Liste des ports antiques

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Cette liste des ports antiques a pour objectif de recenser les principaux ports de l'Antiquité présentant de notables vestiges, en renvoyant autant que possible aux articles détaillés existant sur Wikipedia. Ils sont classés par pays du pourtour méditerranéen et (si possible) par origine culturelle (égyptien, minoen, phénicien, carthaginois, grec, étrusque, romain). Un inventaire complet est disponible sur le lien externe ci-dessous. Certains de ces ports sont encore en activité ; d'autres sont envasés ou ensablés, parfois loin à l'intérieur des terres ou, au contraire, submergés. Sont intégrés des lieux de mouillage.

Sont intégrés également des sites relevant plutôt de la protohistoire et de l'antiquité tardive.


Pourtour méditerranéen[modifier | modifier le code]

Image panoramique
Table de Peutinger (original du 2e siècle (?), copie de 1256), avec le fac-similé de Konrad Miller de 1887[1].
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Péninsule Ibérique[modifier | modifier le code]

Espagne[modifier | modifier le code]

Littoral atlantique d'Andalousie[modifier | modifier le code]

Îles Baléares[modifier | modifier le code]

France : Languedoc, Roussillon, Provence[modifier | modifier le code]

Aquitaine, Narbonnaise et Lyonnaise aux premiers siècles.

Corse[modifier | modifier le code]

Italie : mer de Ligurie[modifier | modifier le code]

En Sardaigne[modifier | modifier le code]

Ouest[modifier | modifier le code]
Nord[modifier | modifier le code]
  • Olbia (Pausania (Παυσανία), Terranova, Tarranòa)
Est[modifier | modifier le code]
Sud[modifier | modifier le code]
  • Cagliari (Krly, Caralisou, Karales, Karalis), port phénicien, puis port militaire romain
  • Bithia, Solci
  • Nora : port phénicien, près de Pula

En Ligurie[modifier | modifier le code]

En Toscane[modifier | modifier le code]

Italie : mer Tyrrhénienne[modifier | modifier le code]

Au Latium[modifier | modifier le code]

  • Centumcellae (Civitavecchia) : port militaire entièrement détruit pendant la seconde guerre mondiale.
  • Pyrgi : port étrusque, puis romain.
  • Gravisca, port étrusque (Étrurie maritime, Flotte étrusque)
  • Portus de Rome (ensablé) près d'Ostie : il reste le môle nord du port de Claude (aux abords et dans l'aéroport de Fiumicino), ainsi que le bassin hexagonal du port de Trajan, parfaitement conservé, encore en eau. Plusieurs épaves ont été retrouvées en 1959-61 : elles sont conservées dans un musée installé à proximité[7]. C'est aussi le siège de la Classis Misenensis.
  • Antium (Anzio) : quai en béton hydraulique avec coffrages selon la méthode de Vitruve.
  • Torre Astura (submergé) : grands viviers d'aquaculture et port à l'Est de la villa de Cicéron.
  • Terracina
  • Pendateria, Pandataria, (Ventotene) : port romain toujours utilisé pour la plaisance et la pêche.
  • Ponza : quai romain recouvert par le quai moderne.

En Campanie[modifier | modifier le code]

En Calabre[modifier | modifier le code]

Italie : mer Ionienne[modifier | modifier le code]

En Calabre[modifier | modifier le code]

En Basilicate (Lucanie)[modifier | modifier le code]

En Pouilles du Sud (Apulie)[modifier | modifier le code]

En Sicile[modifier | modifier le code]

Principales cités grecques en Sicile et Grande-Grèce

Îles au Sud de la Sicile[modifier | modifier le code]

Italie : mer Adriatique[modifier | modifier le code]

En Pouilles[modifier | modifier le code]

En Molise[modifier | modifier le code]

En Abruzzes[modifier | modifier le code]

En Marches[modifier | modifier le code]

En Émilie-Romagne[modifier | modifier le code]

En Vénétie[modifier | modifier le code]

En Frioul-Vénétie Julienne[modifier | modifier le code]

Mer Adriatique : côte nord-est et îles[modifier | modifier le code]

Dalmatie (et implantations vénitiennes)

Cette région historique littorale des Balkans, le long de la mer Adriatique, est aujourd'hui partagée entre l'Italie (Slovénie frioulane (en)), la Slovénie (une petite partie de l'Istrie), la Croatie qui en possède la plus grande part (Istrie, Dalmatie), l'Herzégovine, le Monténégro et l'Albanie.

