LEMONDE.FR | 14.02.11 | 13h09 Mis à jour le 14.02.11 | 14h26
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ANDRE WANDOCH 14/02/11 - 17h01
Le fait de relever le seuil à 12,5% des inscrits pour être présent au second tour donnera un résultat tronqué de la représentation politique en France. On pensait avoir un sondage grandeur nature, il n'en est rien. N'étant couplée avec aucune autre élection, l'abstention va être nombreuse. Ce mandat qui va disparaitre dans trois ans risque de ce fait ne correspondre qu'à de la figuration. Le pouvoir actuel s'est débrouillé pour déconsidérer entièrement les Conseils Généraux. Leur mort suit. Répondre
Jean-Jacques Gonod 14/02/11 - 15h46
"la gauche rêve de faire basculer la haute assemblée, pour la première fois depuis 1958" Un lecteur, sur un autre article estime que c'est faux : guéguerre structurelle entre De Gaulle et le Sénat de 1962 à 1971, ce n'est qu'en 1971 que la majorité y est passée à droite. Gaston Monnerville, président du Sénat, était un radical de centre gauche. Historiens du Monde, éclairez nos lanternes et dites-nous ce qu'il en est. Répondre
Hugues T. 14/02/11 - 14h15
Les nouveaux conseillers généraux pèseront peu, mais justement, les sénatoriales se joueront à pas grand-chose et les cantonales risque de faire toute la différence ! Répondre
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