D'azur aux neuf besants d'or et au chef du même.[3],[25],[26]

.



Merode ancien


Merode moderne

Maison de Merode (Brabant) et (Liège)

La famille doit son nom à la localité allemande de Merode, un village de la commune de Langerwehe, située en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, non loin des frontières néerlandaise et belge, qui possède un château. Dès le XIVe siècle, une branche de la famille Merode a acquis le pouvoir et les possessions dans le Duché de Brabant et le Prince-évêché de Liège, sur le territoire de la Belgique actuelle.


Fiefs:


Membres :


Armes :

Merode ancien : D'or, à quatre pals de gueules.
Merode moderne : D'or à quatre pals de gueule, à la bordure engrelée d'azur.




Maison de Montmorency (Flandre)

La branche ainée de la Maison de Montmorency, déshéritée en France. De la branche installée en Flandre par Jean de Montmorency-Nevele est issu le comte de Hornes, initiateur de l'indépendance des Pays-Bas, décapité en 1568 à Bruxelles avec le Lamoral (comte d'Egmont).

Fiefs :


Armes :

D'or à la croix de gueules cantonnée de seize alérions d'azur ordonnés 2 et 2, sur le tout écartelé aux I et IV d'or au 3 cors de gueules virolés et enguichés d'argent (Hornes), les II et III contre-écartelé : aux I et IV du contre-écartelé d'or à la fasce de sable (Moers) et aux II et III du contre-écartelé de sable à l'aigle bicéphale éployée d'argent (Saarwerden).[27]

Armes:

Écartelé de Montmorency et d'Egmont.[27]

N[modifier | modifier le code]

Figure Nom de la maison et blasonnement
Nassau (Brabant)

Un des premiers maisons nobles des Pays-Bas et l'une des maisons princières de l'Allemagne. Le centre des possessions Nassau aux Pays-Bas étaient autour de Bréda. La première de cette ligne de s'établir aux Pays-Bas était Jean Ier de Nassau-Dillenbourg qui a épousé Marguerite de La Marck (†1409), (fille de Adolphe comte de La Marck), (Maison de Clèves). Le véritable fondateur de la fortune de l'Nassau aux Pays-Bas était son fils, Englebert Ier de Nassau-Dillenbourg. Il est devenu conseiller à la bourguignonne ducs de Brabant, d'abord à Anton de Bourgogne, et plus tard de son fils Jan IV de Brabant. Il servirait plus tard Philippe le Bon. Il a épousé en 1403 le Néerlandais noble Johanna van Polanen et ainsi hérité des terres aux Pays-Bas, avec la baronnie de Breda comme le noyau des possessions néerlandaises et la fortune de la.


Guillaume Ier d'Orange-Nassau dit également Guillaume le Taciturne (Willem de Zwijger) est à l'origine membre de l'entourage de Charles Quint et fidèle partisan des Habsbourg, Guillaume d'Orange est surtout connu pour avoir été l'initiateur et le chef de la révolte des Pays-Bas espagnols contre le roi d'Espagne Philippe II, fils de Charles Quint. Cette révolte entraîna une volonté d'émancipation des États-Généraux (gouvernement) qui conduisit à l'indépendance des Pays-Bas du nord, Provinces-Unies, alors que les Pays-Bas du Sud, la Belgica Regia, retombaient sous la domination espagnole après la guerre de Quatre-Vingts Ans. Les avis sur le Prince sont partagés, mais, considéré par l'historien Jan Romein comme le « fondateur de la civilisation néerlandaise », honoré du titre de « vader des vaderlands » (« père de la patrie »), et inscrit au canon historique des Pays-Bas, il est l'un des personnages clefs de la création de la nation néerlandaise, bien qu'il ait en fait espéré libérer la totalité des Pays-Bas, Belgique comprise, du joug de l'Espagne. À l'époque, on appelle parfois ces territoires Belgica Foederata pour le nord et Belgica Regia pour le sud, ou encore la Généralité que l'empereur Germanique et roi d'Espagne Charles Quint, héritier des ducs de Bourgogne, avait constituée en un tout indissociable par la Pragmatique Sanction.