En Istrie[modifier | modifier le code]

Istrie

En Liburnie[modifier | modifier le code]

En Dalmatie[modifier | modifier le code]

Îles de la côte croate
Épire

En Bosnie-Herzégovine[modifier | modifier le code]

Au Monténégro[modifier | modifier le code]

Monténégro
  • Antivari (Бар, Tivari, Tivar), Bar (Monténégro)
  • Acruvium, Ascrivium / Ascruvium (Ἀσκρήβιον), Cattaro, Kotor
  • Budva
  • Herceg Novi (Херцег Нови, Castelnuovo)
  • Ulkinon (Ulcinium, Olcinium, Ulqin, Dulcigno, Улцињen), Ulcinj

En Illyrie / Albanie[modifier | modifier le code]

Dardanie

Grèce[modifier | modifier le code]

Cales de navires, port antique d'Œniadæ

En Grèce continentale[modifier | modifier le code]

Dans le Péloponnèse[modifier | modifier le code]

Pélopponèse

En Thessalie[modifier | modifier le code]

En Eubée[modifier | modifier le code]

Eubée

En Macédoine[modifier | modifier le code]

Dans les Îles Ioniennes[modifier | modifier le code]

Principales îles ioniennes

Les sept îles principales (ou Heptanèse, litt. « les Sept Îles ») sont, sur la côte occidentale de la Grèce, du nord au sud :

  • Corfou (Κέρκυρα (Kérkyra)), capitale Corfou ;
  • Paxos (Παξοί), capitale Gáios (Γάιος) ;
  • Leucade (Λευκάδα), anciennement Sainte-Maure (Αγία Μαύρα), capitale : Leucade ;
  • Céphalonie (Κεφαλονιά), capitale : Argostoli (Αργοστόλι) ;
  • Ithaque (Ιθάκη, anciennement Θεάκι (Theáki)), capitale : Vathy (Βαθύ) ;
  • Zante (Ζάκυνθος (Zákynthos)), capitale : Zante ;
  • Cythère (Κύθηρα), anciennement Cerigo (Τσιρίγο), capitale Cythère, rattachée par convention aux îles Ioniennes.

Dans les îles grecques de la mer Égée[modifier | modifier le code]

Mer Égée et Cyclades
Dodécanèse
Golfe Saronique

À Rhodes[modifier | modifier le code]

En Crète[modifier | modifier le code]

Carte des principaux sites minoens

Est-Méditerranée : Levant (Proche-Orient), Asie mineure, Anatolie[modifier | modifier le code]

Routes du Levant dans l'Antiquité
Diocèse d'Orient vers 400
Propontide et ports anciens.
Voies romaines en Anatolie.

Côte européenne du Bosphore et de la Propontide[modifier | modifier le code]

Chersonèse de Thrace[modifier | modifier le code]

Côte asiatique de la Propontide, Lydie et Mysie[modifier | modifier le code]

Troade[modifier | modifier le code]

Éolide[modifier | modifier le code]

Ionie[modifier | modifier le code]

Carie[modifier | modifier le code]

Lycie[modifier | modifier le code]

Pamphylie[modifier | modifier le code]

  • Attaleia, Attalia, Attalea, Antalya

À l'est d'Attalée[modifier | modifier le code]

Cilicie[modifier | modifier le code]

Chypre[modifier | modifier le code]

Syrie-Liban[modifier | modifier le code]

