Archives de la catégorie: 'Formation'

05 mars 2011

Avec la crise et l’incertitude économique, le comportement des salariés vis-à-vis de leur entreprise s’est modifié ces dernières années.

Peur de l’insécurité de l’emploi, allongement de la durée de la vie active, hiérarchie brouillée, incompréhensions intergénérationnelles… : le métier de gestion des ressources humaines doit s’adapter et prendre en compte ces évolutions.

L’école de commerce de Rouen (Rouen Business School) l’a bien compris : elle a lancé le 3 mars une Chaire « Nouvelles Carrières », en partenariat avec Air France et LVMH. L’objectif est «d’explorer les mutations des parcours et contribuer à éclairer les dirigeants sur ces transformations», selon le communiqué de l’école.

GERER DE NOUVEAUX DEFIS

Parmi les défis auxquels doivent faire face les RH, gérer les comportements des nouvelles générations de salariés apparaît comme celui qui préoccupe le plus les managers, la «génération Y» notamment, qui débarque sur le marché du travail.

Ces jeunes nés dans les années 1980 sont décrits comme des salariés individualistes, peu attachés à leur entreprise, mêlant vie privée et vie professionnelle.

Geeks, « addicts » aux réseaux sociaux, ils surfent sur Facebook ou Twitter pendant les heures de travail.

MYTHE

Pour les RH, il est parfois difficile de les faire évoluer dans l’entreprise et les relations avec leurs managers sont tendues. Un thème qui sera certainement à l’étude dans la nouvelle Chaire : son directeur, Jean Pralong, y a consacré une enquête, qui montre cependant que la génération “Y” est largement un mythe.

Selon lui, il n’y a pas de différences entre les 20-30 ans et les 30-45 ans (ceux qu’on appelle aussi la génération “X”). Ils auraient “la même posture par rapport au travail et à la carrière” : même opportunisme, même individualisme, même besoin de règles plus souples.

Le malaise entre les deux générations viendrait plutôt du fait que les “X” doivent manager les “Y” et leur imposer une discipline qu’eux-mêmes ont du mal à intégrer, selon le chercheur.

Autre challenge pour les responsables de gestion de carrières, dont il sera question dans les recherches de la chaire « Nouvelles Carrières » : développer les compétences des salariés au moyen de formations, parfois coûteuses, tout en réussissant à fidéliser ces nouveaux talents.

Aglaé de Chalus

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02 février 2011

L’Edhec a inauguré le 21 janvier un nouveau campus dans le quartier des affaires de Singapour.

L’institution lilloise y a exporté son programme “école de commerce”, mais également un « Risk Institute », centre de recherche spécialisé dans la finance et les hedge funds 

« L’influence croissante des marchés et des investisseurs asiatiques exige que soit menée, depuis cette région du monde, une recherche académique tournée vers les besoins de l’industrie financière » a souligné Noël Amenc, directeur d’Edhec-Risk Institute.

Singapour est une destination de choix pour les écoles de gestion occidentales qui souhaitent s’implanter en Asie. A l’instar de la Manchester Business School, elles sont nombreuses à y proposer des programmes de formation continue ou des masters de type MBA. Certaines y ont, bien avant l’Edhec, installé des campus.

C’est le cas de la University of Chicago Graduate School of Business (Chicago GSB) et de plusieurs écoles françaises.

L’une des premières à s’implanter dans la Cité-Etat a été l’Insead, en 2000, avec ses locaux destinés à accueillir 600 étudiants.

En 2004, l’Essec a créé à Singapour son « Asian Center », qui accueille les promotions d’étudiants de l’école française, mais aussi des cadres des multinationales asiatiques en formation continue.

Devenir un « hub » de l’enseignement supérieur mondial

Le gouvernement singapourien voit d’un bon œil ces implantations de campus étrangers. Elles représentent des investissements lourds, attirent des populations qualifiées et s’inscrivent dans sa stratégie de développement.

Selon l’ambassade de Singapour en France, « les autorités mènent depuis plusieurs années une politique volontariste pour faire de Singapour un hub éducatif », une plateforme mondiale de l’enseignement et de la recherche. « A terme, elles veulent que Singapour, ville multiculturelle, devienne un carrefour financier, éducatif et culturel. » La Cité-Etat, qui s’est fixé pour objectif d’accueillir 150 000 étudiants étrangers en 2015, s’approche du but : en 2009, ils étaient 97 000, soit 13% de plus que l’année précédente.

Les écoles invoquent, quant à elles, l’importance de confronter les étudiants à des « problématiques spécifiques à l’Asie », puisqu’ils seront de plus en plus amenés à travailler avec cette zone en pleine croissance.

