Le constat est réellement désolant: plusieurs unités hôtelières à Tabarka et qui ont coûté autrefois des dizaines de milliards sont aujourd’hui totalement abandonnées, sans entretien ni maintenance. Ce qui est encore plus grave c’est  que le personnel s’est retrouvé, sans le vouloir, mis à la porte.
En face, les autorités compétentes, et à leur tête le ministère du Tourisme, sont toujours sans réaction.
C’est plutôt dommage, car avec plus de volonté, ces unités auraient pu être relancées.
A.S.
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