Pays d'Aram
  • Séleucie de Piérie : port militaire gréco-romain d'Antioche sur l'embouchure de l'Oronte[10], Samandağ (Turquie), avec à proximité la cité amorrite d'Alalakh, à 25 km d'Antioche ;
  • Minet el-Beida, port d'Ougarit (Ras Shamra), devenue Leukos Limen (Port blanc), 15 km au nord de Lattaquié ;
  • Ras Ibn Hani, 9 km au nord de Lattaquié ;
  • Laodicée sur Mer (en), "Ramitha", Lattaquié (de la Tétrapole syrienne) ;
  • Antarade (Ἀντάραδος, Antárados, Antaradus, en face d'Arados), Tartous, Tartosa, Tortosa, près de Amrit ;
  • Arouad (Arados, Aradus, Aradis, Arwad), île en face de Tartous (3 km), ἡ Ἄραδος (hē Arados), Ἄραδο (Arado), Arpad, Arphad, Rouad, Riwada, Jazirad, Aynuk, Antioche de Pieria (Αντιόχεια της Πιερίας) ;
  • Machroud au sud d'Arwad ;
  • Sumur, Ṣimirra, Ṣumra, Sumura, Ṣimura, Zemar, Zimyra, 18 km au sud de Tartous ;
  • Tripoli du Liban, Tarabulus, ṭarābulus, Derbly, Athar, Mahallata, Mahlata, Mayza ;
  • Batroun, Beit Truna, Bitron ;
  • Byblos (Jbeil), Gebal, Goubal, Gublu ;
  • Sidon (Saïda, submergé), Syde ;
  • Sarepta, Zarephath ;
  • Tyr, Tyre, (Sour) : La ville insulaire phénicienne disposait de deux ports (submergés), l'un au Nord (sous la zone portuaire moderne) et l'autre au Sud (minoen)[11] ;

Judée - Palestine[modifier | modifier le code]

Palestine byzantine
  • Achziv (en), Akhziv, Az-Zib ;
  • Ptolémaïs, Akko (Acre) ;
  • Haïfa ;
  • Athlit avec sa forteresse des templiers, au Sud de Haïfa ;
  • Dor ;
  • Paralios Kaisareia (παράλιος Καισάρεια), Caesarea Maritima, Sebastos (Césarée) : Le port submergé était protégé par des digues construites à partir de caissons en bois[12] ;
  • Yaffa, Yaffo, Jaffa ;
  • Apollonie, Arshof, Arsuf, près de Herzliya ;
  • Isdūd (Ἄζωτος, Azotus), Ashdod ;
  • Askalon (Ασχαλων, Askalōn) Ashkelon ;
  • Theda, Tida, Anthédon (Ἀνθηδών), près de Gaza ;
  • Gaza, Tell al-Ajjul, Azzati (Philistie);
  • Raphia, Rafah ;

Sud-Méditerranée : Afrique du Nord[modifier | modifier le code]

Villes de l'Afrique romaine
Basse-Égypte, vers -30
Afrique du Nord-Est, provinces de Cyrénaïque et d'Égypte vers 400

Égypte[modifier | modifier le code]

Libye[modifier | modifier le code]

Afrique du Nord romaine
Marmarique et Cyrénaïque
Tripolitaine
Quai Sud du port de Leptis Magna.
En Marmarique[modifier | modifier le code]
  • Petra Megala, Petras Maior, Bardia, Bórdi Slemán, El Burdi ;
  • Antipyrgus ( (Αντίπυργος), Tobrouk ;
  • Taposiris Megale, Taposiris Magna, Abounsir ;
  • Kynos, Cheimo, Chio, Kome, el-Bordan, 30 km à l'est d'El Alamein ;
  • Glaukos, 15 km à l'est d'El Alamein ;
  • Leucaspis, Cynossema, Antipharis, Antiphrai, el-Alamein (Égypte) ;
  • Amunia, Paraitonion (Παραιτόνιον), Paraetonium, Al Baretoun, Mersa, Marsa Matruh (Égypte) ;
  • Sidi Barrani, près de l'ancienne Zygra, Zygis, Zygrae, Zygra ;
  • Catabathmus maior, Plynos Limen, Tétrapyrgi, Sollum/Sallum, Baranis, Sidi Barrani (Égypte) ;
  • Petaos, Derna, Derne(h), Dernah, Ternah...
En Cyrénaïque antique[modifier | modifier le code]
En Tripolitaine[modifier | modifier le code]
  • Thubactis (en), Kephale Tobactus, Thubaqt, Tubartis, Tobartis, Treron Akron, Cephale Promentium, sans doute Misurata, Misrata ;
  • Leptis Magna, ensablé (mais quasi parfaitement conservés, vestiges de phare, digue en enrochements et ouvrages d'accostage sur la côte nord du port)[15] ;
  • Kinups, Cinyps (en), à l'embouchure du Kinyps ou Wadi Caam[16] ;
  • Amaraea, Gaphara ;
  • Paraetonium, Marsa Matruh ;
  • Oea, Macaraia, Tripoli ;
  • Abrotonon, Colonia Sabratha ;
  • Gergis ;
  • Zita ;
  • Munbicipium Pisida, Abu Kammash
  • Locris, Zuwarah
  • Pisindon, Pisida, Abu Kammash ;
  • Leuke Akte, Ras el-Kanayis / Kanaïs ;
  • Îles Delphines et Zephyrium ;
  • Kalamaion, Laodanuntium ;
  • Paraetonium, Ammonia ;
  • Chettaia, Tyndarias, Selenis, Nesis, Apis ;
  • Aenesiphyra, Ennesyphora, Nesus...