Au-delà de l’intérêt pédagogique, elles voient dans la décentralisation un moyen d’augmenter leur rayonnement et d’améliorer leur positionnement dans les classements internationaux, considérés aujourd’hui comme des gages de référence.

Pauline Turuban

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15 janvier 2011

Companieros, organisme de formation spécialisé dans les modules de sensibilisation aux thèmes de la responsabilité sociale des entreprises, au sein des firmes ou des cursus de grandes écoles et universités, lance au mois de janvier un nouveau programme, RSI Management (pour “responsabilité sociale individuelle”).

Il s’agit cette fois de développer chez le manager lui-même une capacité à questionner ses propres pratiques et son rôle au sein de l’organisation, à gérer les conséquences de ses choix, et à transmettre à ses équipes les messages nécessaires.

La prise en charge des thèmes de la RSE par les seuls services de communication, externe comme interne, n’apparaissent en effet pas comme une garantie d’efficacité.

Selon un sondage écobaromètre réalisée en juillet et août 2010 par questionnaire auto-administré via Internet (donc non-représentatif, mais néanmoins renseigné par plus de 1000 internautes) et publié en octobre, 68% des répondants jugent que la communication “durable” des entreprises n’est pas “sincère”.

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09 septembre 2010

La proportion de jeunes terminant des études supérieures est moins élevée dans l’Union européenne (UE) qu’au Canada ou en Russie, révèle une étude de l’OCDE.

L’édition 2010 de Regards sur l’éducation conclut que dans 21 pays de l’UE, 34% des personnes de 25 à 34 ans ont terminé des études supérieures, contre plus de 50% en Corée du Sud, au Japon, au Canada et en Russie.

Au sein de l’UE, la proportion la plus élevée a été relevée en Irlande, avec 45%. Au contraire, les proportions les moins élevées se trouvent en Autriche ou en Italie.
L’étude montre aussi qu’avec moins de 4%, le taux de chômage dans l’UE des diplômés de l’enseignement supérieur est très inférieur à celui des non diplômés, qui dépasse 9%.

Parmi les objectifs qu’elle s’est fixé pour la prochaine décennie, l’UE entend porter à 40% d’ici 2020 la proportion de personnes accédant à l’enseignement supérieur.
Mais en dépit de l’accent mis sur les investissements dans l’éducation, il apparaît que les efforts de l’UE ne sont pas aussi rentables que dans d’autres régions.

Par exemple, au Japon, la relation entre l’augmentation des sommes dépensées et celle du nombre de diplômés a été de 2 à 1 entre 1995 et 2007. Mais selon une étude dans 19 des 27 pays de l’UE, elle n’a été que de 3 à 1.

En moyenne, ces pays de l’UE ont consacré 5,4% du PIB à l’éducation, de l’élémentaire au supérieur.

http://www.oecd.org/document/52/0,3343,fr_21571361_44315115_45937524_1_1_1_1,00.html

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Les étudiants de Grenoble Ecole de Management, l’ESG et l’Université Pierre-Mendès France en tête de la course aux “Labels RSE Companieros”

Companieros, organisme de formation sur les sujets liés à la Responsabilité Sociale de l’Entreprise (RSE), propose aux étudiants de grandes écoles et d’universités des formations labellisées, agréées par l’AFNOR.

Depuis 2009, 2 737 étudiants français ont été “labellisés RSE” par Companieros, soit 56% des étudiants ayant suivi l’une de ces formations.

Le Palmarès des campus pour les Labels 2009/2010 s’établit comme suit :
1- Grenoble Ecole de Management : 228 étudiants labellisés.
2- Ecole supérieure de gestion (ESG) : 187.
3- Université Pierre Mendès France (Grenoble) : 157.
4- AgroParisTech : 145.
5- Ecole supérieure pour le développement économique et social (ESDES, Université catholique de Lyon) : 137.
6- EPF - Ecole supérieure d’ingénieurs (Sceaux, Troyes) : 122.
7- ESSEC (Cergy-Pontoise) : 98.

Trois labels, attribués à titre individuel aux étudiants formés, sont proposés :

- “Label Handimanager” sur l’intégration professionnelle des personnes handicapées ;

- “Label HF Manager” sur la parité Hommes/Femmes ;

- Et “Label Démarche Responsable” sur le leadership responsable, créé depuis cette année.

Les premiers programmes de Companieros ont vu le jour en 2000. Aujourd’hui, 45 grandes écoles et universités et 31 grandes entreprises françaises participent à ces programmes. 1200 étudiants ont décroché le Label Handimanager en 2009. Plus de 3000 étudiants se sont porté candidats à l’un des Labels RSE en 2010.