À suivre avec la Maison d'Orange-Nassau, stathouder de Hollande et de Zélande etc., captain-general des armies de Provinces-Unies, et souveraine des Pays-Bas jusqu'à ce jour avec le roi Willem-Alexander des Pays-Bas. Aussi une roi d'Angleterre, Écosse, et Irland, Guillaume III.


Souverains :

Fiefs :


Armes :

Ecartelé : I d'azur, semé de billettes, au lion d'or, armé et lampassé de gueules, brochant sur le tout (Maison de Nassau) ; II, d'or, au léopard lionné de gueules, armé, couronné et lampassé d'azur (Katzenelnbogen) ; III, de gueules à la fasce d'argent (Vianden) ; IV, de gueules à deux lions passant l'un sur l'autre ; sur-le-tout écartelé, aux I et IV de gueules, à la bande d'or (Châlon[Lequel ?]), et aux II et III d'or, au cor de chasse d'azur, virolé et lié de gueules (Orange) ; à l'écusson brochant sur le tout de cinq points d'or équipolés à quatre d'azur (Genève) [28]
et après 1582: le même avec l'addition un écusson de sable à la fasce d'argent brochant en chef ; un écusson de gueules à la fasce bretessée et contre-bretessée d'argent brochant en pointe.[29]

Membres célèbres :


O[modifier | modifier le code]

Figure Nom de la maison et blasonnement

P[modifier | modifier le code]

Figure Nom de la maison et blasonnement

de Pardieu (Comté d'Artois)

La famille de Pardieu est une ancienne famille de la noblesse française originaire d'Avremesnil en pays de Caux, en Normandie.

Fiefs :

  • Seigneur d'Assigny
  • Seigneur de la Motte en Senghen
  • Seigneur de Sandouville et Onveville

Membres :

  • David de Pardieu, seigneur d'Assigny (Seine-Maritime) et de la Pierre, capitaine et gouverneur du comté d'Eu, fils de Jean et de Guillemette Roussel, épouse Marie de Vaudricourt en 1456. De ce mariage, naquirent deux filles : Perrine (ou Peronne)[30] de Pardieu, mariée le 23 juin 1521 avec Jehan de Mailloc (calendrier julien pour ces deux dates) et Marie de Pardieu mariée avec François de Cœurver, chevalier, seigneur du Manoir Denier, dont Catherine de Cœurver mariée avec Étienne de Mercastel †1549/1551. La famille de Mercastel est alliée à la famille de Pardieu par alliance à la cinquième génération descendante de David de Pardieu.
  • Gillette de Pardieu épouse Jean de Sandouville, écuyer et seigneur de Sandouville et Onveville (voir familles de Houdetot et Boubers).
  • Jean I de Pardieu, seigneur de la Motte en Senghen, épouse Adrienne du Chastelet. Il achète la terre de Colomby à l'écuyer Jean du Chastelet[31].
  • Valentin de Pardieu, seigneur de la Motte, comte de Everbeck (après 1588), (né en 1520 ou 1521, à Saint-Omer), fils de Jean II de Pardieu et de Anne du Prez (ou Pret ou Duprey [32]). Il a épousé Françoise de Noyelles. En 1578, il participe à la bataille de Gembloux. Lieutenant général d'artillerie, il a permis à Philippe II d'Espagne de reprendre en main la partie sud du pays, entérinant la séparation entre ce qu'on appelle aujourd'hui la Belgique et les Pays-Bas.


Armes :

d'or au chevron d'azur accompagné de 3 molettes de gueules - cimier : une tête et col de cygne d'argent becqueté d'or.



Perrenot de Granvelle (Franche-Comté/comté de Bourgogne)

La famille Perrenot est issue du milieu rural du XVe siècle de la vallée de la Loue en Franche-Comté. Elle achète son affranchissement et s’installe à Ornans en tant qu’artisans.

Nicolas Perrenot de Granvelle est le fils de Pierre Perrenot, notaire d'Ornans, et d'Etiennette Philibert, issue de la noblesse locale. Son père l'envoie à l’université de Dole (alors capitale du comté de Bourgogne) pour suivre des études d'avocat.

Nicolas Perrenot de Granvelle (1486-1550) fut au XVIe siècle garde des Sceaux, premier conseiller et homme de confiance franc-comtois de l'empereur Charles Quint, suzerain de la ville impériale de Besançon et comte de Bourgogne.

