15 mars 2011

   048.1300234160.JPG                                                Les critiques littéraires n’ont pas trop le moral. Il n’est de gazette qui ne célèbre leurs funérailles. Ce qui leur paraît légèrement prématuré, bien que la réduction à la portion congrue des suppléments littéraires des grands quotidiens américains n’incline pas à l’optimisme. La source de leurs maux est ailleurs : la faute à internet. Si les blogs, sites et réseaux sociaux servent désormais à faire la révolution, celle-ci n’épargne pas le journalisme littéraire. En ligne, n’importe qui est critique littéraire en ne s’autorisant que de soi-même ; la prescription des livres s’est donc diluée dans la vaste toile, partagée entre des milliers d’internautes qui sapent ainsi l’autorité de ceux qui faisaient autrefois la pluie et le beau temps dans les librairies. Deux journaux assez différents dans leur genre reflètent cet air du temps en y ayant consacré chacun un grand dossier : le New York Times et le Matricule des anges qui, l’un et l’autre, témoignent d’un même malaise.

    Le quotidien américain a lancé son enquête à partir du postulat : «Pourquoi la critique importe ». Sans point d’interrogation. A qui se sont-ils donc adressés pour dresser un état des lieux après le séisme technologique censé avoir submergé la profession ? A des lecteurs ? A des libraires ? A des éditeurs ? Vous n’y êtes pas : à des critiques. A six d’entre eux parmi les plus accomplis à charge pour eux de justifier l’importance de leur travail. On 020.1300234247.JPGverra un aveu d’échec dans cette position défensive. Q’importe, si je puis dire. L’un remarque que le temps n’est plus où l’auteur, comme le critique, ignoraient tout du lecteur ; le consommateur n’est pas seulement suivi à la trace dans l’anticipation de ses goûts supposés par des instruments de marketing raffinés, il s’exprime sur les lieux même (Amazon) où il fait ses courses littéraires et assortit son achat d’un jugement critique sur le livre : « Le public se parle désormais à lui-même. L’ère du critique olympien considéré comme un médiateur culturel est révolue». Certains sont d’avis que le critique traditionnel se maintiendra tant qu’il se fera fort de repérer avec les armes qui sont les siennes (culture, jugement, analyse) les grandes œuvres invisibles dans l’immense tout-venant de la production éditoriale. La plupart en conviennent : il est impensable que la critique n’évolue pas quand les outils qui permettent aux écrivains d’écrire, de lire, de chercher, de produire ont fait leur révolution d’où est sorti un nouvel ordre mondial barbara-de-wilde.1300234417.jpgqualifié du néologisme d’« iPocalypse ». Loin de s’en effrayer, ils y voient une occasion d’épurer le milieu, de repenser sa fonction dans la société et d’endosser des habits d’« évangéliste de l’expérience littéraire ». Au fond, pour que la critique importe, il faut que les critiques la traitent avec davantage de considération en la tenant pour un genre littéraire à part entière, ce qui exige un véritable effort d’écriture, et en se présentant eux-mêmes non plus comme des arbitres des élégances littéraires mais comme des auteurs. Ce raisonnement, il en est qui le poussent jusqu’au bout : si le critique littéraire veut continuer à exister dans le flux d’images et le magma de mots, il doit se distinguer en élevant le niveau chaque fois qu’il interprètera un texte par rapport à d’autres textes. Sans quoi il sera noyé. Alors, mort de la critique ? Le requiem est jugé un peu prématuré. N’empêche qu’ils semblent tous ne s’être pas remis de la disparition d’Edmund Wilson du New Yorker. Qui parierait que l’intelligence collective en ligne puisse jamais le remplacer ?

   Le Matricule des anges, mensuel de littérature contemporaine, s’y est pris autrement. Il y a deux ans, à l’occasion de son centième numéro, la revue a demandé à une quarantaine d’écrivains : « Quelle critique littéraire attendez-vous aujourd’hui ? ». Puis elle a posé la même question à 2000 abonnés. Sur la centaine de texte reçus, dix ont été publiés, le reste ayant été mis en ligne sur le site. On ressort édifié de ce dossier dense et d’une réelle liberté de ton. L’idée y fait son chemin que, pas plus que le traducteur, le critique n’est un passeur car cette fonction assignée par la puissance du lieu commun est réductrice. On n’attend pas de lui un « j’aime/j’aime pas » tel qu’il fait florès sur la Toile mais une analyse de texte argumentée qui sache séparer un livre du bruit qu’il fait et ignore l’image sociale de l’écrivain.

   Au vrai, on attend beaucoup de lui et cette exigence est encourageante. Qu’il ne participe pas à la promotion tout en se faisant l’écho de l’actualité de la librairie (un grand écart). Qu’il s’engage dans un parti pris à condition de le justifier. Qu’il fasse découvrir et rêver. Qu’il informe en hiérarchisant. Qu’il ait autant de mémoire et de curiosité que de générosité. Qu’il étonne, bouscule, inquiète et émeuve. Qu’il mette un livre en perspective et le contextualise. « Indépendant » est le mot qui revient le plus souvent sous la plume des lecteurs. En assistant l’autre jour à l’incinération de François Nourissier au Père-Lachaise, on avait aussi le sentiment qu’il emportait avec lui une certaine idée de la critique.

(Photos Passou, illustration Barbara de Wilde)

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Commentaires

Pages : « 1 2 [3]

  1. Le toc aux footballistes.

  2. La mer est démontée.

  3. Le vent déchaîné.

  4. À voir

  5. Le 15 mars 2011 à 03.25.20 : Ouganda, magnitude 5.

  6. Conneman,
    Votre exploitation acharnée d’une seule idée fixe - nuire à vos frères et soeurs de blog - est admirable de bonne santé !
    Dans ce Circocons, dont vous êtes l’un des joyaux, vous ressemblez à un jeune trapéziste suicidaire : travailler sans filet ne vous a jamais inquiété ?

  7. La critique est toujours le sujet, dear passou ? pauledel se réjouit du futur kundera pléiadisé mais la pléiade ne valant que pour son appareil critique, le spécialiste kunderaesque est-il bon ? celui chargé des romans de Gide est insuffisant. manque de place, paraît-il ! celui de green est plein d’erreurs. mais qui lit green et gide en pléiade ? des schnocks conservateurs de bonne compagnie.
    une bonne critique doit faciliter la digestion. “digérez-vous bien ? c’est l’important dans ce monde” voltaire

  8. tkt est spécialiste de physique nucléaire
    ou
    tkt graisse les serrures de son abri anti-atomique en gruyère

  9. Phil, exigeons l’édition d’une anthologie des meilleures critiques littéraires des dix premières années du vingt-et-unième siècle (blogs inclus) en Pléiade, et offrons à un grand écrivain actif aux mêmes années d’en digérer-rédiger l’appareil critique. T.S Eliot avait ouvert la voie avec son ” To Criticize the Critic “.

  10. http://blogfigures.blogspot.com/2010/09/jasper-johns-critic-smiles.html

  11. Xav 17 mars 2011 à 06 : 09

    Exclamations ( à la Sant’Angelo Giovanni )

    Mais enfin , Xav ;
    …vous le prenez comme vous voulez ,!…

    Pourquoi , vous m’ impliquer dans vos références ,!…

    J’écris ,…plus glacis ,…comme des couleurs ,…
    en ” fondues enchaînées “,…
    ou ” travelling ” en prise de vue ” cinéma “,!…

    C’ est , pas simplement ” des mots en l’air “, flagada ,!…
    Quand , l’idée vient et se discerne ,…
    juste un contour floue et léger ,!…
    et des superpositions très plausibles ,!…
    genre G.Braque et autres écoles Matisse , Derain , etc ,!