Tunisie[modifier | modifier le code]

Tunisie antique
Djerba
Numidie-Est, Atlas Antiquus (1869)

Algérie[modifier | modifier le code]

Gétulie sous Juba II
Espagne et Afrique du Nord-Ouest vers 400

Maroc[modifier | modifier le code]

Ptolémée, Maurétanie tingitane
Transports au Maroc

Littoral atlantique du Maroc[modifier | modifier le code]

Mer Noire[modifier | modifier le code]

Principales colonies grecques du Pont-Euxin
Royaume du Pont (en foncé) et empire à son extension maximale

Côte nord de la mer Noire (Pont-Euxin), Tauride, Méotide[modifier | modifier le code]

Colonies grecques antiques en mer Noire (nord)

Côte Est de la mer Noire (Pont-Euxin), côté Caucase[modifier | modifier le code]

Abraham Ortelius, Carte du Voyage des Argonautes (1624)
Anselmo Banduri et Guillelmo Del'Isle, Empire d'Orient, vers 1715

Voir Histoire de la Géorgie, royaume d'Ibérie, royaume de Lazique, Colchide, Adjarie, Abkhazie

Côte Ouest de la mer Noire (Pont-Euxin), Harpianie, Scythie mineure, Mésie, Thrace[modifier | modifier le code]

Côte Sud de la mer Noire (Pont-Euxin), Asie mineure, Anatolie, Pont[modifier | modifier le code]

Cités grecques du Pont Euxin.

Mer Caspienne[modifier | modifier le code]

Bassin caspien
Sebastian Münster, Géographie (Ptolémée) (1552)

Europe, hors du bassin méditerranéen[modifier | modifier le code]

Portugal[modifier | modifier le code]

Côte ouest de la péninsule ibérique, d'après Ptolémée.

Espagne du nord-ouest : Galice, Asturies, Cantabrie, Pays basque[modifier | modifier le code]

Implantations romaines en Galice
Les Asturies à l'époque romaine

France : façade atlantique et Manche[modifier | modifier le code]

Portulan de 1548
Côte saxonne ou Litus Saxonicum

Golfe de Gascogne[modifier | modifier le code]

Armorique[modifier | modifier le code]

Normandie[modifier | modifier le code]

Picardie[modifier | modifier le code]

Belgique et Hollande[modifier | modifier le code]

Limes Germanicus vers 70
Réseau routier romain en pas Atuatuca

Allemagne[modifier | modifier le code]

Mais aussi, à l'intérieur :

Sur la mer du Nord :

Sur la Baltique, ou plutôt en Beltsee (de) :

Scandinavie, Øresund, Cattégat et mer Baltique[modifier | modifier le code]

Villes vikings de Scandinavie

Grande-Bretagne[modifier | modifier le code]

Ports et voies romaines en Grande-Bretagne vers 150
Le phare romain de Douvres (Kent)
Campagnes d'Agricola en Écosse

Irlande[modifier | modifier le code]

Océan indien[modifier | modifier le code]

Mer Rouge[modifier | modifier le code]

Péninsule arabique et environs, selon Le Périple de la mer Érythrée.
Ports (fluviaux et maritimes) de l'Égypte ancienne.
Mer Rouge, carte de 1860.

