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De tram van Tunis zorgde tussen 1885 en 1960 voor openbaar vervoer in de Tunesische hoofdstad Tunis. Sinds 1985 is de tram terug onder de vorm van een lightrail: de Métro Léger de Tunis.

Het begin[bewerken | brontekst bewerken]

De Italiaan Francesco Garibaldi vroeg in 1882 een vergunning voor een paardentramnet maar het op 12 mei 1881 tussen Tunesië en Frankrijk gesloten verdrag van Bardo (ook verdrag van Ksar Saïd genoemd) verbood echter elke vergunning aan Italianen.

Op 21 juni 1885 kreeg de door de Belgische ondernemer Joseph Closon opgerichte Société anonyme des tramways de Tunis een vergunning voor de bouw en exploitatie van een tramnet wat resulteerde in de opening van vijf paardentramlijnen.[1]

  • Lijn 1: Ronde van de medina (cirkellijn), geopend in 1887
  • Lijn 2: Bab El Bhar - haven
Bab El Bhar - La Marine, geopend in 1887
La Marine - Le Port, geopend in 1894
  • Lijn 3: Bab El Bhar - Bab El Khadra, geopend in 1896

Bij overeenkomst van 26 april 1899, goedgekeurd op 22 december 1901, kocht de stad Tunis het bedrijf en vertrouwde het toe aan de Compagnie générale française de tramways die het op zijn beurt overdroeg aan zijn filiaal, de Compagnie des tramways de Tunis.

Tram in Bab El Bhar
Tramspoor in Bab El Khadra

== La Compagnie des tramways de Tunis (CTT) est une compagnie française disparue, basée en Tunisie. Elle développe ses activités dans les transports publics tunisois et dans le marché de l'énergie.

Histoire[bewerken | brontekst bewerken]

Tramway en 1912
Tramway sur la ligne Bab Saadoun - Rue al-Djazira
Tramways à chevaux sur la ligne du Belvédère en 1898
Tramway au Belvedère, motrice et deux remorques type CGFT
Motrice moderne sur la ligne du Bardo en 1952

En 1896, la Compagnie générale française de tramways (CGFT), dont le siège se trouve au numéro 3 de la rue Moncey à Paris, se voit attribuer la concession d'un réseau de tramways à traction animale. Un ensemble de trois lignes est alors construit[2] :

En 1901, la ville de Tunis effectue le rachat du réseau de la Société anonyme des tramways de Tunis et le confie à la Compagnie générale française de tramways, qui est remplacée, en 1903, par la Compagnie des tramways de Tunis[3].

Création et développement[bewerken | brontekst bewerken]

La compagnie est fondée à l'initiative de la CGFT qui détient 60 % des 3,75 millions de francs du capital de départ[4]. Elle construit un réseau de tramways électriques à voie métrique.

La CTT exploite le réseau de tramways de la capitale tunisienne et obtient par le décret beylical du 13 décembre 1905 la concession de la ligne du chemin de fer Tunis-Goulette-Marsa (TGM), inaugurée en 1908. L'énergie électrique nécessaire à son réseau est fournie par une usine implantée à La Goulette.

Le capital social passe à 4,5 millions en 1904, dix millions en 1909 puis douze millions en 1914[4] et de nouvelles lignes sont créées.

Het elektrisch stadstramnet bestaat op dat ogenblik uit volgende lijnen:

  • Rue al-Djazira - Bab Saadoun;
  • Rue de Rome - (Parc du) Belvédère;
  • Rue de Rome - Abattoirs (slachthuizen);
  • Porte de France - (Place de la) Kasbah via Bab El Jazira;
  • Porte de France - Kasbah via Bab Souika;
  • Porte de France - Bab El Khadra;
  • Porte de France - Port (haven);
  • Porte de France - Ancienne Douane (oude douane);
  • Rue al-Djazira - Avenue d'Espagne.

De CTT opent twee verlengingen: van Belvédère naar l'Ariana en van Bab Saadoun naar Bardo en La Manouba (1908).