    Pas de quoi , se faire des contorsions d’esprits ” ardents “.

  12. oui alec. une bonne critique vaut mieux qu’un mauvais livre. idéal en apéritif avant la séance. en cinéma, pareil. parfois pas utile de lire l’ouvrage critiqué. reprendrez bien un ptit fumaroli ? un rinaldi..tous sur le zizi. j’ai trouvé une faute dans celui de gide. voulais le dire au critique..il est mort !. ha..le con. depuis, chaque fois que j’ouvre le pléiade..tombe direct dessus; fait exprès. du subliminal.

  13. Renato, un lien extraordinaire sur les plus belles estampes japonaises pourrait vous intéresser. celui de la très réussie numérisation du legs que le marquis de la Mazelière fit aux archives départementales des Hautes-Alpes en 1937. (les images sont protégées d’une captation sauvage d’un clic-droit cependant).

    http://www.archives05.fr/5_expositions-virtuelles/index.php

    http://www.archives05.fr/5_expositions-virtuelles/expo_visu_img.php?ref_id=11

  14. une bonne critique vaut mieux qu’un mauvais livre

    trés exact

  15. oui bougreau, quand rinaldi éreinte yourcenar, c’est du bon.

  16. les images sont protégées d’une captation sauvage d’un clic-droit cependant

    boh tu regardes dans ton cache, elles y sont
    ou fait une recherche sur le contournement, il en existe plein
    le vol c’est une réutilisation ‘non familliale’

  17. La meilleure critique d’un livre, c’est de ne rien dire.

  18. biskra. gide y était en 1894. pas en 1893. ça change tout. n’aurait pas pu rencontrer Wilde et douglas parfum..sehr wichtig..cinquante euros la pléiade et des fautes de stagiaire à la passou; insupportable

  19. oberman tu devrais parler en araméen avec une bouteille de wisky dans la pogne comme mel gibson..ça ça serait classe
    là tu fais imitateur kfc avec ton poulet fumé

  20. plutôt d’accord avec bouguereau. sur un plan infiniment plus modeste, les critiques cinglantes voire acerbes que j’ai pu recevoir de la part de mes professeurs, ou des parents, depuis le primaire jusqu’à la fac m’ont toujours fait un bien fou. en revanche les compliments ont toujours eu un effet émollient sur mon activité scolaire, et sur la personnalité ; un effet débandant tue-l’amour de l’étude, à tous coups. pourquoi ? parce que peut-être j’avais une connaissance intime du peu de valeur du travail fourni ( ~~ “je ne pourrais jamais fréquenter un club qui m’accepterait parmi ses membres”, comme dit l’autre ~~ ). la critique négative est bonne conductrice d’auto-discipline, sans forcément nous faire tout remettre en cause, elle nous fait entrevoir les fissures dans le coeur du réacteur de notre corps de doctrine et nous pousse à resserrer les boulons. peut-être en va-t-il de même pour lés écrivains ?

  21. La meilleure critique d’un livre, c’est de ne rien dire

    qui ne dit mot consent ?
    ça ça marche dans ton pageot..essaie un peu d’y dire ‘t’as l’cul trop maigre, le foi qu’est trop bas..’
    ça risque d’y faire du vilain
    la critique élogieuse est ‘toutchy’ aussi comme disent les ricains

  22. peut-être en va-t-il de même pour lés écrivains ?

    dans le fond ce n’est pas eux qu’il tente de réformer, le critique n’y croit pas, mais le lecteur, il espère ruiner ses ventes
    au profit d’un autre écrivain moins mauvais à defaut d’un bon

  23. alec..”corps de doctrine” en réacteur déboulonné… ok.. les nerfs qui lâchent..shooté à l’iode comme tkt. patience.. la kancelière va fiche des moulins à vent partout. pédalage automatique. la frau merkel, dans “la rue sans joie” pabst, c’est la patronne du bordel !
    les bons critiques sont des vicieux, mauvais pères de famille, avant la guerre tendance buveurs. fernandez père.

  24. Xav 17 mars 2011 à 06 : 09

    Exclamations ( à la Sant’Angelo Giovanni )

    Mais enfin , Xav ;
    …vous le prenez comme vous voulez ,!…

    Pourquoi , vous m’ impliquer dans vos références ,!…
    Rédigé par : Sant’Angelo Giovanni | le 17 mars 2011 à 11:12 | Alerter

    Soit. Vous êtes gravissime. Toujours à chiner à Clignancourt en famille?

  25. phil, c’est fastoche de trouver une coquille en pléiade. Pas de quoi pavoiser !
    Autre chose serait de nous signaler les erreurs dans la Bible !

  26. Phil, désolé pour vos déboires Pléiado-Gidiens, que vous racontez avec beaucoup d’humour. (c’est vrai qu’au prix du cours du papier bible, c’est plutôt malvenu d’y trouver des contresens de façonnement dans la glaise biographique, ou des errements dans la glose). Ramon sur Proust, Louis-Ferdinand sur Rabelais, oui, de sinistres bonhommes très ‘à destre’, à cheval sur l’immoral, mais des types avec un mind power hors norme, dont de temps à autre, une petite lueur nous parvient encore.

  27. Lisez Totti.

  28. calmos baroz, des coquilles saint jacques, y’en a plein la bible; ceux qui aiment les “erreurs” n’ont qu’à jouer au soudocu.

  29. (je suis sûr que c’est très bien Francesco Totti, san angelo les a tous, et puis il faut bien se rabattre sur quelque chose)

  30. Zut, éliminés par des turcs l’as roma.

  31. Désu créniens.

  32. Xav,
    Si , çà m’inspire ,…dans ma créativité ,…
    Qu’est ce que çà peut , vous foutre ,!…
    …si je chine a Azincourt ,!…en ” solitaire “,…?…
    …de quoi , je me mèle ,!…
    …je prend l’ histoire , à rebrousse- poils ,!…
    …comme çà me chante ,!…
    …de l’ empire de Charlemagne ,…la ” jolie “,!…O.K.

  33. oui alec, la critique conduit à droite, comme les voitures de lukche.

  34. tkt est spécialiste de physique nucléaire
    ou
    tkt graisse les serrures de son abri anti-atomique en gruyère
    Rédigé par : Phil | le 17 mars 2011 à 10:57 |

    Il a pu acheter les derniers pots non contaminés de crème anti-âge à la graisse de baleine du Japon. Une chance.

  35. Les joies de la pêche à la baleine sont très méconnus des occidentaux.

  36. dédé, faut pas faire le malin; le jour où passou va passer au vinyl ouebcame…tkt..inoxydable, pilier de la fondation à passou, comme la tasse nespresso greffée.

  37. La critique est aussi nécessaire à l’écrivain que le gode-ceinture à boug, le verre de vin à Henri, la mouche au coche, l’éperon au cavalier, la béquille à l’unijambiste, le morpion au pubis : un accessoire stimulant, complémentaire, voire substitutif (pour le cas de boug) !
    La critique en appelle à votre honneur, tandis que le compliment, qui fait toujours plaisir à entendre, ne tourmente tout au plus que votre (im)modestie. L’une arme, l’autre endort…
    Un bon critique doit toujours caresser dans le sens inverse du poil !

  38. Je compte sur vous , pour les mettre aux parfums ,!

    …toujours disponibles ,!…
    …hormis les ” baleines “,!…trop serrées ,!…
    …pour tout les éclaircissements ,!…
    …opérer les changements en chambre noire ,!…
    …pour les pellicules sensibles ,!…

    Bonnes continuations ,!…les endoctrinés ,!…?,…de l’Or .