Il est le père du cardinal et homme politique Antoine Perrenot de Granvelle et le bâtisseur du Palais Granvelle à Besançon.


Fiefs :

  • Comte de La Baume Saint Amour
  • Seigneur de Champagney
  • Seigneur de Châteaufort et de Corcelles

Membres :

Armes :

D'argent aux trois bandes de sable, au chef d'Empire
de Praet (Comté de Flandre)


Fiefs :

  • Seigneur de Praet

Membres :

Armes :

d'or, au lion de sable, armé et lampassé de gueules, chargé d'une billette d'argent sur l'épaule.

R[modifier | modifier le code]

Figure Nom de la maison et blasonnement

S[modifier | modifier le code]

Figure Nom de la maison et blasonnement

Schetz (Duché de Brabant)

Fiefs :

  • Baron et comté de Grobbendonk,
  • seigneur de Tilburg en Goirle, Pulle en Pulderbos, en Wezemaal.

Membres :

  • Caspar Schetz, seigneur et Baron de Grobbendonk,
  • Anthonie Schetz, Baron et comté de Grobbendonk, seigneur de Tilburg en Goirle, Pulle en Pulderbos, en Wezemaal. gouverneur de l'Espagne à Bois-le-Duc

T[modifier | modifier le code]

Figure Nom de la maison et blasonnement
Trazegnies (Hainaut)

Beaucoup de grandes maisons féodales d'ancienne chevalerie telles les Ligne, les Arenberg, les Lannoy, les Croÿ, les Lalaing, sont originaires du Hainaut en Belgique.


Fiefs :

  • barony de Trazegnies

Membres :

Armes :

Bandé d'azur et d'or à l'ombre d'un lion brochant sur le tout, à la bordure engrêlée de gueules


V[modifier | modifier le code]

Figure Nom de la maison et blasonnement
Vergy (comté de Bourgogne)

La Maison de Vergy est une des plus anciennes maisons nobles françaises, connue depuis le IXe siècle. Certains historiens la font remonter jusqu'au VIIe)[33]. La origine est Vergy près de Beaune, en Bourgogne. Avec les autres possessions bourguignonnes, Vergy sera intégré au domaine royal en 1477, à la mort de Charles le Téméraire. Le château est aussitôt cédé à Guillaume IV de Vergy-Autrey par Louis XI. En 1609, à la suite de la participation du duc de Mayenne, gouverneur de la Bourgogne, à la Ligue de 1589, Henri IV fait entièrement raser le château[34].



Fiefs :

Armes :

de gueules à trois quintefeuilles d'or[35]

Membres :

W[modifier | modifier le code]

Figure Nom de la maison et blasonnement


Van Wassenaer (Comté de Hollande)

Selon la légende de famille, le nom ne peut être prise à partir du croissant de lune (wassende) sur les armoiries de la famille, emprunté à une bannière arabe qu'un membre de la famille van Wassenaer obtenu lors d'une croisade. Les terres de la Maison des Wassenaer comprennent, entre autres, la ville de Wassenaar et le Kasteel Duivenvoorde près de Voorschoten. Selon certaines archives de la famille, de Wassenaar signifie Wasser Herren, Mer Lords / Kings, qui est un titre immémoriaux traditionnelle que les Romains envahissent (sous Caligula) reconnus alors qu'ils étaient destitution de la famille de leur position aussi immémoriaux des Rois de Batavia (poste repris 400 ans plus tard, pendant quatre siècles, etc) le croissant a été nommé "Wassenaar" après le nom de famille, et semble correspondre à l'époque des croisades sud tandis que d'autres frères ont pris les armes des Croisades du Nord à la mer Baltique (Anker la croix de Hermann adoptée par les Paets / Paats).

La branche initiale de la famille van Wassenaar est également apparue sous le nom Duivenvoorde, d'après le château que la famille possédait pendant une grande partie de la fin du Moyen Âge. Le premier ancêtre est un chevalier Philippe de Wassenaer (nl) (aussi nommé Philippus de Wasnare), qui a vécu au début du XIIIe siècle. Son pouvoir s'étendait alors autour du château Duivenvoorde, de celui de Château de Twickel (nl) près de Delden et les dépendances de Wassenaar.