Les formations proposées portent sur différents thèmes de la RSE tels que : la mixité et la réussite au féminin, le handicap, la diversité, le stress au travail… Ces programmes sont destinés aux étudiants, mais peuvent aussi être intégrés dans les formations en entreprise.

Tous les labels RSE Companieros font l’objet d’un agrément de l’Agence française de normalisation (AFNOR), élaboré par un groupe de travail représentatif de parties prenantes : entreprises, acteurs éducatifs, chercheurs en management, et experts du sujet RSE considéré.

Dans le détail: 

- Le Label RSE Handimanager porte sur l’intégration professionnelle des personnes handicapées. L’objectif est d’informer des enjeux de l’entreprise en matière d’intégration des personnes handicapés, d’en comprendre les freins, de participer à des rencontres et actions de sensibilisation. Cette année, 1 658 Labels RSE Handimanager ont été décernés, sur un total de 2 964 candidats formés. La compréhension, la prise de recul, l’ouverture d’esprit, la motivation à faire évoluer les choses sur le sujet sont primordiales pour décrocher ce Label.

- Le Label RSE HF Manager permet aux étudiants de revisiter les stéréotypes et blocages sur les différences entre les hommes et les femmes pour faire progresser la mixité dans l’entreprise. L’idée est de les amener à devenir acteur du changement dans leur future entreprise. Lancé en 2010, ce nouveau Label a été décerné à 31 étudiants de 4 écoles.

- Le Label RSE Démarche Responsable garantit une sensibilisation approfondie aux conditions d’un leadership responsable. Il implique les étudiants et leur fait prendre conscience des compétences managériales et comportementales qu’ils doivent acquérir pour relever le défi du Développement Durable. Cette année, 54 étudiants de 9 écoles grandes écoles de management et d’ingénieurs partenaires du programme Dialogues Equation ont été labéllisés.

 Pour décrocher leurs labels les étudiants doivent prouver une démarche active et personnelle en participant activement à des rencontres et actions de sensibilisation dans un esprit de dialogue et d’ouverture, en cherchant à s’informer et comprendre, pour dépasser leurs préjugés.

Ils devront également justifier d’un certain nombre de point requis et se soumettre à une épreuve écrite de connaissance et d’appropriation. Sur l’année scolaire 2009/2010, le taux de réussite a été de 52%.

Pour les recruteurs, ces certificats peuvent être un bon moyen de repérer des étudiants, futurs managers RSE de demain.

« Nous sommes ravis d’entendre que de plus en plus d’étudiants font mention de leur Label RSE sur leur CV. D’après moi, ces labellisations, uniques en France, sont un bon moyen de faire la différence face aux recruteurs », estime Antoine de Gabrielli, président de Companieros.

Pour en savoir plus: http://www.companieros.com/

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31 août 2010

Rentrée: 15.472 professeurs stagiaires tout justes recrutés seront placés, quasiment à plein temps, pour la première fois, devant une classe, sans avoir été formés par une année d’alternance à l’Institut universitaire de formation des maîtres (IUFM).

Ils bénéficieront de la présence partielle d’un professeur expérimenté (tuteurs).
En 2011, les futurs enseignants seront recrutés au niveau bac+5, après un
master universitaire, contre bac+3 auparavant.

Les salaires de 190.000 jeunes professeurs (débutants et ceux ayant moins de 7 ans d’ancienneté) sont revalorisés: les premiers auront 157 à 259 euros mensuels supplémentaires, les seconds 660 euros annuels supplémentaires (AFP).

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28 juin 2010

 

L’Ecole centrale de Paris vient d’apporter sa pierre à la cause de la parité dans le métier largement masculin d’ingénieur.

La prestigieuse école vient d’ouvrir un site, www.mademoisellefaitcentrale.com, dont l’objectif est d’attirer les lycéennes et élèves (féminines) des classes prépas vers les métiers d’ingénieur en général, et vers l’Ecole centrale en particulier.

Témoignages d’élèves, documents sur la féminisation (lente !) de la profession, et états d’âme d’un(e) candidat(e), puis intégré(e) contés à travers un personnage de fiction, Miss C (pour centralienne) voisinent sur le site, joliment agrémenté de dessins et illustrations de style BD pour adolescentes.

Ce qui ne manque pas de faire poser à l’internaute la question suivante: est-ce que, dans un site web pour “les garçons”, ce genre “entre copines” un peu fashion aurait été adopté ? 

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24 juin 2010

La quasi-totalité de la communauté universitaire a émis un avis défavorable, le 21 juin, au projet de décret relatif à l’interdiction des stages hors-cursus universitaire, lors d’un vote consultatif.