  39. Le papier bible porte mal la coquille ?

  40. Bien des compliments ne font jamais plaisir: du genre : c’est le Proust norvégien .
    emandez voir à des enfants adoptés qui ont tant entendu “ce qu’il ressemble à son père ” par les amis de la famille pressés qui n’étaient pas encore mis dans le secret des histoires !

  41. Bonjour messieurs dames !

    J’ai été violée l’an dernier par un critique olympien qui m’avait proposé de me raccompagner chez moi en Audi, après une séance de signature à Strasbourg.
    (en fait, son forfait accompli, il m’a laissé tomber à Melun).

    Question : un critique olympien est il critiquable ?

  42. Je relisais les posts d’hier c’était sympa, un peu arriéré, mais sympa.

  43. toujours dans les compliments douteux
    comme mon fils, comme ma fille
    et aussi mon élève, et mal reçus souvent
    et bien sûr, tous les défilés d’identités (même français-e-)

  44. renato et odradek, lequel de vous deux l’emporte dans la compétition du changement subreptice de pseudo ?
    J’arrive plus à compter !
    Peut être faudrait-il différencier la quantité de la qualité : auquel cas Genèse réversible me semble supérieur à still alive !

  45. #

    Bonjour messieurs dames !

    J’ai été violée l’an dernier par un critique olympien qui m’avait proposé de me raccompagner chez moi en Audi, après une séance de signature à Strasbourg.
    (en fait, son forfait accompli, il m’a laissé tomber à Melun).

    Question : un critique olympien est il critiquable ?
    Rédigé par : Une jeune brayonne de Beaubec | le 17 mars 2011 à 13:30 | Alerter

    Ah madame ! Quand la loi est mal faite, c’est à dire quand elle ne prévoit pas tous les cas de figure, c’est vite le far west et pas le royaume des petits malins.

  46. “J’ai été violée l’an dernier par un critique olympien qui m’avait proposé de me raccompagner chez moi en Audi, après une séance de signature à Strasbourg.
    (en fait, son forfait accompli, il m’a laissé tomber à Melun).”

    Il faut s’y attendre quand l’on exerce l’activité de groupie (gruppy)… puis s’il conduit une audi il peut être tenu pour irresponsable

  47. il aurait étéplus convenable que je reprenne parmi les compliments insupportables :”c’est la Venise de ***” ou encore la joconde de ou le Chaplin du…midi.

  48. (Ils sont quand même cons ces gens qui passent par la violence là où la gentillesse donne toujours les meilleurs résultats.)

  49. On se croirait plutôt dans les problématiques tome (tome?) V de Jean Laplanche (1987), les enfants. ça a plu mes mystères de Paris?

  50. (Ils sont quand même cons ces gens qui passent par la violence là où la gentillesse donne toujours les meilleurs résultats.)
    Rédigé par : Genèse réversible | le 17 mars 2011 à 13:42 | Alerter

    Passou qui me connait depuis 89 me caresse dans le sens du poil même s’il me fait appeler Didier l’embrouille par ses gros bras.

  51. autre compliment qui tue
    ça c’est pas con ..
    on ne siat pas si c’est d’un petit malin ou d’un calculateur ordinaire qui a mesuré la longueur de votre annulaire quand vous lui avez fait “hello” sur le perron (durée proportionnelle au Q.I calculé à la hauteur de l’arbre généalogique supposé selon internet)

  52. il aurait étéplus convenable que je reprenne parmi les compliments insupportables :”c’est la Venise de ***” ou encore la joconde de ou le Chaplin du…midi.
    Rédigé par : sill alive | le 17 mars 2011 à 13:42 | Alerter

    La réalité dépasse la fiction mais c’est mieux d’être plus de quatre à comprendre.

  53. Pour “les enfants” , il n’y a pas eu encore sur la RdL, le prix du plus grand ponte à Lys: nul ne sait si ce sera un compliment pour les intéressés

  54. Olympien me semble un excès… Goethe fut olympien vers la fin… le mec qui “travaille au Monde”, encore heureux s’il arrive à garder son calme lors d’un match de foot.

    Mais c’est vrai que le sens de la mesure est de plus en plus rare… le sens du ridicule aussi, du reste…

  55. Comment? Vous avez un reste de sens du ridicule?

  56. un petit commentaire farpaitement dispensable et superfétatoire, après l’ingestion d’un marcassin au barbecue (au bureau), comme c’est l’habitude dans tous les foyers français à l’occasion du déjeuner : “Funérailles”, dit le cartouche de titre…
    Fun / et / raille !
    oui je sais c’est faible, mais parlant tout de même un peu. Jean-Pierre Brisset, le poète-inventeur dont l’humour noir fut repéré par Breton, l’aurait peut-être noté lui aussi.
    une certaine partie de la critique (y compris littéraire) s’en est beaucoup remise au style rigolo, en maniant la raillerie comme une seconde nature, lorsqu’il s’est agi pour elle de rendre compte de l’actualité des livres. Libération, les Inrocks, s’en sont fait une philosophie. alors que ce procédé aurait pu (dû) avoir un puissant effet dissolvant sur la critique installée et compassée, il n’en a rien été. loin de s’annihiler, les deux ont toujours vécu en symbiose et continuent de le faire au moment où je parle. et ça c’est pas fun, comme on dit au Québec.
    je ne sais pas si l’idéal critique qu’appelle de ses voeux P. Assouline, je pense à la forme que devrait prendre son billet, son article, l’accent sur le style etc, pas au fond, la proclamation d’une indépendance, qui est chose allant de soi, convaincra tout le monde. son blog est plaisant à lire, on peut y consacrer du temps car il n’est pas indexé sur le cours du roman au kilo. peut y entrer souvent du gai-savoir aussi. malgré tout j’ai autant de plaisir à lire (blogosphère, amateurs éclairés comme journalistes professionnels) des ‘one-liners’, sur le web, de la part de gens hors du circuit littéraire, mais ayant la passion de la littérature (dans le champ du Droit, de l’Eco, on trouve des personnes gorgées de culture classique et contemporaine, et qui ne la ‘ramènent pas’) ; souvent le petit lien qui renvoie vers un livre, après une courte présentation venant en appui d’un article plus dense sur un sujet voisin, magnifie l’envie d’en savoir plus et déclenche plus rapidement quelquefois la compulsion d’achat — eh oui il existe des fashionistas en ce domaine aussi. un livre purement littéraire recommandé par un homme qui n’est pas formellement du sérail des ‘humanités’ m’attire souvent : je dois des découvertes à un Jean-Claude Casanova par exemple.

  57. Faut opérer tout de suite !!!

  58. (Merci pour les links, alec.)

  59. @marie de b
    avez-vous compté en pages et en billets (’nouvelle unité de mesure dritique à renommer) combien d’eau a coulé sous quels ponts depuis votre aventure critique?

  60. Je suis hors compétition, Xav.

  61. “Le Critique à Melun”, ça devrait donner des bons résultats en BD.

  62. Xav est à flatter le cul de la vache depuis 05:57. Depuis huit heures ! Elle n’en peut plus.

  63. La meilleure critique d’un livre, c’est de ne rien dire.

    Rédigé par : Marcel | le 17 mars 2011 à 11:37

    La pire des critiques d’un livre, c’est de n’en rien dire.
    Tout dépend du point de vue où l’on se place.

  64. tu vas foutre de la paille partout sur le lino à passou toi

  65. pour les unité de lecture, (en pages, billets, lignes), un prix sera écerné à nommer sera décerné au nommeur le plus inventif , créatif, et le plus libérateur des réflexes professionnels
    des métiers du livre.