Fiefs :

Membres :

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g h et i Ottfried Neubecker, Roger Harmingues, Le Grand livre de l'héraldique, Bordas, (réimpr. 1982), 288 p. (ISBN 2-04-012582-5)
  2. a b c d e f g h et i (en) Jiri Louda et Michael Maclagan, Heraldry of the Royal Families of Europe, Clarkson N. Potter, Inc, (ISBN 0517545586)
  3. a b c d e f et g Johannes Baptist Rietstap, Armorial général : contenant la description des armoiries des familles nobles et patriciennes de l'Europe : précédé d'un dictionnaire des termes du blason, G.B. van Goor, , 1171 p. (lire en ligne), et ses Compléments sur www.euraldic.com
  4. (en) Johannes Baptist Rietstap, Armorial général, contenant la description des armoiries des familles nobles et patriciennes de l'Europe : précédé d'un dictionnaire des termes du blason, G.B. van Goor, (lire en ligne), p. 376

    « Gironné d'or et d'azur »

  5. (en) Johannes B. Rietstap, « Armorial de JB Rietstap », sur Euraldic Heralogic et ses Compléments sur www.euraldic.com, Euraldic, (consulté le ) : « Avant l'adoption du lion rampant qui paraît sur le sceau de Philippe d'Alsace en 1170 les anciennes armes des Comtes de Flandre auraient été suivant divers auteurs un gironné (L'origine de cet écu a été diversement interprétée le plus grand nombre voulant que le Comte de Flandre comme avoué de Saint-Bertin ait adopté les armoiries de cette abbaye, interprétation qui demeure sujette à caution car il est constant que les maisons religieuses ont fait usage de l'écu de leur fondateur ou de celui de l'un de leurs bienfaiteurs) (Ce même gironné (d'or et d'azur) apparaît sur l'écu de la collégiale Saint-Pierre de Lille fondée en 1066 et sur celui de Notre-Dame de Bourbourg fondée en 1102, ces deux églises ajoutant sur le tout un écusson de gueules ; mais à cette époque il n'y avait pas encore d'armoiries comtales et l'adoption de cet écu ne dut être que tardive quand s'était déjà accrédité le prétendu gironné des Comtes de Flandre) (En réalité l'écu de Saint-Bertin qui n'apparaît qu'en 1384 n'a jamais été un gironné mais bien une escarboucle et c'est ce meuble que nous trouvons sur le plus ancien monument héraldique flamand la pierre tombale de Guillaume de Normandie surnommé Cliton comte de Flandre (1127-1128) placée dans l'abbaye de Saint-Bertin de Saint-Omer : le comte y tient une épée et un bouclier allongé orné d'une escarboucle de huit pièces. Il est inadmissible que l'on ait confondu ce meuble avec le gironné et ce qui confirme que l'escarboucle est bien le premier emblème des Comtes de Flandre ; c'est l'existence d'un petit denier classé à Saint-Omer par Dewismes (Monnaies du Comté d'Artois p 136 n° 69) où le comte tient un bouclier de profil dont on ne peut distinguer l'emblème. Le graveur pour parer à cette lacune a reporté celui-ci dans le champ de la pièce devant le bouclier c'est une petite escarboucle. »
  6. Coat of arms of Flanders
  7. (en) Ernest Warlop, Oude Vlaenderen en de zwarte leeuw op gouden veld, vol. 28, Miscellanea archivistica, , 5-52 p.
  8. (en) Lieve Viaene et Ernest Warlop, Gemeentewapens in België : Vlaanderen en Brussel, vol. 1, Brussel, , 67-69 p.
  9. >(en) Hubert de Vries, Wapens van de Nederlanden : De historische ontwikkeling van de heraldische symbolen van Nederlanden, België, hun provincies en Luxemburg, Amsterdam, , 64-65 p.
  10. Nobiliaire des Pays-Bas et du comté de Bourgogne.
  11. Voir : Seigneurie de Schleiden (de)
  12. Jean-Baptiste Rietstap, Armorial général, t. 1 et 2, Gouda, G.B. van Goor zonen, 1884-1887
  13. Jules Gauthier et Léon Gauthier, Armorial de Franche-Comté, Paris, .
  14. Johannes Baptist Rietstap, Armorial general, Baltimore, Genealogical Publishing Co., , 2e éd., 1200 p. (ISBN 978-0-8063-4811-7)
  15. Jules Gauthier et Léon Gauthier, Armorial de Franche Comté, Paris, .
  16. a b et c « http://www.heraldique-europeenne.org », Armorial des chevaliers de la Toison d'or (consulté le )
  17. André Borel d'Hauterive, Annuaire de la pairie et de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe et de la diplomatie, vol. 4, Bureau de la Publ., (lire en ligne)
  18. André Borel d'Hauterive, Annuaire de la pairie et de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe et de la diplomatie, vol. 4, Bureau de la Publ., (lire en ligne)
  19. Johannes Baptist Rietstap, Armorial général : contenant la description des armoiries des familles nobles et patriciennes de l'Europe : précédé d'un dictionnaire des termes du blason, G.B. van Goor, , 1171 p. (lire en ligne), et ses Compléments sur www.euraldic.com
  20. « Nouveau : Jean, seigneur De Haynain.... », sur agfh59.free.fr (consulté le ).
  21. Jean-François Houtart, Anciennes Familles de Belgique, (Recueil de l’Office généalogique et héraldique de Belgique, n° LXI).
  22. David Bailie Warden, M. de Saint-Allais (Nicolas Viton) et Maur François Dantine, L'art de vérifier les dates ... : t.1-18. L'art de vérifier les dates des faits historiques, des chartes, des chroniques, et autres anciens monuments, depuis la naissance de Notre-Seigneur, , 412 p. (lire en ligne), p. 359.
  23. « roglo.eu », Jacques III de Luxembourg (consulté le )
  24. (en) Jean-Charles-Joseph De Vegiano (seigneur d'Hovel), Le nouveau vrai supplémént aux deux volumes du Nobiliaire des Pays-Bas et de Bourgogne ou Mélanges de généalogie et de chronologie, avec le blason des armoiries de J.-F. de Ghislain, (lire en ligne), p. 41
  25. Armorial Wijnbergen
  26. Armorial du Héraut Vermandois
  27. a et b Source : www.heraldique-europeenne.org
  28. Johannes Baptist Rietstap, Armorial général, contenant la description des armoiries des familles nobles et patriciennes de l'Europe : précédé d'un dictionnaire des termes du blason, G.B. van Goor, , p. 746
  29. (en) Herbert H. Rowen, The princes of Orange : the stadholders in the Dutch Republic, Baltimore, Cambridge University Press, , 2e éd., 1200 p. (ISBN 978-0-8063-4811-7, LCCN 65021472), p. 29