Côté africain[modifier | modifier le code]

Côté péninsulaire[modifier | modifier le code]

Afrique de l'Est[modifier | modifier le code]

Reconstitution des routes maritimes d'après le Périple de la mer Érythrée.
Commerce somali.
Culture swahilie.
  • Côte swahilie, Azanie (Ἀζανία, Azania), Côte d'Ajan, Zanguebar, Zandj

Somalie[modifier | modifier le code]

Kenya - Tanzanie - Mozambique[modifier | modifier le code]

Archipel de Zanzibar

Madagascar[modifier | modifier le code]

Les migrations humaines, austronésiennes et africaines, sont assez anciennes. Les relations commerciales anciennes avec l'Afrique et les Comores demeurent mal connues. Il existe suffisamment de baies pour permettre des relations suivies. L'archéologie côtière malgache reste à établir.

Péninsule arabique : côte du sud-est[modifier | modifier le code]

Côte actuelle d'Oman.

D'ouest en est (Yémen, Oman)[23] :

Golfe Persique (delta et péninsule arabique)[modifier | modifier le code]

Golfe Persique 2000.

Golfe Persique (Iran)[modifier | modifier le code]

Route de la soie vers +100.

Sous-continent indien[modifier | modifier le code]

Routes maritimes de l'Océan Indien ancien
Civilisation de l'Indus
Carte simplifiée du Kerala côtier à l'époque de Cabral (1500).
Table de Peutinger : Muziris (et Temple d'Auguste)

côte nord-ouest (d'ouest en est)[modifier | modifier le code]

Autrefois Gédrosie et/ou Magan/Makran :

côte occidentale (mer d'Arabie), du nord au sud[modifier | modifier le code]

Île de Taprobane, Tambapanni, Palaisimoundou, Salike, Serendip, Ceylan, Sri Lanka[modifier | modifier le code]

côte orientale (Golfe du Bengale), du sud au nord[modifier | modifier le code]

British Library Harley MS 7182, d'après Claude Ptolémée : Magnus Sinus (en), Golfe de Thaïlande, mer de Chine méridionale.
Chersonèse d'Or.

Extrême-Orient[modifier | modifier le code]

Principales « routes commerciales » au Ier siècle, et de -500 à +500.

Asie du Sud-Est[modifier | modifier le code]

Réseaux commerciaux dans l'Océan Indien (ancien).

Birmanie[modifier | modifier le code]

  • Temala, dans la partie occidentale du delta de l'Irrawaddy

Péninsule Malaise[modifier | modifier le code]

Péninsule indochinoise[modifier | modifier le code]

Indonésie[modifier | modifier le code]

Asie de l'Est[modifier | modifier le code]

Chine[modifier | modifier le code]

La Chine a un important réseau de fleuves (Liste des cours d'eau de la Chine) et de canaux (dont le Grand Canal débuté vers -500) et de très nombreux ports intérieurs, certains très anciens, dont Chongqing.

Péninsule de Corée[modifier | modifier le code]

Archipel japonais[modifier | modifier le code]