Par la suite, la ligne reliant la Porte de France aux Abattoirs est prolongée vers Djebel Jelloud à une extrémité et Bellevue à l'autre ; une nouvelle ligne est créée vers Franceville. Le réseau comprend dix lignes en 1914[5].

Le développement total des tramways est de 28 kilomètres ; le matériel roulant correspondant est de 35 automobiles et de 30 remorques ; l'effectif du personnel s'élève à 250 agents[3]. Ce réseau de tramways urbains est complété par deux lignes de chemin de fer électrique à voie normale desservant la banlieue nord-est de la ville. Partant de Tunis, avenue Jules-Ferry, la première ligne emprunte l'une des jetées du canal reliant La Goulette à Tunis et dessert les stations balnéaires de La Goulette et Khereddine, Le Kram, Salammbô, Carthage, Sidi Bou Saïd et arrive enfin à La Marsa, résidence du bey de Tunis. Une seconde ligne relie directement La Marsa à Tunis par l'ancien tracé du chemin de fer à vapeur de la Compagnie des chemins de fer Bône-Guelma. La longueur de ce réseau est de 38 kilomètres ; le service est assuré par 230 agents environ et 120 trains circulent chaque jour dans les deux sens[3].

En 1928, le réseau exploité représente 31 kilomètres pour les tramways et 38 kilomètres pour le chemin de fer qui relie Tunis à La Marsa[6].

En 1950, la compagnie est dotée :

  • de tramways, trolleybus et autobus pour une longueur de 53 kilomètres de lignes exploitées et de 47,82 millions de voyageurs transportés ;
  • du TGM pour une longueur de 37 kilomètres et 14,346 millions de voyageurs transportés[7].

Exploitatie[bewerken | brontekst bewerken]

Problemen met de bevoorrading van steenkool tijdens de Eerste Wereldoorlog zorgde ervoor dat het bedrijf een lignietmijn opende in Kaap Bon. Daardoor startte het ook om ondernemingen die van de steenkool afstapten, te voorzien van elektriciteit.

Na de oorlog la production et la distribution d'électricité se développent pendant que les recettes du réseau ferroviaire stagnent.

Au 1er janvier 1908, le réseau qui dessert ses rues et sa banlieue atteint une longueur totale de 25,494 kilomètres, concédés à la Compagnie générale française de tramways jusqu'au 31 décembre 1970[7].

En dehors du réseau de Tunis, il n'existe que deux petites lignes de tramways : l’une, allant de la station de Maxuta-Radès à la mer et longue de deux kilomètres, l'autre longue de cinq kilomètres, entre la station de Tinja et l'arsenal Sidi-Abdallah via Ferryville.

En 1933, les recettes d'exploitation sont de quarante millions de francs (treize pour le tramway, sept pour le TGM et vingt pour l'énergie) et passent à 64 millions en 1938 (dont 44 pour le secteur énergétique)[4].

Malgré d'importantes destructions au cours de la campagne de Tunisie, en 1943, la compagnie retrouve dès l'année suivante le niveau d'activité qui est le sien avant la guerre. En 1945, la production d'électricité est de 32 % supérieure à celle de 1938[4].

Nationalisering[bewerken | brontekst bewerken]

In 1953 krijgt het bedrijf de naam van Compagnie tunisienne d'électricité et de transports en het kapitaal dat sinds 1936 60 miljoen frank bedraagt, wordt in 1949 op 300 miljoen en in 1953 op 595 miljoen frank gebracht.[4]. In 1958 beslist de Tunesische regering tot nationalisering van de activiteiten waardoor het bedrijf verdwijnt.

Op 20 april 1960 verdwijnen de laatste twee tramlijnen: lijn 3 naar Le Bardo en lijn 4 naar La Manouba.


  1. Historique transport collectif, op www.transtu.tn
  2. a b c
  3. a b c d e
  4. Paul Sebag, Op. cit., p.449
  5. a b