Paris, le 1er avril 2011 - À compter du 1er avril 2011, l’Institut de l’entreprise accueille son nouveau Délégué général, Frédéric Monlouis-Félicité, qui succède à Jean-Damien Pô, en poste depuis 2007. Parmi les chantiers prioritaires qu’il aura à conduire, figure notamment la préparation de l’intervention de l’Institut de l’entreprise dans le cadre de la campagne présidentielle de 2012.

Agé de 40 ans, Frédéric Monlouis-Félicité est diplômé de l’Ecole Spéciale Militaire de Saint-Cyr et est titulaire d’un MBA de l’INSEAD. ll connaît bien le monde des entreprises innovantes, pour avoir travaillé chez General Electric, chez Business Objects et enfin chez SAP. Frédéric Monlouis-Félicité est familier de l’Institut de l’entreprise : il a activement collaboré à l’animation du site debat2007.fr, puis est passé par les rangs de l’Institut des Hautes Etudes de l’Entreprise, pôle de formation de l’Institut de l’entreprise, en 2007-2008.

La mission de Frédéric Monlouis-Félicité s’inscrit dans la mise en œuvre des priorités énoncées par le président de l’Institut de l’entreprise, Xavier Huillard, lors de son élection en janvier dernier.

Le rôle de l’entreprise dans la société ainsi que l’ouverture internationale seront au cœur des travaux de l’Institut de l’entreprise, dans une logique résolument pragmatique, liant la réflexion à l’action.

Enfin, dans la perspective de l’élection présidentielle de 2012, la prise en compte des préoccupations des dirigeants d’entreprise dans le débat pré-électoral comptera parmi les chantiers prioritaires de Frédéric Monlouis-Félicité.

Retour sur la rencontre organiséé conjointement par l’Ifri et l’Institut de l’entreprise, et visant à explorer les conséquences potentielles pour les entreprises de scénarios économiques de rupture.

Interview de Jacques Mistral, directeur des études économiques de l’Ifri

Interview de Jean Lemière, ancien président de la BERD, conseiller auprès du Président de BNP Paribas

Le dossier du numéro 72 de Sociétal est consacré à la vie en entreprise. Les contributeurs sont des chefs d’entreprise comme Jean-Luc Placet, qui dirige un cabinet de recrutement, des sociologues comme Alain de Vulpian, des syndicalistes comme Jean Kaspar ou encore des juristes comme Jacques Barthélémy. Le dossier constate la mutation de la vie en entreprise due notamment à l’introduction des nouvelles technologies de l’information. Cela se traduit dans les relations sociales par un individualisme croissant avec comme risque que, se sentant de plus en plus isolés, les salariés perdent le sens de ce que leur métier signifie.

Le numéro comporte également un article sur le bilan à mi-parcours de la présidence Obama, une interview de Hervé Novelli, l’ancien ministre qui revient sur le statut d’auto-entrepreneur qu’il a créé et un article sur la nécessité de repenser la politique agricole commune dans un sens plus libéral. Soulignons enfin la critique d’un livre sur les MBA qui montre par moult arguments la nécessité de renouveler ce type de diplômes.

Le numéro suivant, à paraître en juillet, aura pour thème :« Voyage au cœur de la sino-béatitude ».

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