Océanie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Weltkarte des Castorius, K. Miller (éd.), Ravensburg, 1887.
  2. « Tauroeïs / Tauroïs / Tauroentium (Le Brusc - Le Mourret, Six-Fours-les-Plages) • L'encyclopédie • L'Arbre Celtique • 5568 • L'encyclopédie • L'Arbre Celtique », sur encyclopedie.arbre-celtique.com (consulté le )
  3. Jean-Pierre Brun, Pascal Lecacheur et Michel Pasqualini, « Les amphores du port antique de Toulon (Telo Martius) », Collection de l'Institut des Sciences et Techniques de l'Antiquité, vol. 474, no 1,‎ , p. 123–132 (lire en ligne, consulté le )
  4. AFP, « A Hyères, dans le Var, une cité engloutie vieille de 2 000 ans », sur Geo.fr, (consulté le )
  5. Le port romain et la lanterne d'Auguste
  6. « Sur les traces de Portus Pisanus, le port perdu de Pise », sur INEE (consulté le ).
  7. (en + it) Museo delle navi Romane
  8. « Kommos Excavation Crete », sur utoronto.ca via Wikiwix (consulté le ).
  9. http://www.minoancrete.com/nirou.htm Nirou Khani
  10. Séleucie
  11. A. Poidebard, Un grand port disparu - TYR - Recherches aériennes et sous-marines 1934-936. Libr. Orientaliste Paul Geuthner, Paris, 1939.
  12. A. Raban, Archaeological park for divers at Sebastos and other submerged remnants in Caesarea Maritima, Israel. Int. Journal of Nautical Archaelogy and underwater exploration, 1992, No 21(1) p. 27-35
  13. Gaston Jondet, Les ports submergés de l'ancienne île de Pharos, Le Caire, 1916
  14. Franck Goddio, Alexandrie - Les quartiers royaux submergés, Periplus Ltd, Londres, 19partie "8
  15. Détails sur la côte nord de Leptis Magna
  16. Trousset, P., « Cinyps », Encyclopédie berbère, Éditions Peeters, no 13,‎ , p. 1961–1962 (ISBN 2-85744-696-9, ISSN 1015-7344, DOI 10.4000/encyclopedieberbere.2297, lire en ligne, consulté le ).
  17. Čistov, Dmitrij Efimovič, « La Borysthène archaïque (site de l’île de Bérézan) », Études de lettres, Faculté des lettres de l’Université de Lausanne, nos 1-2,‎ , p. 223–260 (ISBN 978-2-940331-27-7, ISSN 0014-2026, lire en ligne, consulté le ).
  18. Musée de la navigation antique
  19. Museum für antike Schiffahrt
  20. dpa Januar 2006
  21. Kathryn A. Bard, Rodolfo Fattovich (Hrsg.): Harbor of the Pharaohs to the Land of Punt. Archaeological investigations at Mersa, Wadi Gawasis, Egypt 2001–2005. Università degli Studi di Napoli "L'Orientale". Napoli 2007, (ISBN 88-95044-11-8).
  22. https://archive.org/stream/lenorddelafrique00vivi/lenorddelafrique00vivi_djvu.txt
  23. Schiettecatte, Jérémie, « Ports et commerce maritime dans l’Arabie du Sud préislamique », Arabian Humanities. Revue internationale d’archéologie et de sciences sociales sur la péninsule Arabique/International Journal of Archaeology and Social Sciences in the Arabian Peninsula, Centre français d’archéologie et de sciences sociales de Sanaa, no 15,‎ , p. 65–90 (ISSN 1248-0568, lire en ligne, consulté le ).
  24. Rougeulle, Axelle, « Syagros et autres établissements côtiers du Hadramawt préislamique. Note archéologique », Topoi. Orient-Occident, Persée - Portail des revues scientifiques en SHS, vol. 11, no 1,‎ , p. 275–291 (lire en ligne, consulté le ).
  25. Bopearachchi, Osmand, « Le commerce maritime entre Rome et Sri Lanka d'après les données numismatiques », Revue des Études Anciennes, Persée - Portail des revues scientifiques en SHS, vol. 94, no 1,‎ , p. 107–121 (DOI 10.3406/rea.1992.4486, lire en ligne, consulté le ).
  26. (en) S. Muthiah, « The ancient ports of India », The Hindu,‎ (lire en ligne, consulté le ).

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Giuliano de Fazio, traduction de J.-J. Lemoyne, Extrait de l'ouvrage de M. de Fazio, inspecteur général des eaux et chaussées, membre de l'Académie royale des Beaux-Arts de Naples, sur le meilleur système de construction des ports, dans Annales des ponts et chaussées. Mémoires et documents relatifs à l'art des constructions et au service de l'ingénieur, 1er semestre 1832, p. 32-51 (lire en ligne), planche XVIII (ports maritimes (royaume de Naples))
  • Giuliano de Fazio, traduction de J.-J. Lemoyne, Extrait de l'ouvrage sur le meilleur système de construction des ports imprimé à Naples en 1828, dans Annales des ponts et chaussées. Mémoires et documents relatifs à l'art des constructions et au service de l'ingénieur, 1er semestre 1837, p. 182-232 (lire en ligne), planche CXXVII (plan des deux ports d'Antium)
  • Giuliano de Fazio, traduction de J.-J. Lemoyne, De l'ouvrage de M. Giuliano de Fazio sur le meilleur système de construction des ports, imprimé à Naples en 1828 (3e mémoire), dans Annales des ponts et chaussées. Mémoires et documents relatifs à l'art des constructions et au service de l'ingénieur, 1er semestre 1839, p. 316-344 (lire en ligne)
  • Maurice Sartre, Le Bateau de Palmyre. Quand les mondes anciens se rencontraient, Tallandier, 2021 (ISBN 979-10-210-4683-2)
  • Barrington Atlas of the Greek and Roman World (2000)

Documents anciens[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]