  66. France Inter : Le salon de Paris. Interrogeons monsieur d’Ormesson.

    La boucle est bouclée.

    Ah monsieur d’Ormesson
    Vous osiez déclarer
    Qu’un air de liberté
    Flottait sur Saïgon !

    Jean Ferrat

  67. Le chien aboie, la caravane passe et le pilon pile…

  68. @ marie de b
    on peut toujours créer un prix du compliment( en commençant par le règlement)

  69. Ma façon de penser, c’est l’assembleur pur et dur.

    Rédigé par : D.

    Bon mais en RISC sinon c’est bavard c’est pour les femmes…

  70. L’air de liberté flottant actuellement sur Ho Chi Min City par contre souffle en tempête, hein Marcelcông…

  71. l’éperon au cavalier

    Rédigé par : Jacques Barozzi

    Ha non l’assiette on a dit… L’éperon c’est bon pour Las Dopicos…

  72. A qui faut-il laisser le privilège du prix croupion ?
    Et les femmes , comment seront-elles invitées ?
    Qui décidera qui est une femme ou non ? ‘(autorité, doctrine !!)

  73. still alive
    Hélaaaaaassssss

  74. Le chien aboie, la caravane passe et le pilon pile…
    Rédigé par : Genèse réversible
    Où l’on voit les dégâts de l’addiction à la RdL.

  75. Livre “Métro parisien, petits plaisirs du soir et du matin”
    Passerez à la caisse : 560 € la ligne.

  76. Le censeur ratatiné de quinze heures est en avance…

  77. J’arrive plus à compter !
    Rédigé par : Jacques Barozzi
    1 con + 1 con + 1 con = 3 cons

  78. Le chien aboie, la caravane passe et le pilon pile…
    Rédigé par : Genèse réversible
    Où l’on voit les dégâts de l’addiction à la RdL.
    Rédigé par : et renato ratatine | le 17 mars 2011 à 14:50 | Alerter

    Il a la côte.

  79. Ouaf-ouaf, cabot de président

    Chapitre 11
    Ce gars-là

    Socrate dormait à son carrefour. Je lui ai dit : “Alors, on roupille la dedans”. Il a ouvert un oeil complètement embrumé puis il m’a aboyé que ce n’était pas une chose à faire de réveiller les gens comme ça, qu’il faisait un beau rêve, qu’il poursuivait une levrette dans les sables gris du nord et que je l’avais dérangé au moment où il allait conclure. D’imaginer ce vieux cabot asthmatique, le ventre à ras le sol, derrière une levrette, j’ai failli éclater de rire. Je me suis retenu pour ne pas le vexer, j’avais encore besoin de ses sages conseils.
    Je lui ai dit que c’était râpé pour les éoliennes mais que papa avait promis de nous fournir des tentes de la part de monsieur Trigano quand les niches auraient été toutes bouffées par les termites. Il m’a répondu que c’était très valable car, quand la calamité nous tomberait dessus, d’être logés dans des tentes nous procurerait l’impression d’être un peu en vacances Il y a même vu un énorme avantage. C’est plus pratique de transporter un tente qu’une niche pour aller se détendre en Artois. Il m’a demandé ce que mon papa avait prévu quand il y aurait la guerre civile. Là j’étais un peu coincé, j’ai été obligé de lui dire que j’avais oublié de lui parler de cet aspect des choses. Il est vrai que la chamaillerie entre papa et maman ne m’en avait pas laissé le temps.
    “Il faut mettre de l’ordre dans ta tête, petit, qu’il m’a dit. La guerre civile est plus importante que la destruction des niches par les termites. Tu aurais dû commencer par là et peut-être que ton papa n’aurait pas pris les éoliennes à la légère.” J’ai réfléchi un peu, puis je lui ai dit que si une guerre civile se déclarait entre les chiens, papa ne manquerait pas de faire intervenir l’armée pour nous massacrer tous. “Raison de plus pour lui demander de détruire les éoliennes, a rétorqué Socrate - Tu as raison, mais il n’acceptera pas. Il est trop sûr de sa puissance et nous les chiens nous ne faisons pas le poids en face de lui. - Allons, petit, il ne peut tout de même pas détruire la main d’oeuvre à bon marché. Qui gardera toutes ces maisons cossues quand on sera tous massacrés ? - Il y a beaucoup d’humains au chômage. Les propriétaires de Neuilly seront contents d’en embaucher quelques uns et de plus le problème de leur logement sera tout de suite résolu avec nos niches vacantes. - Mais, il n’y aura plus de niche ! - Oui, tu as raison, mais il y aura les tentes de monsieur Trigano. - T’es un sacré petit bonhomme, m’a fait Socrate. C’est un vrai plaisir de discuter avec toi. Quand la guerre civile sera sur le point d’éclater, et mon flair me le dira à temps, je serai ravi de t’inviter à venir en Artois avec moi. On pourra prendre la clef des champs avant que tout n’éclate. Tu verras, l’Artois, c’est un paradis.
    Je remerciais Socrate pour son invitation, pensant qu’elle était bien inutile car, étant le fils de mon papa, je ne risquais grand chose. Puis, je lui exposai son problème du moment : trouver un slogan qui fît mouche dans toutes les couches de la population. “Oui, je comprends, m’a fait Socrate. Un slogan qui rassure les riches et donne de l’espoir aux pauvres. C’est un jeu de corde raide, il faut être un sacré funambule. Il a quand même un atout, ton papa. Le pire des exploités tient à ce qu’il a. Même si c’est trois fois rien, c’est toujours quelque chose. Durant la guerre de sécession aux États-Unis, les blancs étaient mobilisés pour combattre les bleus. Quand les bleus se pointaient dans les champs de coton avec leurs bonnes paroles d’émancipation, ils se faisaient quelquefois recevoir à grands coups de fusils par des noirs qui défendaient la propriété de leurs maîtres absents. Remarque, nos congénères du gardiennage connaissent ça. Il suffit qu’ils aient une bonne gamelle et ils mordent tout ce qui bouge. Il y a quand même une chose positive à leur actif, ils se sont libérés de leurs chaînes. - Qu’est-ce que tu racontes ? Ils sont encore esclaves, ai-je fait, incrédule. - Oui, mais je veux parler des chaînes qui les retenaient à leurs niches. Leurs aboiements de protestations nocturnes ont fait que les humains les ont libérés de cela pour avoir la paix. - Bah, va falloir qu’ils remettent ça les copains parce qu’avec les colliers électroniques, on est pire qu’avec des chaînes. - Tu l’as dit, petit, les progrès de la science qui devraient profiter à tous, servent bien souvent les plus obscurs desseins rétrogrades.”

    à suivre

  80. @aaaaaassssss
    Il manque surement quelques lettres mais voyez les calculateurs: il y en avait dans la dernière rencontre des gens de l’édition que j’ai vite traversée(ça calculait à qui ferait la plonge) : sans renverser de verres : ce n’est pas mon sujet : non plus.
    pour ce qui est de la haine (de l’as): un petit titre de W hazlitt
    “Du plaisir de haïr) vous répondra peut-être sur les lettres qui vous manquent.

  81. Je trouve toutes les plaisanteries sur ce qui se passe au Japon, du plus mauvais goût. Les dessins de Plantu ne me font même pas sourire. Quant aux commentaires des franchouillards se réjouissant de Fukushima, confondant comme la presse de caniveau (Bild Zeitung, Blick) Fukushima et Tokyo, espérant la chute de la troisième puissance économique du monde, dans un monde globalisé où une crise régionale devient globale en quelques semaines. Les Japonais, sauf pollution totale de Tokyo, se reléveront, ils se relèvent toujours, comme les Allemands.
    Les Japonais ont le sens du travail et de la discipline, des atouts majeurs, que les franchouillards n’ont pas. J’ai bien écrit franchouillards, car ils ne représentent pas la majorité des Français.
    Peut-être aussi que les gens qui commentent ce qui se passe au Japon, de la manière la moins intelligente, ont trop peu voyagé? N’ont pas compris que l’économie se joue au niveau mondiale? Sont-ils des gens qui raisonnent comme avant les années 50? Des locaux qui pensent en vase clos?