    « He used these arms until 1582 when he purchased the marquisate of Veere and Vlissingen. It had been the property of Philip II since 1567, but had fallen into arrears to the province. In 1580 the Court of Holland ordered it sold. William bought it as it gave him two more votes in the States of Zeeland. He owned the government of the two towns, and so could appoint their magistrates. He already had one as First Noble for Philip William, who had inherited Maartensdijk. This made William the predominant member of the States of Zeeland. It was a smaller version of the countship of Zeeland (& Holland) promised to William, and was a potent political base for his descendants. William then added the shield of Veere and Buren to his arms. »

  30. Extraits des archives de Malte, page 8, de Jules François Charles Marie Ghislain Huyttens
  31. Recherches généalogiques sur les comtés de Ponthieu, de Boulogne, de Guines… de Louis-Eugène de la Gorgue-Rosny, page 1112.
  32. Histoire du château et des seigneurs d'Esquelbecq en Flandre, page 67, de Alphonse Bergerot
  33. « Vergy », dans :Marie-Nicolas Bouillet et Alexis Chassang (dir.), Dictionnaire universel d'histoire et de géographie, Paris, 1878, 25e édition (Wikisource)
  34. L'association L'Abbaye de Saint-Vivant (consulté le 1er XII 2006)
  35. « briantimms.net », L'Armorial Wijnbergen (consulté le )

Liens internes/ Articles connexes[modifier | modifier le code]