Depuis le séisme survenu vendredi au Japon, de nombreuses vidéos, amateures ou professionnelles, ont été postées sur Internet. Elles témoignent de la puissance dévastatrice du tsunami qui a suivi le tremblement de terre.
L'évaluation de l'Autorité de sûreté nucléaire française s'appuie notamment sur la situation du réacteur numéro 2 de la centrale, dont l'enceinte de confinement ne serait plus étanche.
Malgré l'ampleur de la catastrophe naturelle qui a frappé le Japon, l'accès à Internet dans l'archipel est resté très peu perturbé.
L'apocalypse, quelle que soit sa forme, est un thème majeur du manga, cette bande dessinée nippone toujours très populaire et au dynamisme étonnant.
La sortie de "Zettai Zetsumei Toshi 4", jeu de survie se déroulant après un tremblement de terre massif dans une grande métropole, a été annulée au Japon. D'autres jeux sont également annulés ou retardés au regard de la catastrophe dont est victime le pays.
L'ex-candidate PS a regretté, mardi 15 mars, que sur le nucléaire, "tout le monde s'agite pour réclamer des référendums".
Le bilan officiel du séisme et du tsunami s'élevait à 3 373 morts mardi. Les secouristes continuent de fouiller les décombres des zones dévastées.
Dans un chat sur LeMonde.fr, Catherine Vincent du "Monde" explique que le principal effet des radiations à long terme est d'augmenter les mutations de l'ADN.
Devant la possibilité d'une catastrophe nucléaire à Fukushima, les survivants du tsunami cherchent à fuir la ville par tous les moyens.
Des substances radioactives ont été libérées directement dans l'atmosphère à la suite de l'incendie du réacteur 4, a affirmé mardi l'Agence internationale de l'énergie atomique.
L'indice Nikkei s'est effondré de 10,55 % dans un mouvement de panique des investisseurs sur fond d'aggravation de la crise nucléaire au Japon. Paris perd 4 % et le Dow Jones ouvre en baisse.
Quatre jours après le séisme historique qui a secoué le Japon et le tsunami qui s'en est suivi, le bilan officiel de ce lundi 14 mars fait état d'au moins 10 000 morts. En outre, le risque d'une catastrophe nucléaire est de plus en plus présent.
Au début de l'année, les révolutions arabes ont donné un nouveau souffle à l'énergie nucléaire, en pointant l'urgence de s'affranchir de notre dépendance au pétrole. Bruxelles, poussé par Paris, a même ajouté le nucléaire à la liste des énergies faiblement carbonées soutenues dans le cadre de la lutte contre le changement climatique, au même titre que l'hydraulique, le solaire ou l'éolien.
Un proche de François Hollande, Stéphane Le Foll, estime que la proposition formulée par les écologistes après les accidents au Japon prend le risque de jouer sur les "émotions".
Depuis samedi, les éditorialistes appellent à l'unité pour aider les victimes du séisme et du tsunami. Mais ils pressent aussi le gouvernement de donner plus d’informations sur la centrale nucléaire de Fukushima, où deux nouvelles explosions se sont produites lundi.
Refusant dans un premier temps de "sonner le tocsin" sur la situation des centrales nucléaires japonaises, le ministre chargé de l'énergie est désormais obligé d'envisager le pire.
L'accident de Fukushima Dai-Ichi se classe parmi les plus importants dans l'histoire du nucléaire civil. La fusion du cœur le rapproche de celui de Three Mile Island, survenu en 1979 aux Etats-Unis.
Etape par étape, une infographie pour comprendre comment les autorités japonaises essaient d'enrayer la fonte des cœurs dans les réacteurs de la centrale de Fukushima Dai-Ichi.
Les ingénieurs japonais s'emploient à refroidir le cœur des réacteurs nos 1, 2 et 3 de la centrale de Fukushima Dai-Ichi, à 240 km au nord de Tokyo, pour éviter une fusion du cœur.
Revue de presse quotidienne des JT de la mi-journée.
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