  82. Le censeur ratatiné de quinze heures est en avance…
    Rédigé par : Genèse réversible
    Mais les Hergé remontent.
    Rédigé par : Xav
    Message codé à destination des troupes de mercenaires du Guide suprême de Tripes-au-lit.

  83. L’air de liberté flottant actuellement sur Ho Chi Min City par contre souffle en tempête, hein Marcelcông…

    Rédigé par : Michel Sardou | le 17 mars 2011 à 14:34

    Si papa Staline n’était pas là, tu serais en Germanie, à saluer je ne sais quoi, à adorer je ne sais qui.

  84. # Catégorie : xav Vie perso / Journal intime
    # Description : La lecture par vous de ce blog doit tout à Monsieur Pierre Assouline que je remercie. J’ai catégorisé ce blog Vie perso, journal Intime.

  85. Je trouve toutes les plaisanteries sur ce qui se passe au Japon, du plus mauvais goût etc.
    Rédigé par : Thierry Kron Traube

  86. Il n y a pas de critiques “olympiens” ,même pas sainte- beuve le raminagrobis de la critique.., si on le lit la critique littéraire depuis le XIXI° siècle.. de gautier à nadeau, de léon daudet à renaud matignon,de gide (relisez son dostoievski..) à Julien gracq, de Sartre à Nourissier ou Rinaldi, ils furent tous passionnés, ardents ,pas tièdes.
    parfois, les feuilletonistes de grands journaux avaient des semaines creuses.. en avaient un peu marre de la production courante et expédiaient un papier au marbre parce qu’ils étaient payés pour lire et qu’il fallait donner ça le mardi.. ..il y a tant de livres moyens.. le pire..c’est le gris, c’est une steppe de gris la production courante au jour le jour à part le pic de janvier et le pic de septembre… .et puis la tv est arrivée, pivot, la table de pivot en librairie, une date!, ça a tout changé.on avait la tête des écrivains en gros plan , ca suffisait..

  87. un petit titre…
    Rédigé par : still alive
    Taratata ! Garde tes titres, les bourses chutent, c’est pas le moment.

  88. on avait la tête des écrivains en gros plan , ca suffisait..
    Rédigé par : Paul Edel
    Oui, à saouler.

  89. à saluer je ne sais quoi,

    Rédigé par : Marcel

    Surtout que c’est plus facile, comme chacun sait, d’avoir la bouche ouverte…

  90. “Si papa Staline n’était pas là, tu serais en Germanie, à saluer je ne sais quoi, à adorer je ne sais qui.”
    Rédigé par : Marcel | le 17 mars 2011 à 15:14

    Il me semble que le tyran communiste n’était pas seul avec ses Popov durant WWII, non ? …il y avait des GI’s américains, des néoZ, des Aussies, des Brits, des Africains et quelques autres,…je me trompe, Monsieur Marcel ? A ce propos, une question pour Ouah-ouah : peut on être engagé et objectif ?

  91. le pire..c’est le gris, c’est une steppe de gris la production courante au jour le jour à part le pic de janvier et le pic de septembre…
    Rédigé par : Paul Edel
    “pic de janvier et pic de septembre” qui sont verts, ce qui change du gris, il est vrai.

  92. peut on être engagé et objectif ?
    Rédigé par : JC
    Demande à passou-le-photographe

  93. Thierry Kron Traube | le 17 mars 2011 à 15:07
    Ah quel bonheur !
    Le retour de notre Geneviève Tabouis à nous

  94. je croyais qu’en civilité homérique, était olympien : le calme
    .
    les conseilleurs sur ce blog ont certainement des “links” pour réfuter cette imagination /ce souvenir -qui n’est pas un fantasme
    : je ne remercierai donc pas:ce n’est pas une demande et je ne suis pas le servant , ni l’orant des causeurs de ce blog ni de quiconque en cherche en plinké .net, ce qui n’est pas mon cas.
    Je lis autre chose , ailleurs.

  95. la table de pivot en librairie
    Rédigé par : Paul Edel
    Une table tournante, et Bernard un grand esprit.

  96. Je lis autre chose , ailleurs.
    Rédigé par : still alive
    “Ailleurs” : merci de t’y transporter.

  97. sur le genre ratio-ciné-maton de ce blog,inutile de faire la planche!le psy Bayard, qui s’intéresse à l’humour, a aussi une culture du Japon.

  98. le tyran communiste

    Rédigé par : JC

    Il était pas plus communiste que de beurre en broche…

  99. Thierry Kron Traube - Ah quel bonheur ! Le retour de notre Geneviève Tabouis à nous
    Rédigé par : Sirius
    Comparaison n’est pas raison. Reste à fouiller les archives soviétiques pour savoir si Kron recevait lui aussi son pécule mensuel et à quelle hauteur. Pour GT, 5 000 F.

  100. TKT serait un crypto-communisse !
    Faut prévenir JC,
    l’effroi me gagne à l’idée des conséquences

  101. Geneviève recevait 5 000 F de l’ambassade soviétique en 1930. TkT recevait 5 645 F de cette même ambassade mais en 1973. Caviar et oeufs de lompe.

  102. Qui dit “à nous” et qui entonne les goualantes de l’indépendance”;
    Ayant l’honneur de n’être pas à vous les tue- l’amour d’un secteur innommé et qui s’autoproclame au nom de la RdL, propriétaire de gens encore qui n’attendent pas leurs considérations ni leurs critiques.

  103. Faut prévenir JC,
    Rédigé par : Guerre des mondes
    Je viens d’entrer dans sa chambre et j’ai trouvé mon fils sur le plancher en proie à des convulsions, les mêmes que du temps où il était bébé (ça fait longtemps…). Y a une nouvelle sur son PC (euh, son ordi) qui a dû le frapper. S’el vos plê, fau faire attention, l’est sensib’ et voi rouge fassilement.

  104. Il était pas plus communiste que de beurre en broche…

    parfaitement, y’a jamais eu de tango a moscou

  105. Correspondants du patient auto-proclamé “still alive”, veuillez ne pas chercher du sens aux propos du susdit (il n’y en a malheureusement pas) mais surtout évitez de le contrarier car c’est tout le personnel médical qui l’entoure qui en subit les conséquences. Merci de votre compréhension.

  106. ils se relèvent toujours, comme les Allemands.
    Les Japonais ont le sens du travail et de la discipline, des atouts majeurs, que les franchouillards n’ont pas. J’ai bien écrit franchouillards, car ils ne représentent pas la majorité des Français

    dis donc von traube tu veux dire que les allemands et les japoanais courageux sont minoritaires chez eux ?..
    ..dans la presse je n’ai vu nul part de mauvaise joie pour leur foutus ennuis..rien, sinon de la trouille
    tu turpitudes ce que tu ne vois pas

  107. J’ai cru voir Juppé sur la pub en haut à droite. Tiens, me suis-je dit, il a écrit un bouquin ? Puis j’ai reconnu notre Pierre Assouline !