Le texte proposé par le ministère de l’Enseignement supérieur, qui tente de mieux encadrer les offres de stages, a été rejeté lors de la tenue d’un Conseil national de l’enseignement supérieur et de la recherche (Cneser) par douze voix parmi les présents, seuls deux organisations votant “pour”, selon les organisations étudiantes Unef et Fage (le Cneser est l’instance représentative et consultative de la communauté universitaire. Son avis n’est que consultatif).

Le décret, qui doit s’appliquer au 1er septembre, stipule que les stages doivent être intégrés au “cursus pédagogique” des établissements d’enseignement supérieure et que “leur finalité et leurs modalités” sont définies dans l’organisation de la formation”.

Mais le texte prévoit trois exceptions à la règle d’interdiction, qui suscitent la critique des syndicats et du collectif Génération précaire.

Ces trois exceptions sont les “formations permettant une réorientation”, “les formations complémentaires destinées à favoriser les projets d’insertion professionnelle et validées en tant que telles par le responsable de formation où est inscrit l’étudiant” et les “périodes pendant lesquelles l’étudiant suspend temporairement sa présence dans l’établissement pour exercer d’autres activités”.

“Les exceptions sont encore trop larges pour rendre effectives l’interdiction des stages hors-cursus“, écrit l’Unef dans un communiqué, demandant au gouvernement de “revoir sa copie”. “En l’état, un décret qui autorise les stages d’un an et les stages dans les formations non qualifiantes est bien un décret passoire”, a estimé le collectif Génération précaire, dans un communiqué distinct.

En Cneser, l’Unef a proposé un amendement supprimant les trois exceptions, qui a été adopté par 12 voix pour et deux abstentions, selon l’Unef et la Fage.

“Le décret va dans le sens d’une moralisation des stages“, a déclaré le ministère de l’Enseignement supérieur. Selon lui, “des éléments pourront encore être précisés lors du passage (…) du texte en Conseil supérieur de la fonction publique”, et des “garanties seront apportées par une circulaire d’application”.

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09 juin 2010

Les entreprises affichent une “légère évolution” en matière d’entretiens professionnels à mi-carrière avec leurs salariés de 45 ans et plus, selon une enquête du cabinet Tendance RH publiée le 8 juin par Opcalia, un organisme collecteur des fonds de la formation professionnelle (http://www.opcalia.com/).

L’enquête porte sur l’évolution à venir des pratiques de formation suite à la réforme votée en novembre 2009 et en vigueur depuis le 1er janvier. Elle est basée sur un échantillon restreint de DRH et responsables formation d’environ 200 entreprises d’Ile-de-France interrogés entre février et mai. Parmi les nouveautés de la réforme, l’entretien professionnel devient obligatoire pour les salariés âgés de 45 ans et plus, dans les entreprises d’au moins cinquante salariés.

L’enquête note “une légère évolution de ce dispositif” parmi la minorité d’entreprises maîtrisant les dispositions de la réforme. “Toutefois, les entreprises ont tendance à faire un amalgame entre entretien annuel, entretien de performance et entretien d’évaluation professionnelle”, selon les auteurs. Une majorité des entreprises interrogées (60%) ne maîtrise pas la nouvelle loi, selon l’enquête.

Les entretiens professionnels, en deuxième partie de carrière, sont considérés comme un moyen d’améliorer le taux d’emploi des seniors dans les entreprises en anticipant leur évolution possible de carrière. Dans la nouvelle loi, l’employeur doit proposer un entretien aux salariés dans l’année qui suit leur 45e anniversaire. Son contenu n’est pas figé : l’employeur doit notamment informer le salarié de ses droits en matière d’accès à un bilan d’étape professionnel, un bilan de compétences ou une action de professionnalisation.

Actuellement, le taux d’accès à la formation professionnelle chute dès 43 ans, déplore la CGT.

Autre chose, toujours lié à l’actu “Formation”: le Centre INFFO organise le 22 juin 2010 à Paris une “Matinée d’actualité” afin de débattre sur les changements du financement de la formation professionnelle et leurs conséquences.

Parmi les intervenants, Coryse Tetrel, Directrice d’Opcalia Haute et Basse-Normandie, interviendra sur la collecte par les Opca du 13% de contribution au Fonds paritaire de sécurisation de parcours professionnels (FPSPP) et son impact pour les entreprises (http://www.centre-inffo.fr/Matinee-d-actualite-du-Centre.html).

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27 mai 2010

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L’Afpa (Association nationale pour la formation professionnelle des adultes) lance sa deuxième édition des trophées de la reconversion professionnelle: un concours national organisé pour récompenser un actif (salarié ou chômeur) engagé dans un projet de reconversion et une entreprise dont la politique de reclassement ou d’accompagnement aura été jugée performante ou innovante.

Clôture des inscriptions le 30 septembre 2010.

Les informations pratiques sont disponibles sur le site de l’afpa: www.afpa.fr.

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