Le Forum civil pour le changement qui a proposé 13
personnalités pour conduire la médiation pour le dialogue, veut lever
«les équivoques et préjugés» ayant entouré sa démarche, suite aux
critiques acerbes qu’elle a suscitées.
Il a expliqué, dans un communiqué rendu public hier dimanche, que le dialogue voulu «est un dialogue indépendant conduit par des personnalités avec un mandat officiel et de larges prérogatives et dans lequel la bande n’a aucune place ; un dialogue qui constitue la rupture avec l’ancien régime, y compris les partis qui ont participé à l’alliance présidentielle pour soutenir le cinquième mandat».
L’association de Abderrahmane Arar a ajouté que les parties concernées par ce dialogue sont les différentes composantes du peuple, précisant que le pouvoir actuel (présidence et ANP) n’y sont pas partie prenante.
«La mission de l’instance de dialogue national est de conduire et gérer le dialogue entre les parties concernées et nous proposons son renforcement par d’autres personnalités et experts. Cette instance ne représente pas le hirak, ni le peuple et n’est pas son porte-parole», souligne le Forum civil pour le changement.
Il affirme qu’après les consultations qu’organisera l’instance, une conférence nationale sera tenue afin d’entériner les décisions du dialogue.
Pour ce Forum, la réussite du dialogue exige des mesures d’apaisement et de confiance à prendre par le pouvoir. Il s’agit, entres autres, de la libération des détenus du hirak et ceux d’opinion, libération des médias, lever des restrictions sur les marches et départ du gouvernement Bedoui.
Karim A.
Il a expliqué, dans un communiqué rendu public hier dimanche, que le dialogue voulu «est un dialogue indépendant conduit par des personnalités avec un mandat officiel et de larges prérogatives et dans lequel la bande n’a aucune place ; un dialogue qui constitue la rupture avec l’ancien régime, y compris les partis qui ont participé à l’alliance présidentielle pour soutenir le cinquième mandat».
L’association de Abderrahmane Arar a ajouté que les parties concernées par ce dialogue sont les différentes composantes du peuple, précisant que le pouvoir actuel (présidence et ANP) n’y sont pas partie prenante.
«La mission de l’instance de dialogue national est de conduire et gérer le dialogue entre les parties concernées et nous proposons son renforcement par d’autres personnalités et experts. Cette instance ne représente pas le hirak, ni le peuple et n’est pas son porte-parole», souligne le Forum civil pour le changement.
Il affirme qu’après les consultations qu’organisera l’instance, une conférence nationale sera tenue afin d’entériner les décisions du dialogue.
Pour ce Forum, la réussite du dialogue exige des mesures d’apaisement et de confiance à prendre par le pouvoir. Il s’agit, entres autres, de la libération des détenus du hirak et ceux d’opinion, libération des médias, lever des restrictions sur les marches et départ du gouvernement Bedoui.
Karim A.