  108. dis donc von traube ……….tu turpitudes ce que tu ne vois pas

    Comme quoi ya du bon dans le bouguereau, faut savoir chercher

  109. y’a jamais eu de tango a moscou

    Rédigé par : bouguereau

    Oui mais il y avait un orchestre rouge…

  110. @mesage de l’infirmière de “stil alive”
    faites attention aux doses en lettres comme dans le reste, (en genre et en sexe où vous montrez votre ignorance :message ou mésange de still(deux L ) life au calme olympien!
    cessez de jouer les tresses de la culture coucou les gros bras!
    prenez les usuels recommandés par le billet avec des cours sur l’histoire de l’ombre avant e vous prendre les soleils de l’ère nucléaire.

  111. Comme quoi ya du bon dans le bouguereau, faut savoir chercher
    Rédigé par : Pépite
    Ouais, pas d’quoi déclencher une ruée.

  112. non gilgaga..ça va tarder à tomber sur ton nez

  113. avant e vous prendre les soleils de l’ère nucléaire.
    Rédigé par : still alive
    “faites attention aux doses en lettres comme dans le reste”
    avant De… stillll sans style sauf biscornu

  114. dorrection sur l’histoire de l’ombre avant de vous prendre pourles soleils de l’ère nucléaire.
    assez de chevalièr-e-s du narcissisme informatique début de siècle la jouent “pays du sourire”

  115. c’est comment et combien un sourire informatique nucléaire ?

  116. non gilgaga..ça va tarder à tomber sur ton nez
    Rédigé par : bouguereau
    Bof, tant que c’est pas sur ma mèche…

  117. @ce qu’il est drôle ! cherchez le musée de anges si vous avez malà vos commis (trop) surs d’eux. !

  118. “0n reste bons amis
    Et cela n’est pas plus mal
    Que d’être tous deux ennemis
    Dans l’enfer du foyer conjugal ! “

  119. aux infirmières sans cornues:
    voyez Bouguereau qui est un maître en’ alambic : la première pointe de ce blog dit-on…il vous fera un dessin.

  120. Tout à l’heure, sur un blog, où il était question du Japon, j’ai remarqué qu’il était rappelé une “définition du blog” et une pratique “recommandée”, liée à la lecture du billet : ce qui me semble le minimum souhaitable, non pour conserver un calme olympien , mais pour le devenir du blog lui-même et de son auteur. Ce qui est mon souhait .

  121. @ Bougre de rôts: Le courage c’est une qualité individuelle et universelle, que l’on ne découvre vraisemblablement qu’en cas de crise. Je parlais de culture inhérente à une société qui honore le travail et la discipline, aucunement de courage ou de non courage.
    J’ai parlé de la presse de caniveau germanophone et populiste, et de certains commentaires de ce Blog, sans mettre de noms pour les commentaires.

  122. caniveau germanophone

    Rédigé par : Thierry Kron Traube

    Oui mais la différence entre les caniveaux allemands et les caniveaux français, c’est que c’est pas dans les caniveaux français qu’y a pas la merde…

  123. caniveau germanophone

    Rédigé par : Thierry Kron Traube

    Oui mais la différence entre les caniveaux allemands et les caniveaux français, c’est que c’est pas dans les caniveaux français qu’y a pas la merde…
    Rédigé par : Sergio | le 17 mars 2011 à 17:35 | Alerter

    Encore une erreur médicale…

  124. 17h 24 : ce n’était pas un “blog littéraire” stricto sensu .
    et je n’y ai rien écrit, alors que l’analyse m’intéressait beaucoup :
    j’ai rencontré des gens qui n’avaient pas été touchés par la catastrophe au point de soutenir le même discours sur l’engagement de leur travail qu’il y a dix ans où la possibilité de la catastrophe n’avait pas été reconnue , ni aucun aspect retenu es conclusions qui s’ébauchent aujourd’hui.
    Il y a une grande différence entre le dessin sur le mur (de la première image) et la photo avec la tache au sol qui évoque mais pas seulement, une ombre portée, et ainsi entre en résonance avec l’ombre de femme (qui n’était donc pas “la femme sans ombre”).

  125. Tout à l’heure, sur un blog, où il était question du Japon,
    Rédigé par : sill alive | le 17 mars 2011 à 17:24

    Mais il était bien ce blog, super même
    pourquoi ne pas y rester ?
    Je sens bien que vous souhaitez y retourner
    N’hésitez plus
    Bonsoir

  126. tout à fait d’accord avec vous Pierre Assouline !

  127. test 1 test 2 ça marche?

  128. Mais Alec comment voulez vous qu’en mettant ces idées dans la tête des enfants il ne deviennent pas violent dès qu’un pseudo est volé enfin, quand même, ressaisissez-vous

  129. @Le blog dacotétedemande
    oui,merci, je n’ai pas besoin de l’autorisation ni des conseils d’un contributeur d’ici; et des soupes (ou soap? ) à la grimace pour lire , ni trouver à lire des opinions et des analyses qui m’intéressent, et sans insulte ni “obligation” de ma part.

  130. Encore une erreur médicale…
    Rédigé par : Xav

    Ah oui mais non les vraies erreurs médicales c’est quand ils laissent le bistouri dans le corps et même leur espèce de lampe à souder…

    Après en vol ça peut être ennuyeux ça dérègle le compas…

  131. ça tombe bien parce qu’on voulait pas vous les donner

  132. Encore une erreur médicale…
    Rédigé par : Xav

    Ah oui mais non les vraies erreurs médicales c’est quand ils laissent le bistouri dans le corps et même leur espèce de lampe à souder…

    Après en vol ça peut être ennuyeux ça dérègle le compas…
    Rédigé par : Sergio | le 17 mars 2011 à 18:25 | Alerter

    Moi je l’ai eu ça, ça n’arrange rien

  133. Encore une erreur médicale…
    Rédigé par : Xav

    c’est de lui qu’il parle en fait d’erreur médical sergio, de son coma profond il tente d’entrer en contact avec still alive, mais ya person qui répond

  134. et la photo avec la tache au sol

    c’est une pisse de chien..la motocrotte est hors champ car ce n’est pas une motopisse
    tu compliques tout

  135. “une société qui honore le travail et la discipline”
    la soce japonaise est passée inchangée de la structure féodale à l’actuelle

  136. ça tombe bien

    avec toi xav ça te tombe toujours sur la tête
    tout petit déjà ça te tombait bien

  137. la soce japonaise est passée inchangée de la structure féodale à l’actuelle

    chais pas si chez les féodaux ça bossait tant que ça

  138. ça tombe bien

    avec toi xav ça te tombe toujours sur la tête
    tout petit déjà ça te tombait bien
    Rédigé par : bouguereau | le 17 mars 2011 à 18:44 | Alerter
    J’étais un garçon perspikasse

  139. @sergio
    le vraies erreurs médicales : parce qu’il y a de fausses erreurs
    médicales ? par exemple quand vous conseillez aux gens
    de boire toute la nuit avec vous ?
    Et des pas médicales ? par exemple tutoyer les femmes sur un blog ? ou envoyer sur ce blog un lien? ou prendre pour pseudo son prénom usuel ? Ce n’est pas un erreur ?

  140. Encore une erreur médicale…
    Rédigé par : Xav

    c’est de lui qu’il parle en fait d’erreur médical sergio, de son coma profond il tente d’entrer en contact avec still alive, mais ya person qui répond
    Rédigé par : bouguereau | le 17 mars 2011 à 18:39 | Alerter
    Très bien… j’ai droit à un avocat?

  141. par exemple tutoyer les femmes sur un blog ?

    ..mais non toujours vivant, ça c’est à dessein, une erreur c’est quand qu’on cafouille comme toi, qu’on veut un truc, et que ça merde, et quand arrive la motocrotte tu dis ’stop c’est une erreur’

  142. de boire toute la nuit avec vous ?

    Rédigé par : still alive

    Ca, faut dire, un débutant vaut mieux qu’il se muscle avant sinon m’étonnerait qu’il tienne… Ou alors faut prendre une nuit d’été c’est plus court…

  143. de son coma profond

    Rédigé par : bouguereau

    Ah oui faut rien faire à moitié sinon c’est du toc de l’artif de la communication…

  144. Le ou la critique s’il est informé, s’il a un brin de latence, je veux dire s’il n’est pas stupidement dogmatique ou persuadé d’incarner une esthétique quelconque ou être le porte-parole d’un clan, devrait pouvoir lire et regarder n’importe quel ouvrage en se demandant ce que signifie l’ouvrage en question, en discerner les manques ou les qualités dans son fonctionnement et puis, seulement, se permettre de l’ouvrir. Sinon, son avis ne vaut guère plus que celui de n’importe qui. Mais le plus navrant dans cette affaire des critiques, ce sont encore les auteurs ou les écrivains qui refusent qu’on porte un jugement sur leur production au prétexte qu’ils y auraient consacré des années de leur précieuse vie. Comme si c’était une raison suffisante pour glorifier leur “machin”.

  145. Très bien… j’ai droit à un avocat?

    je ne cause pas avec les erreurs médicales..

  146. la motocrotte

    Rédigé par : bouguereau

    Ah oui ça s’est embêtant à réparer sur le trottoir comme Gérard Lambert… En plus habillé en Cerruti…

  147. C’est embêtant, Trommelfeuer !

  148. #

    par exemple tutoyer les femmes sur un blog ?

    ..mais non toujours vivant, ça c’est à dessein, une erreur c’est quand qu’on cafouille comme toi, qu’on veut un truc, et que ça merde, et quand arrive la motocrotte tu dis ’stop c’est une erreur’
    Rédigé par : bouguereau | le 17 mars 2011 à 18:52 | Alerter
    #

    de boire toute la nuit avec vous ?

    Rédigé par : still alive

    Ca, faut dire, un débutant vaut mieux qu’il se muscle avant sinon m’étonnerait qu’il tienne… Ou alors faut prendre une nuit d’été c’est plus court…
    Rédigé par : Sergio | le 17 mars 2011 à 18:52 | Alerter

    tiens, tu vas adorer : http://xav24.over-blog.com/

  149. @bouguereau :
    ¨Vrai que je manque de l’ esprit de famille qui triomphe ici :mais pourquoi n’avez-vous pas encore créé votre blog ? Si ce n’est parce que vous cherchez toujours plus malade que vous, ou les ami-e-s de autres à …K.T.C.H.U mener par le bout du nez ?

  150. Sinon, son avis ne vaut guère plus que celui de n’importe qui

    il ne sagit pas de valeur mais de crédibilité commerciale
    le critique est vénal..sinon c’est un branleur
    qu’on m’entende bien : son avis vaut..en tout cas c’est justement le problème du critique que son avis vaille quelquechose..il y a les olympien et les sophistes qui font des thunes, le parallele est bon, dans bon je veux dire qu’il traduit bien ma pensée qui elle est peut être mauvaise

  151. mais pourquoi n’avez-vous pas encore créé votre blog ?

    de littérature ? je ne me sents pas de disposition
    dans un salon manger les petits fours et dire des conneries est une chose, choisir et placer ses gens est une autre

  152. @bouguereau. Je rêvais à voix haute.

  153. Il était pas plus communiste que de beurre en broche…

    parfaitement, y’a jamais eu de tango a moscou

    Rédigé par : bouguereau | le 17 mars 2011 à 16:27 |

    Oui mais, il y a eu un moche coup à Moscou au moment de la perestroïka.

  154. @xav quelle idée de sortir ici , maintenant les jumeaux !
    Pour ce qui est e “vouloir un truc”, sûr que ce n’est pas ici que je le ferai savoir; je ne bogdaninnove pas ainsi avec des gens qui “veulent des trucs” comme du fluide de crotale !
    ( C’est déjà important de savoir ce qu’on ne veut pas, ou plus!

  155. je ne bogdaninnove pas

    moche coup..

  156. àbouguereau : je vous approuve bien sûr, encore que vous êtes là un peu obséquieux: est-ce le mot funérailles qui agit sur vous e si haut ?

  157. Je rêvais à voix haute.

    “l’homme dans son sommeil travaille au devenir de l’humanité”

  158. “funérailles!” c’est une belle interjection, je l’ai entendue rarement mais elle sonne bien et fais mouche

  159. Combien de décennies a la culture du “coup” ? étonnante durée pour ceux qui ne la tiennent pas !
    ‘ailleurs je vais lire, ailleurs, autre chose que ces contre-
    coups ! très peu pour moi les fluides de najas et de crotale!

  160. Ne rêvez pas trop à propos de la photographie, que Pierre Assouline avait d’ailleurs déjà donnée. Après tout il avait bien fait de photographier : c’était quelque chose de marouflé sur un mur, rue Charles V, juste à côté de l’Institut d’études anglophones de Paris VII, et en effet au-dessus du trottoir taché.
    L’ “oeuvre”, qui n’était si mal, a été décollée et a disparu. Tiens, je la regrette un peu…

  161. Pardon : “pas si mal”

  162. sur funérailles :que j’ai entendu d’un ogre(!) qui n’a pas laissé un souvenir plus ému aux siens (qui disaient aussi “funérailles” -’était sans doute dans la famille - qui eurent à coeur de terroriser autour d’eux, même des jours de funérailles auxquels il est lié dans mon souvenir.

  163. Il était pas plus communiste que de beurre en broche…

    parfaitement, y’a jamais eu de tango a moscou

    Rédigé par : bouguereau | le 17 mars 2011 à 16:27 |

    Oui mais, il y a eu un moche coup à Moscou au moment de la perestroïka.
    Rédigé par : Marcel | le 17 mars 2011 à 19:15 | Alerter

    on demande aussi si la Rdl d’assou est un relais fn alors qu’il est absolument neutre depuis des mois.

  164. Neutre ?
    Je ne comprends pas !
    Il ne me semble pas neutre eu tout de mettre une image sur un mur, ni d’écrire et de présenter une page de blog qu’on appelle aussi un mur ….

  165. C’est un mégalo, c’est tout.

  166. présenter une page de blog qu’on appelle aussi un mur

    faut croire que ça rassure..

  167. Mes amis, je suis au regret de vous quitter mais sur une bonne nouvelle c’est que mon blog accapare tout mon temps désormais.

    Avec ces 10 visiteurs et plus, un cap a été franchi et j’ai décidé de consacrer tout mon temps à la tenue exclusive de celui ci.

    Nous nous reverrons sans doute sous un autre pseudo mais plutôt ailleurs qu’ici !

    Xav de http://xav24.over-blog.com/

  168. “beurre en broche” , j” n’ai jamais entendu : mais beurre sur mon coeur , oui dans ce sens là.c’est peut-être pas assez neutre , beurre sur mon coeur ?

  169. @sushi

    pas grande différence ici non plus, by the way

  170. Mais oui, Sergio, “beurre en broche”, “beurre en branche”, “beurre dans le placard”, “ablettes au Sahara”…

    Je me suis demandé si les taches sur le trottoir de la rue Charles V n’étaient pas des fois une fuite d’huile de votre moto. Comme en laissent l’amour et les critiques en fuite.

  171. beurre en branche , j’ai entendu :beurre en broche ne viendrait-il-il pas de là ?

  172. Bienvenu, Monsieur Assouline, Bon Critique Professionnel, dans le camp “des virés de leur passions et prérogatives”, par la “Révolution Informatique et Numérique”…(Cette culture mondiale, soudaine et inconduisible). C’est désormais “LA QUANTITÉ” qui fera office …de tout !
    Mais dans un temps très court, “Quantité si Débordante”, qu’elle se mangera elle-même et, histoire elliptique, il se recréera de nouveaux sous-ensembles, venus de la sous-culture, car différents en qualité et nouveauté rare…de cette nauséabonde culture de Babel.

  173. si les taches sur le trottoir de la rue Charles V n’étaient pas des fois une fuite d’huile de votre moto.

    Rédigé par : C.P.

    Ha non pour ça il faut une Brough Superior comme Thomas Edward… Les machins japonais y a jamais rien qui fuit…

  174. Ma façon de penser, c’est l’assembleur pur et dur.

    Rédigé par : D.

    Bon mais en RISC sinon c’est bavard c’est pour les femmes…

    Rédigé par : Sergio

    Alors là c’est du smalltalk qu’il faut, même si le late binding peut être aléatoire.

  175. still alive, peut-être bien. Le Dictionnaire de Jacques Cellard et Alain Rey n’en est pas sûr, mais il donne, pour le beurre trop mou pour se tenir :

    “Quant au fromgi, macache, et pas pu d’confiture que d’beurre en broche.”
    Henri Barbusse, LE FEU

    Je passe sur : “Pas plus de …que de beurre au cul”

  176. Il n’y a pas que l’image qui active et réactive une expression ; même que ce soit avec le beurre ou avec les autres liquides(fluides) hypnotique , dans la “société liquide” (l’expression n’est pas de mon cru) ;mais c’est vrai que je manque de cette et virile culture universitaire de la séduction post plastinisatrice et int sur web. je n’ai aucune espérance , ni de désir de me rattraper sur ces lacunes de mon éducation,- où il y a une rue concurrence de formateurs bénévoles(!) - que je reconnais volontiers.

  177. correction : j’avai d’abord tapé :cette haute et virile culture de la selle universitaire

  178. de même est-ce la culture web -ou la société dont elle est l’émanation qui est hypnotique
    excuses donc: je sors d’ailleurs .

  179. @ Bougre de rôts: Le courage c’est une qualité individuelle et universelle, que l’on ne découvre vraisemblablement qu’en cas de crise. Je parlais de culture inhérente à une société qui honore le travail et la discipline, aucunement de courage ou de non courage.
    J’ai parlé de la presse de caniveau germanophone et populiste, et de certains commentaires de ce Blog, sans mettre de noms pour les commentaires.
    Rédigé par : Thierry Kron Traube | le 17 mars 2011 à 17:30 |

    Pas de fautes, propos presque intéressant. En nette progression. Z’avez fait un stage de quoi durant votre absence prolongée ?

  180. Comme neuve…

  181. je me trompe, Monsieur Marcel ? A ce propos, une question pour Ouah-ouah : peut on être engagé et objectif ?

    Rédigé par : JC | le 17 mars 2011 à 15:25 |

    Ce qui est sûr mon Ji Cé, c’est que tu es dégagé et sourd sous tes tifs.

  182. Sergio, je ne suis pas certain qu’à ce rythme ci qu’il puisse suivre.

  183. “une société qui honore le travail et la discipline”
    la soce japonaise est passée inchangée de la structure féodale à l’actuelle
    Rédigé par : shushi | le 17 mars 2011 à 18:43

    La soce française est passée inchangée de la monarchie à l’Etat républicain.

    Etc.
    Etc.

    Bois ton jizake, tu verras plus clair.

  184. ceci reste une vilain déchirure.

  185. (c’est pas moi je suis plus là)

  186. Ce n’est pas dans des dictionnaires que je cherche où j’ai entendu
    sans ma jeunesse une expression, ni où j’ai vu ceci ou cela et je ne me fie pas à ceux qui prétendent le savoir,- ou en nient la possibilit” comme une erreur- et veulent , en prime, me le dire publiquement . et ne me demande pas ce qu’ils en attendent.

  187. dans ma jeunesse et possibilité

  188. Ce qui est frappant, c’est le désarroi du milieu littéraire.

  189. still alive, vous vous encolérez tout seul et ne savez pas partager.
    Vous posez une question, on vous répond, avec plaisir et sans la prétention de vous enseigner quoi que ce soit. Et puis…
    Quand vous m’apprenez quelque chose ou même mettez un lien qui m’intéresse, je vous le dis.
    Bien. Ce n’est pas grave.

  190. Le Barbusse du Goncourt… Oui, oui… Menfin faut essayer la Peur de Gabriel Chevallier çui de Clochermerle là c’est du boulot on y croit vraiment… Mieux que Dorgelès itou…

  191. Sergio, c’est parfaitement vrai pour “La Peur”. Et même, sur un autre sujet, pour “Sainte-Colline”. Mais “Clochemerle”, avec ou sans la critique, a bouffé les autres oeuvres.

  192. Ah maintenant je suis dans le Littell ça a pas l’air ennuyeux non plus… Les détails comme disait Renato…

  193. Le désarroi du milieu littéraire est saisissant.

  194. En d’autres termes, nous pouvons affirmer que le désarroi du milieu littéraire nous saisit.

  195. @ C.P.
    Bien mal imaginez-vous que je vous pose des questions dont vous
    pourriez avoir les réponses en prêchant la régression sous votre contrôle et vos appréciations; non, je ne mets pas de lien et je n’en mettrai pas :peu m’importe votre opinion,, des auteurs que je lis sur LEUR blog à l’ aventure ,et qui n’ont pas plus pour obsession d’inventer des concepts que de jouer aux devinettes et bons points . Ce qui n’est pas de la régression, ni une voie dans l’horizon du courage intellectuel! Occupez - vous plutôt de vos écuries : je ne suis pas l’Augias de vos reprises et j’ai vu assez e cornu-e-s pour ne pas vouloir voir les vôtres.

  196. Rédigé par : D. | le 17 mars 2011 à 21:16 |

    T’es fâché Traube, tu boudes ?

  197. C’est une étonnante idée de profiter du blog de P.Assouline pour jeter des “cons” et “culs” comme des jouvenceaux en goguette .
    dans des trains ou des manèges, sous la houlette d’un aumonier: on sit qui sont ceux qui se disputent ici ceux qu’ils considèrent comme leur cheptel tout en le considérant comme des nuisibles .
    dits “prédateurs” .

  198. ‘une manière générale, je ne veux pas discuter avec ceux qui ont par trop fait pression ici en notant les billets, ou en les disant épuisés, et autres rengaines de l’incuriosité sordide, mimétique,et affligeante des auteurs de ces formules, eu égard aux blogs que je visite assez régulièrement pour avoir une idée du paysage de “la toile”, comme des lieux de rencontre et de discussion ouvert par es institutions.(dont les hôtes ont souvent es blogs)

  199. une correction qui me semble utile: comme des lieux de rencontre et de discussion ouvertS par des institutions.(dont les hôtes ont souvent des blogs).

  200. C’est avec plaisir que je signale aux contributeurs manipulateurs effrénés de ce blog que je viens de lire, avec plaisir, quelques pages sur la toile qui répondaient à des question-critiques que je n’ai pas eu besoin de rédiger et que je n’aurais jamais posées ici, eu égard au ton des réponses données ici souvent enflées de mépris à l’égard de la naïveté de la personne qui n’a pas compris qu’elle doit apprendre aussi à chercher elle-même sans faire confiance aux réponses qui lui sont données , et qu’elle sera ici soupçonnée, par certains contributeurs de tout et pire encore, si c’est possible; et qu’elle n’imagine pas, ni moi non plus, après ce que je viens de lire. Bonne soirée .


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